Bah oui mais il veut une definition, une definition, UNE DEFINITION§§
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Bah oui mais il veut une definition, une definition, UNE DEFINITION§§
Pour etre un peu plus constructive, on pourrait expliquer pourquoi il est naturel de considerer une particule comme une representation d'un certain groupe de jauge, et pourquoi finalement c'est un peu la meme chose que le fait qu'en MQ les etats d'un systeme soient paramétrés par un espace de Hilbert, et que les valeur des observables sont les etats propres d'operateurs auto-adjoints.
A partir de la il est naturel de voir qu'un champ electromagéntique peut se mettre sous la forme d'un somme d'exitations elementaires, et ce sont elles qu'on appelle photon (au sens de la definition donnée, hein), mais ca c'est deja le cas dans l'electrodynamique classique, via transformée de Fourier (inverse), seulement dans ce cadre là les "particules" elementaires (si je pyuis m'exprimer ainsi) sont alors les ondes monochromatiques, et celles ci peuvent avoir un paramètre quelconque de "quantité", bref ca n'est pas le photon quantique (pleonasme), mais l'analogie reste.
Dernière modification par invite76543456789 ; 16/08/2013 à 14h07.
Je sais. C'est pour ça qu'on en est à 11 pages. And counting...
Résumons tout ça :
Le photon est la particule qui décrit le fait que le champ qu'il génère est dû à sa présence dans le dit champ.
On doit pouvoir faire plus concis :
Le photon est un photon.
mieux :
Le photon est.
N'hésitons pas, allons a l'ultime concision :
Le photon
Déception, mais on apprend quand même que le champ électromagnétique est la sommation des photons dans le volume étudié. C'est déjà ça.
J'en déduit que le photon n'est pas un champ (mais je vais peut être trop loin)
On peut avoir affaire a un champ de champs (mais c'est peu probable)
Ce n'est pas du tout çà qui est écrit dans Encyclopédia Universalis (EU)
conclusion désabusée
Il semblerai que la définition donné par Encyclopédia Universalis soit éloignée de la pensée scientifique sérieuse (un rédacteur stagiaire probablement commme chez Wiki)
Ainsi grâce à la MQ (vulgarisée certainement) je ne sais toujours pas comment définir un photon mais je ne désespère pas pouvoir le définir un jour.
Ce qui est écrit dans EU est exact et correspond exactement à ce que j'ai écrit. Cela n'est pas une coïncidence mais est du tout simplement que l'auteur de EU et moi-même sommes de véritables professionnels de la MQ. Tous les professionnels diront la même chose car la nature du photon nous est tellement familière que cela finit par relever des évidences. Par Wiki n'est pas en général écrit par des professionnels et donc de justesse très élastique.
Pour comprendre il faut y aller poco a poco. A commencer à comprendre ce qu'est un mode électromagnétique.J'ai encore plus mal a la tête que d'habitude.
[QUOTE=MissPacMan;4576292]
Bonjour,
quelques précisions:
A partir de la il est naturel de voir qu1 mode du champ electromagéntique peut se mettre sous la forme d'un somme d'exitations elementaires, et ce sont elles qu'on appelle photon (au sens de la definition donnée, hein).Un champ électromagnétique quelconque se décompose en modes et l'état quantique du champ c'est le produit tensoriel des espaces des excitations élémentaires associés a chaque mode
Bonjour,Pour etre un peu plus constructive, on pourrait expliquer pourquoi il est naturel de considerer une particule comme une representation d'un certain groupe de jauge, et pourquoi finalement c'est un peu la meme chose que le fait qu'en MQ les etats d'un systeme soient paramétrés par un espace de Hilbert, et que les valeur des observables sont les etats propres d'operateurs auto-adjoints.
En l’occurrence il s'agit du groupe U(1) mais je crois pas que cela puisse apporter quelque chose dans la discussion actuelle.
Cordialement.
Re.
@MissPacman.
Il y a maldonne.
Je ne réclame pas une définition du photon.
Rappel
Les innombrables documents édités par les physiciens font état du photon dans des acceptions du terme qui semblent assez différentes les unes des autres.
J'en déduit humblement qu'il me semblerai qu'ils (les physiciens) ne parlent pas tous du même objet.
D'ou le fil, "de la définition du photon" et non pas une injonction "définition du photon (vite SVP)".
