Faut-il se placer dans le contexte d'incompréhension de celui qui pose la question .
On ne peut pas apponter dans un vaisseau spatial mère les gaz ouverts .
La procédure est de laisser l'ordinateur de bord orchestrer l'approche jusqu'à la prise en charge du vaisseau mère , qui par un rayon tracteur ira te déposer à bon port .
Amarrage magnétique sol/patins . Leçon de vie et de survie ... ne jamais faire manuellement ce qui peut être fait mécaniquement .
Tu tiens les gaz ouverts pour rattraper le vaisseau mère ... mais entrer à l'intérieur les gaz ouverts c'est tout à fait cow-boy .
A ce moment là pour ajuster ta vitesse à l'appontement tu vas être obligé de donner un coup de retro propulseur dans le décors avant .
Pour un appontage à l'interne , cela se fait propulseurs éteints .
Pour Dynamix ... Deux points inertiels jumelés = un seul point d'inertie . Le mouvement des deux est conjugué en un seul .
visiblement tu as fait ça toute ta vie .
brevet Star Treck en poche.
En théorie , rien ne l'interdit, mais suppose une trajectoire devenue identique.
c'est probablement dans le manuel de pilotage de l'école internationale des pilotes spaciaux.....La procédure est de laisser l'ordinateur de bord orchestrer l'approche jusqu'à la prise en charge du vaisseau mère , qui par un rayon tracteur ira te déposer à bon port .
Amarrage magnétique sol/patins . Leçon de vie et de survie ... ne jamais faire manuellement ce qui peut être fait mécaniquement .
la suite est du même acabit.
heuuu !!!!
c'est limpide Spock .
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
Effectivement le scénario de Daniel 100 est tout droit sorti d'un studio woodien .
De là nous sommes totalement en S.F. . Tout passe si cela est commercial .
Faut se mettre au niveau . Les aliens aux trousses .
...en théorie, si ma tante en avait on l'appellerait mon oncle.
En théorie surtout, avant de parler et de tenter d'expliquer des situations tellement incongrues et irrationnelles qu'elles ne peuvent et pourront jamais être mises en œuvre, on tente de comprendre comment ça fonctionne "en vrai", pour améliorer réellement sa culture et éviter de poser des questions sans queue ni tête dans ce genre là.
La seule chose intelligente à répondre à la question initiale, c'est donc :
Ça ne se passe, ni ne se passera jamais comme ça, reformule ta question pour qu'elle corresponde à quelque chose, et puisse éventuellement t'apprendre quelque chose... si t'es vraiment venu la pour apprendre et pas seulement pour discuter du sexe des anges.
Tu n'as jamais rien piloté et tu ne piloteras jamais rien de ce genre, même pas sur simulateur.mais en tant que pilote de ma petite navette, je ne sais toujours pas quoi faire et surtout quand !?
Justement, si tu faisais l'effort d'essayer sur simulateur, ça t'éviterait ensuite de poser ce genre de question sans aucun sens.
Tu ne sais pas quoi faire ? pourtant c'est simple : il suffit de suivre la procédure réelle au lieu de tenter d'en inventer une totalement loufoque.
Restons superficiel pour ne pas fâcher
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
cela étant, je ne suis pas loin de la vérité dans un sens.
si on veut accoster un engin en orbite, on ne commence par se mettre sur la même orbite derrière lui pour ensuite le rejoindre à la même vitesse.
( sinon on change d'orbite et c'est ballot )
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
Le problème est posé à ce point "up'n down" que cela ressemble à une pomme jetée sur la table .
A pressuriser au maximum ... on a une accélération (supérieure ) qui en rattrape une autre et l'on cherche le point d'appontage 0. Là où les deux ne font qu'un en vitesse accélérée .
Ça prend plusieurs détails tech. supplémentaires .
Ici nous sommes sur une trajectoire en ligne droite .
Pour Dynamix ... tu as Holly ,Bolley , et un autre prochainement qui devrait sortir .
A Dynamix
La porte en s'en fout . Ce que l'on cherche c'est le point d'appontage 0 .
Et s'il vous plait ne me demande pas ce qu'est le point d'appontage 0 .
Tu coupes les gaz un petit peu avant . Et ploup ça se pose en douceur ... comme une fleur . Là où les deux accélérations sont égales .
La symbiose parfaite .
Début du HS :
Tu n'as jamais rien piloté et tu ne piloteras jamais rien de ce genre, même pas sur simulateur.
