Autour de son axe.
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Autour de son axe.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
C'est un choix d'ingénierie. Il me semble que pour l'ISS le choix est qu'elle tourne très lentement sur elle-même, juste pour être orientée correctement par rapport au Soleil.
Moi non plus. Il n'y a aucune raison pour un tel choix.Je ne crois pas que l'ISS fasse un tour complet sur son axe de tangage me semble t'il lors d'une révolution orbitale
Ceci dit, je ne vois pas trop ce que cela amène dans une discussion sur la rotation propre de la Lune?
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Son axe principal d' inertie
Qui n' est pas son axe de rotation instantané , qui , lui , dépend du référentiel .
L' argument est un peu faible .
Au moment ou l' athlète lâche le marteau , celui ci a un moment cinétique non nul .
Comment ce moment cinétique pourrait brusquement disparaître ?
Pour faire varier le moment cinétique , il faut un moment de force .
Si tu lis mon dernier message pour papy Alain. L'ISS comme la navette présente la même face pour un observateur terrestre situé à sa verticale. Comme pour la Lune, l'observateur terrestre peut se dire que l'ISS la navette et la Lune ont une période de rotation égale à leur vitesse de révolution. Donc si la Terre disparait, un observateur lointain les verrait s'approcher de lui à leur vitesse orbitale respective si les trois satellites suivaient une orbite parallèle lors de la disparition de la Terre.
Soit il les voit tourner sur eux-mêmes , c'est la vision newtonienne ; soit il ne les voit pas tourner sur eux-mêmes et c'est me semble-t-il, une conséquence de la RG.
Il est plus simple de se demander ce que verrait un observateur immobile sur la Lune. Et comme il verra les étoiles continuer à tourner au-dessus de sa tête, il ne viendra pas s'emmêler les pinceaux avec la RG.Si tu lis mon dernier message pour papy Alain. L'ISS comme la navette présente la même face pour un observateur terrestre situé à sa verticale. Comme pour la Lune, l'observateur terrestre peut se dire que l'ISS la navette et la Lune ont une période de rotation égale à leur vitesse de révolution. Donc si la Terre disparait, un observateur lointain les verrait s'approcher de lui à leur vitesse orbitale respective si les trois satellites suivaient une orbite parallèle lors de la disparition de la Terre.
Soit il les voit tourner sur eux-mêmes , c'est la vision newtonienne ; soit il ne les voit pas tourner sur eux-mêmes et c'est me semble-t-il, une conséquence de la RG.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
Ça justement, c'est la question dans l'hypothèse ou la Terre disparait.
Formulée autrement, la rotation propre de la Terre est-elle dans le cadre de la RG égale à la durée du jour sidéral ?
Là c'est du vice. On va tout à fait arrêter avec la RG ici.
Parcours Etranges
La question se pose pourtant.
D'un côté on nous dit de ne pas considérer la gravitation comme une force mais comme un déformation de l'espace-temps. Que la Lune suit une géodésique de l'espace-temps sur son orbite terrestre.
Si c'est le cas et comme nous la voyons nous présenter la même face, cela veut dire que sa rotation propre est nulle.
Si je me mets au niveau du Soleil et que je regarde la Terre j'en déduis quoi logiquement au sujet de sa rotation propre ?
N'importe quoi.
Qu'elle en a une parce que la face qu'on voit change 365.25 fois pendant la période entre deux passages devant les mêmes étoiles lointaines. Et que cette rotation propre a une période 366.25 fois plus petite.Si je me mets au niveau du Soleil et que je regarde la Terre j'en déduis quoi logiquement au sujet de sa rotation propre ?
Du moins si la proximité du Soleil n'a pas complètement grillé les neurones.
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Galilée aurait pu répondre de même.
Dernière modification par Amanuensis ; 12/01/2017 à 07h25.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Bon, alors on arrête tout à fait.
Je ferme le fil.
Dernière modification par mh34 ; 12/01/2017 à 10h42.
Parcours Etranges