On en revient malheureusement toujours au même : la majorité des crash a lieu sur la terre ferme, donc les boites noires sont dimensionnées et positionnées pour résister autant que possible à un impact violent contre le sol, ce qui est incompatible avec la possibilité de se dégager "automatiquement" d'une carlingue au fond d'un océan.Envoyé par kamor
Quelqu'un peut confirmer ? Je ne connais guere l'aviation civile pour avoir travaille sur des avions rapides et pointus dont les pilotes ne sont pas syndiques mais on pouvait bien depouiller un enregistreur par semaine pour investiguer une panne ou simplement parce que la procedure le demandait (en cas de declenchement du detecteur d'atterissage dur pour connaitre l'acceleration verticale au poser ou la quantite de carburant dans le bidons lors d'un depassement de facteur de charge)
Plutôt appliquer son intelligence à des conneries que sa connerie à des choses intelligentes...
Mais même s’il y a un crash sur 3 qui se passe en mer, ca suffirait pour implanter de telles boîtes noires non ? Un investissement justifierait la sauvegarde de plusieurs dizaines de vies ?
Coin Coin
Bonjour.
C'est pas l'implantation des boites noires qui sauvent des vies, c'est la prise en compte de l'analyse des données qu'elles ont pu recueillir et là il y a encore énormément de marge de progression.
Il y a qu'à regarder comment "on" s'assoie sur les recommandations de l'OACI concernant les nuages de poussières volcanique pour se rendre compte que les enseignements d'une boite noire qui a résisté au crash peuvent rester lettre morte.
@+
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
J'avais vu dans un reportage que dans le train, beaucoup de personnes se faisaient défoncer la cage thoracique par la tablette (regardez bien la prochaine fois, elle est à hauteur idéale pour ça) Une solution simple pour limiter cela ainsi que les projections de personnes était de mettre tout le monde dos au sens de la marche. Les compagnies n'ont jamais voulu, elles pensaient que ça plairait pas aux gens, qui donc prendraient moins le train. Moi perso, je m'en fiche un peu, et on a pas trop le choix de savoir dans quel sens on va aller.
C'est toujours le problème entre résoudre un problème et combien ça va couter, ou peut couter par la suite.
Et je pense que Mr Canard proposait la sauvegarde des boites noires justement pour les analyser et permettre d'éviter les futurs accidents
Bonjour,
Cela n'a pas toujours été le cas, en première classe, sur les premiers vols transatlantiques, les passagers se faisaient face.
C'est pour augmenter le nombre de sièges qu'il furent tous mis dans le même sens.C'est bien pour ça qu'il est recommandé (impérativement) de relever la tablette (et d'attacher sa ceinture) au décollage comme à l'atterrissage.J'avais vu dans un reportage que dans le train, beaucoup de personnes se faisaient défoncer la cage thoracique par la tablette
Dans le train c'est différent, la voiture* peut rouler dans les deux sens et les chocs violents sont toujours dû aux accidents qui, par définition, ne peuvent être prévus.
J'ajoute que les personnes sujettes aux mal des transport se sentent mieux quand ils voyagent dans le sens de la marche.
Amicalement.
* Il faut dire voiture quand il s'agit du transport de personnes, wagon est un terme impropre.
Connais toi toi-même (Devise de Socrate inspiré par Thalès)
Je ne connais pas les chiffres exacts, mais je pense que le rapport est beaucoup plus faible que 1 sur 3. Les moments critiques restent le décollage et l'atterrissage.
Je suis d'accord avec ca. Mais même s'il y a un risque infime qu'il y ait un accident en mer, il faut le prendre en compte non ?
Quand on sait combien ca coute à une compagnie qui crashe un avion ...
Bonjour.
Rien, par rapport à ceux qui lui avaient fait confiance...........Quand on sait combien ca coute à une compagnie qui crashe un avion ...
@+
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Hum ? Comment ca ?
Ba les compagnies ont des assurances.
certes la prime va monter, mais c'est surtout au niveau de la réputation qu'elle va subir un impact.
Le crash en lui même ne créé pas de problème financier immédiat quelconque pour le transporteur aérien.
C'est un équilibre entre la mesure du risque et les moyens nécessaires pour y faire face.Je suis d'accord avec ca. Mais même s'il y a un risque infime qu'il y ait un accident en mer, il faut le prendre en compte non ?
Et là, il faut posséder toutes les statistiques du secteur pour faire un choix éclairé.
Les réponses des spécialistes restent très prudentes sur le sujet, en gros, ça coute trop cher pour résoudre un seul problème sur des millions de vols toutes les x années.
Ou alors faut augmenter le prix du billet d'avion pour tous... juste pour résoudre quelques cas par décennies.
Restons superficiel pour ne pas fâcher
Bonjour.
PANAM, TWA etc. ne s'en sont pas remise de leur dernier crash, l"assureur paye un crash et augmente la prime de tous les autres avions de la compagnie.Le crash en lui même ne créé pas de problème financier immédiat quelconque pour le transporteur aérien.
@+
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