Justement, si tu faisais l'effort d'essayer sur simulateur, ça t'éviterait ensuite de poser ce genre de question sans aucun sens.
Tu ne sais pas quoi faire ? pourtant c'est simple : il suffit de suivre la procédure réelle au lieu de tenter d'en inventer une totalement loufoque.
Toujours aussi aimable ce carcharodon, ce n’est pas parce que tu n’as pas de réponse à une question qu’il faut la traiter de loufoque. Pas de chance j’ai plusieurs fois piloté un mono moteur avec un copain instructeur, mais effectivement jamais de navette avec des méchants derrière.
Fin du HS
J’adore la physique (sans tout comprendre bien sûr, d’où ma présence ici), ma question n’est pas si délirante, et j’essaye de comprendre le rapport des forces dans ce cas.
Perso voila ce que je vais faire :
Je garde ma propulsion et je monte dans la soute ouverte.
Au fur et à mesure que la soute se ferme, je réduis ma propulsion, et j’éteints tout ou fois la soute totalement fermée, puis je me pose.
C’est pour moi une logique implacable, je ne vais pas garder la propulsion dans un lieu fermé.
Je ne sais toujours pas ou l’énergie de ma propulsion initiale c’est répartie ou si mon postulat d’approche est réaliste.
PS : d’autres propos perso et insultant et surtout non instructive non rien à faire sur ce forum, à la modération de voir !
Je comprends vite mais il faut m'expliquer longtemps
Tu gardes la propulsion pour être à vitesse nulle par rapport au vaisseau (puisque tu montes dans le vaisseau par en-dessous, à moins de changement depuis le début du sujet).Je garde ma propulsion et je monte dans la soute ouverte.
Au fur et à mesure que la soute se ferme, je réduis ma propulsion, et j’éteints tout ou fois la soute totalement fermée, puis je me pose.
C’est pour moi une logique implacable, je ne vais pas garder la propulsion dans un lieu fermé.
Si tu réduis ta propulsion pendant la fermeture des portes ta navette ralentis et tu finis par envoyer les gaz de propulsion sur le mur du fond.
S'il résiste, la pression des gaz entre la tuyère et le mur te ralentira peut-être suffisemment.
Ton vaisseau est branlé comme un IDE Microchip, faut retourner sur la planche à dessin.
Par exemple, placer la soute pour que les trajectoires vaisseau et navette soient parallèles.
OUPS rectification , si j'entre dans la soute d'appontage en " vol plané " les gaz coupés ... je ne suis plus en accélération et je me pose sans dérapage lorsque les deux vitesses s'égalisent .
J'aime mieux me poser en vol plané au bout de mon carburant dans un espace clos car cela diminue les risques d'explosions . Possiblement que la navette ait pu être endommagée par les Aliens .
Et la porte y'en a rien à glaner .
Le problème des simulateurs c'est qu'ils ne simulent que ce qu'on veut qu'ils simulent.et de tenter d'expliquer des situations tellement incongrues et irrationnelles qu'elles ne peuvent et pourront jamais être mises en œuvre,
Je n'ai pas tout relu, mais il me semble que l'on a jamais dit que le vaisseau mère était en orbite autour de quoi que ce soit.
C'est une situation incongrue pour les esprits étroits mais parfaitement plausible, surtout dans un simulateur....
Revoir ce à quoi servent les moteurs d'un vaisseau spatial et une grande partie de la physique du mouvement, tant que tes moteurs de propulsion de navette fonctionnent, elle accélère, sinon, ils ne servent à rien en dehors d'un milieu freinant la navette.J’adore la physique (sans tout comprendre bien sûr, d’où ma présence ici), ma question n’est pas si délirante, et j’essaye de comprendre le rapport des forces dans ce cas.
Accélérer dans un hangar avec une porte qui se ferme "derrière" n'est pas forcément idiot si le hangar accélère de manière identique, si les accélérations sont un poil différente, c'est un problème de taille de baignoire, il y aura un moment ou la navette atteint un bord du hangar. Là c'est une question de vitesse relative de résistance de structure et de résistance de matériaux.
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Autre incongruité dans la présentation de problème :
Phase1 : j’équilibre ma vitesse pour être juste en dessous de la soute.
Si tu accèdes à la soute d'appontage par le dessous ..... ta porte fait partie du plancher . Donc !!!!!?????!!!!! Où se trouve l'intérêt de la refermer .
L'intérêt de la porte c'est qu'elle soit ouverte avant .... pas le temps de faire Toc toc toc .
C'est vraiment le jeu de trouver les 7 erreurs .