Le nombre de posts de ce tread laisse à penser que c'est pas évident .
Ne pouvant pas se référer à aucune définition commune (même simplifiée, forcément simplifiée) chacun parle de son photon, comprenez qu'on n'y comprenne rien. (ce qui n'est pas vraiment important au niveau du pékin ordinaire (dont je suis))
Ce point éclairci, je vais un peu profiter des photons d'Août cet après midi avant qu'ils ne heurtent par inadvertance un atome dans un nuage ou ils disparaitrons a jamais (d'autre renaîtrons, pas si énergétiques, une question de fréquence sans doute...)
Merci encore a tous pour vos apports a cette définition.
A plus
Zoldick
PS
en fait ce file devrait être dans "débats scientifiques" (débats tout courts, mais ça existe pas)
Pour enlever toute interprétation métaphysique, parler de concept/modèle du photon me semble mieux approprié. Qu'ensuite que certain donne leur interprétation qu'en à sa nature, cela ne relève plus de la physique et tout argument d'autorité ne change rien.
Parick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 16/08/2013 à 15h04.
Salut a tous.
Pour être bref,
@Stefjm
La philosophie se défini comme la science des sciences....
Ce n'était pas le sens de mon propos mais je m'exprime mal.
Je mettais juste en doute la nature scientifique de mon propre file. Une autodérision en quelque sorte.(mais c'est du second degré rassurez vous)
Il est normal vu l'estime que vous me portez ,d'avoir mal interprété mon propos....
Je rédige un état de celui-ci.(ce file)
A très bientôt
Zoldick.
Salut a tous
@Ansset
Vous me qualifiez d'un néologisme nouveau (un pléonasme de plus) je serai donc AutoTroll... avec préméditation (s ?) (circonstance aggravante votre honneur)
Je suis flatté.
Une analyse du file devrait lever vos interrogations.
Merci de nous faire part de vos conclusions. (le "nous" exprime les intervenants et les lecteurs de ce file, je précise)
Cordialement
Zoldick.
Tant que ça reste confiné...
\o\ \o\ Dunning-Kruger encore vainqueur ! /o/ /o/
Et c'est fil (puisque thread en anglais)
Salut à tous.
@Obi76
la prudence me guide. je sens comme des lignes de force magnétiques autour de ma personne...
@coussin
on chipote pour une disparition (Pérec) éventuelle.
Définitions (une obsession présumée de Zoldick)
file : fichier informatique,
thread : en informatique suite d'opcodes exécuté en parallèle avec une autre suite (multitâche réel ou préemptif (simulé))
A défaut d'être physicien, ou mathématicien (dieu m'en garde) je suis un peu électronicien et informaticien (ceci ne me donnnant pas les talents d'un peintre de génie)
Mais le sujet en cours "de la définition du photon" est insensible a ces nuances.
Bon faudra bien que je finisse mon post conclusif... merci du rappel.
Cordialement
Zoldick
Bonjour,
Zoldick, si je peux me permettre, tu essaies de trouver une définition du photon alors que cette notion ressort de la mécanique quantique et que cette science est très difficile à comprendre. Tout comme toi, je n'ai jamais fait de mécanique quantique (même pas vu la notion de tenseur).
De la même manière, j'essaie de la comprendre car elle est intéressante historiquement, et pour cela j'essaie de revenir aux sources.
En essayant de trouver des réponses à bon nombre de questions (et je ne dois pas être le seul, au vu du nombre de posts qui parlent des photons ou des ondes EM ^^) :
- D'où vient ce mot ?
- Pourquoi les scientifiques se sont rabattus à la théorie corpusculaire des ondes électro-magnétiques au début du XXème siècle (Planck, Einstein, De Broglie au début pour la théorie du quanta puis Dirac, Hamilton ... et j'en passe) alors que la théorie ondulatoire prédominait avant (par Maxwell notamment) ?
- La théorie ondulatoire seule aurait-elle permis de comprendre tous les phénomènes liés à ces ondes ?
- ...
