Bjr à toi,
Cela aurait été bien praique SI les yeux "tataient" l'environnement.
Meme dans le "noir" nous pourrions y voir !
Et bigre pourquoi donc ne voit pas d'objet dans le noir et les voit on s'ils " dégagent" (transmette ) une lumiére !!.
L'objet est Là et noir ou pas noir nos facultés de "tatation" seraient là pour nous permettre de le..."tater" visuellement.!
Ce qui n'est pas le cas comme tu le souligne depuis 2500 ans !!
Bonne journée
Les cétacés et les chiroptères procèdent ainsi depuis très longtemps.
Oui, bon, il ne s'agit pas de lumière ...
Il n'est pire sot que qui ne veut pas comprendre .
Salut,
En effetEnvoyé par WizardOfLinn
Et de manière étonnante, la raison pour laquelle il a été si difficile départager les deux points de vue a une raison qui a aussi été découverte : lorsqu'un rayon lumineux voit sa vitesse inversée, il parcourt exactement le même chemin qu'a l'aller. Et cette technique dite des rayons inverses est même abondamment utilisée en informatique pour le calcul d'image. Il est en effet beaucoup moins couteux d'un point de vue calcul de considérer des rayons issus de l'oeil que des rayons issus de la source lumineuse (simplement parce qu'on n'a pas besoin de se préoccuper d'un tas de rayons inutiles pour le calcul de l'image).
Mais évidemment, la lumière ce n'est pas qu'une trajectoire mathématique, c'est aussi un objet physique qu'on peut étudier et dont on peut vérifier le sens de propagation. La méthode des obstacles est assez claire mais elle n'a pas suffit dans l'antiquité. Par contre on peut tout simplement mesurer la quantité de mouvement (l'impulsion, égale à E/c, E étant l'énergie d'une impulsion lumineuse). Et là, c'est clair. La lumière se comporte comme n'importe quel corps en mouvement.
On fait mieux maintenant : on sait ralentir (et même arrêter) la lumière jusqu'à la vitesse d'un homme qui marche !!!!! (avec les condensats). On peut donc suivre la progression d'un rayon lumineux avec ses propres sens.
Il y a un très bon magazine La Recherche consacré à la physique quantique, encore en kioske et que je conseille. On y parle surtout de calcul quantique, de crypto, de téléportation, de mémoire quantique et de transfert d'information. Ils rappellent dans un des articles cette technique d'arrêt de la lumière qui permet de stocker un état quantique sans l'altérer (sans le mesurer même indirectement !). Ils rappellent aussi les méthodes récentes de création de qubits logiques à partir de plusieurs qubits physiques et permettant d'éliminer l'effet de la décohérence sur la valeur du qubit (il reste l'altération de phase, pour laquelle il existe aussi une technique. Mais il faut implémenter la suppression des deux effets, ce qui est théoriquement possible, ça été démontré, mais pas encore réalisé. On sent malgré tout l'ordinateur quantique arriver à très grands pas, du moins avec un nombre modérés de qubits.... mais ça va tellement vite qu'il vaut mieux ne pas faire de prédiction).
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Il faut noter qu'une mesure, celle de la vitesse de la lumière par exemple n'a de sens que dans le cadre d'une théorie, implicite ou explicite.
Pour illustrer cette affirmation, je n'évoquerai pas des théories que peu de gens connaissent, mais des notions élémentaires:
Les mesures de distance, aire, volume ont leur sens usuel dans la géométrie euclidienne.
La mesure de la masse reposait sur la théorie des levier (développée par Archimède) pour les balances à plateau ou, plus subtil, pour la balance romaine.
La mesure du temps reposait sur des théories astronomiques. Par la suite, Galilée, avec la théorie du pendule qui a donné la pendule, a permis de mesurer le temps par temps couvert, et en a fait une grandeur physique.
La vitesse de la lumière, elle, ne peut être appréhendée directement par nos sens, et ne peut donc être abordée par le biais d'une théorie.
Il n'est pire sot que qui ne veut pas comprendre .
Bonsoir,
J'aime bien les sciences et leur histoire aussi concernant M&M voici ce qui fut écrit dans La Nature (ancêtre de La recherche) du 31 janvier 1914 :http://cnum.cnam.fr/CGI/fpage.cgi?4K...52/100/675/0/0
Page 151 et suivante.
JR
PS : pour les physiciens nucléaires et aussi les autres je conseille également l'articulet sur la périodicité des éléments ,ce fut une époque charnière
Dernière modification par jiherve ; 18/07/2015 à 20h04.
l'électronique c'est pas du vaudou!