Faut sans doute avoir vu les images animées ou pas de 60 ans de science fiction pour reconnaitre le type du vaisseau.C'est vraiment le jeu de trouver les 7 erreurs .
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
c'est comme le quidditch en tant que sport, la ?
on peut considerer qu'un pet de mouche deplace les objets les uns par rapport aux autres.
l'arrimage, c'est evidement des pets de mouches sur une carlingue.
quand je lis acceleration..., certes, sur le temps de propolsion.
Par dessous ou dessus ou sur les côtés, le problème reste le mêmeAutre incongruité dans la présentation de problème :
Phase1 : j’équilibre ma vitesse pour être juste en dessous de la soute.
Si tu accèdes à la soute d'appontage par le dessous ..... ta porte fait partie du plancher . Donc !!!!!?????!!!!! Où se trouve l'intérêt de la refermer .
L'intérêt de la porte c'est qu'elle soit ouverte avant .... pas le temps de faire Toc toc toc .
C'est vraiment le jeu de trouver les 7 erreurs .
Je comprends vite mais il faut m'expliquer longtemps
Encore les mouches ?!
A part attirer la me*de, je ne vois pas leur fonction ici.
Ca part au crétinisme, je souhait la fermeture.
Je comprends vite mais il faut m'expliquer longtemps
Bonjour Daniel : sous les feux de la rampe !!!
Sur tout le pourtour du navire mère la porte ne fait pas face aux réacteurs de poussée .
Les réacteurs de poussée sont situés à l'arrière de la navette et la seule situation possible est de donner l'accès au vaisseau par l'arrière .
Bon dimanche à + .
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
Si tu fais ça , ton accélération diminue et n' est plus égale à celle du vaisseau mère .
Donc si à l' instant "t" tu avais la même vitesse que le vaisseau mère , à l' instant "t+h" ce n' est plus le cas .
Résultat , tu percute le fond de la soute , ce qui n' est ni woodien ni commercial .
Forcémment .
Mais que la porte de la soute soit ouverte ou fermée quand tu coupe les gaz ne change rien au problème :
Dès que tu coupes les gaz tu recules , que la soute soit ouverte ou fermée .
Ça c'est les modèles anciens et ceux qui peuvent affronter la périphérie extérieure des atmosphères, le nec plus ultra reste ceux dont la poussée est la même sur chaque atome à l'intérieur de la bulle mouvante, dans la sens opposé à la volonté de déplacement..Les réacteurs de poussée sont situés à l'arrière de la navette et la seule situation possible est de donner l'accès au vaisseau par l'arrière .
Encore un truc des manuels de l'école galactique ?
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Ce n'est pas a toi que je faisais la remarque, ansset, pas du tout a toi, mais a l'auteur de ce topic
pas en orbite ?Envoyé par SK69202Je n'ai pas tout relu, mais il me semble que l'on a jamais dit que le vaisseau mère était en orbite autour de quoi que ce soit.
alors il fait quoi dans l'espace ? si t'es dans l'espace, tu orbites forcément autour de quelque chose.
Sinon c'est que tu tombes a la surface du corps de référence, ou que tu t'en échappes.
C'est a dire deux situations ou il est totalement exclu de faire un rdv spatial...
L'ouverture d'esprit ne se résume pas a une fracture du crâneEnvoyé par SK69202C'est une situation incongrue pour les esprits étroits mais parfaitement plausible, surtout dans un simulateur....
Tu devrais faire tienne cette maxime, ça t'aiderait pas mal.
Ce qui est incongru, c'est d'imaginer des choses impossibles, voir stupides, sans avoir commencé a même comprendre ce qui était possible.
En fait c'est exactement ça avoir un esprit étroit.
Ou avoir des œillères, au choix.
Ça ne sert a rien d'insister avec lui, il fait une fixette sur la porte de la soute, même pas la soute, sa porte !Envoyé par DynamixDès que tu coupes les gaz tu recules , que la soute soit ouverte ou fermée
Comme dit le proverbe, quand le sage désigne la lune, l'idiot regardes le doigt.
En résumé il y a quoi a apprendre de ce topic ?
"que ça ne sert a rien de penser, il faut réfléchir avant."
merci cher Pierre Dac.
Rien de rien a apprendre ni a transmettre sur ce sujet sans queue ni tête.
Autant faire un sujet : comment monter dans un train en marche, ce sera plus intéressant et tout aussi irréaliste.
Parce que la problématique de départ se résume a ça.
A monter dans un train /voiture / avion en marche.
Mais qui aurait cette idée stupide de monter dans un train en marche ? pour quoi faire ?
Parce que celui qui fait le topic ne sait pas qu'on monte dans un train à l'arrêt, à la gare ?
omfg...
ba c'est la même chose dans l'espaaace.
étonnant non ?!
merci Mr Desproges.
Restons superficiel pour ne pas fâcher
J'ai déjà décrit un paquet de fois la procédure, mais je veux bien recommencer pour toi, ansset, avec plaisir :
Imaginons un soyouz qui rejoint l'ISS
1) il se met en orbite en décollant exactement au moment ou l'orbite de l'ISS passe au dessus de lui.
l'orbite mais PAS l'ISS elle même, ce qu'on cherche ici c'est a annuler l'inclinaison orbitale relative dès le décollage pour éviter de le faire plus tard (car c'est très couteux en dV de faire ça en orbite basse).
On se fout royalement d’où se trouve l'ISS sur son orbite au moment du décollage.
2) une fois en orbite circulaire sur le même plan que l'ISS (mais en dessous, 200km contre 400km), on créé un transfert de Hohmann afin de créer un point de rdv entre les deux (soyouz/ISS).
Ça se fait a un moment très précis afin de créer une double intersection (quand deux cercles se croisent, ça fait deux intersection, pas une seule) avec l'orbite de l'ISS, au moment ou celle ci et le soyouz seront à cette intersection.
Les calculateurs font ça les doigts dans le nez.
3) arrivé a la closest approach (point de plus grand rapprochement) on opère une accélération prograde (car on vient de plus bas donc moins d'energie, donc on va moins vite que l'ISS a notre apogée, lieu du rdv) afin d'annuler la vitesse relative entre le soyouz et l'ISS.
A ce moment la ils ne sont qu'a une poignée de kilomètres et sont immobiles (vitesse relative de quelques dizaines de cm/s maxi) l'un par rapport a l'autre.
4) on commence la procédure de docking, en faisant pivoter l'ISS (si ce n'est deja fait) afin qu'elle présente le bon port de dock vers le soyouz, on fait la même chose avec le soyouz, puis on se sert des RCS pour s'approcher lentement et précisément du port de dock.
5) on dock a 0.1m/s de vitesse relative (sauf pour le premier essai chinois qui s'est fait a presque 1m/s... cas unique et pas forcément contrôlé...).
Voilà comment ça se passe, dans la réalité, un accouplement de vaisseaux spatial en orbite dans l'espace.
Vous pouvez tester vous même sur des simulateurs genre Orbiter ou KSP avec le mode Real Solar System (qui rend KSP beaucoup plus réaliste et considérablement plus difficile, par conséquent).
Récemment (moins de 2 ans), les russes ont tenté un tir direct : le HTO (hohmann) se fait pendant la mise en orbite.
Seulement, si ça gagne 1 jours et demi de durée de vol en théorie, ça rend le tir bien plus complexe et élimine toute marge d'erreur.
Résultat : les russes ont raté leur coup et l'engin a mis plusieurs jours, au lieu de 6 heures prévues initialement, a rejoindre l'ISS.
Ça n'a pas été retenté a ce jour, mais ça sera la méthode du futur.
Le problème est que ça limite les fenêtre de tir a quelques unes par mois au lieu de 2 par jour.
Et maintenant, daniel100 va nous reposer une question au sujet de sa porte de soute...
A toi daniel100 !
Dernière modification par Carcharodon ; 19/09/2016 à 01h18.
Restons superficiel pour ne pas fâcher
Il y a des cas réalistes de monter dans un train en marche. Par exemple un ravitaillement en vol d'un avion. Une idée stupide de militaires?
Ou encore (toujours les militaires), apponter sur un porte-avion. (Celui-ci est alors en général en propulsion maximale, l'avion "monte sur un bateau en marche"...)
[Cela va juste déclencher un nouvel accès de "rhétorique de la massue", méthode favorite...]
Dernière modification par Amanuensis ; 19/09/2016 à 03h46.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
De mon point de vu, c’est en ce mettant en situation limite que l’on apprend certains phénomènes, et non pas étaler ca science sur des faits expérimentés.
Ma question n’a rien de délirant, je souhaite juste comprendre les contraintes mécaniques et la faisabilité.
Carcharodon, laisses moi apprendre à mon niveau, merci !
Je comprends vite mais il faut m'expliquer longtemps
Il faut un sacré manque d'imagination pour affirmer qu'un appontement est impossible.