Ensuite, je pense que la plupart des lecteurs s'interroge sur la nature réelle du photon, surtout comme étant une particule. L'une des réponses (bien que j'ai compris l'essentiel mais pas tout) est cette phrase fournie par Mariposa (post en cours : "Réalité et Mécanique quantique") :
"En MQ une "particule " n'est ni une particule (au sens classique) ni une onde. Pour éviter cet écueil Sémantique JM Levy-Leblond avait proposé l'appellation QUANTON mais çà n'a pas pris. Le concept de "particule" quantique est une excitation d'un vide (a définir), c'est aussi une représentation irréductible d'un groupe de jauge. Tout ne peut pas se transformer en images. Un concept quantique est un concept irréductiblement quantique et point c'est tout."
Pour la comprendre pleinement ('groupe de jauge", "représentation irréductible d'un groupe de jauge" ...), je pense qu'il n'a rien d'autre à faire que d'étudier la physique depuis le départ (à moins que quelqu'un puisse donner une explication plus à la portée).
Là, tu voies, perso, j'ai étudié les découvertes de Maxwell, de Planck et de Einstein et j'en suis à De Broglie (hors wiki) où j'essaie de comprendre (entre autres) comment une onde peut avoir une vitesse de phase supérieure à la vitesse de la lumière et une vitesse de groupe dont la moyenne géométrique avec la vitesse de phase est égale à c . Rien que avec ça, je m'arrache les cheveux ... Ensuite, peut-être que je comprendrais l'intérêt de la mise en place et la notion du photon (donc comme "Quanton"), mais la route me semble très.... longue (De broglie, c'est au début du XXème et on est en ... 2013).
A moins que tu arrives à comprendre par toi-même la définition donnée par Mariposa : "A partir de la il est naturel de voir qu1 mode du champ electromagéntique peut se mettre sous la forme d'un somme d'exitations elementaires, et ce sont elles qu'on appelle photon (au sens de la definition donnée, hein).Un champ électromagnétique quelconque se décompose en modes et l'état quantique du champ c'est le produit tensoriel des espaces des excitations élémentaires associés a chaque mode."
Cette dernière est très mathématique (ou plutôt physico-mathématique). Comprendre les notions de 'mode', 'état quantique', 'produit tensoriel' ... Elle n'est pas à la portée de tout le monde ^^.
Sinon, personne n'est plus bête ou plus intelligent qu'un autre, je pense que quand on veut absolument comprendre quelque-chose et qu'on s'en donne les moyens, on peut (mais sur ce cas-là, il faudra y passer beaucoup de temps ...).
Enfin, ce n'est que mon opinion.
Sur ce, et en espérant n'avoir pas "trollé" aussi, bonne soirée à tous.
Salut a tous (encore)
@Gondebaud
merci pour cette longue contibution.
Deux remarques :
1) Je n'accepte pas la position intellectuelle consistant a dire que seul les tenants d'une théorie sont a même de comprendre. Dans ce sens je suis vieux jeux je l'admet.
Mais si effectivement seul les spécialistes pointus peuvent concevoir etc etc je crains qu'on soient alors en présence d'un point de vue religieux, dans le sens : les écritures (mathématiques) traitent de l'inconnaissable et son approche est donc réservée a ses "prêtres" (les mathématiciens/physiciens)
Cest un point de vue personnel.
2) Concernant les Trolls, vous n'y êtes pas du tout, votre post est tout a fait dans le sujet du file.
Un merci pour la longueur de votre exposé. Il faut beaucoup de temps pour rédiger, il faut peser ses mots etc, c'est fastidieux.
concernant son contenu je n'aborderai que l'aspect purement idéologique de la définition du photon.
Sur les expérimentations des physiciens il y a à dire mais ils sont confrontés a des objets insaisissables car au delà des possibilités de mesure directes (et de loin). les acrobaties de traitement des données brutes donnent a réfléchir.
On en peut qu'accepter (avec quand même un esprit critique) les résultats publiés.
Le grand problème est coté interprétation.
C'est là que l'idéologie (entendre façon d'aborder le réel) devient important.
Pour mon cas, une appproche matérialiste est de mise.
Dès qu'on s'en éloigne, mon poil se hérisse, je crie a la magie.
Ainsi, je ne peux accepter la définition du photon des quantiques (dont je traite plus haut dans ce fil dans une indifférence générale surement justifiée) qui a mon avis ne respecte pas le minima de la science , cad la causalité.
(Je signale que cette définition (Encyclopédia Universalis) est l'émanation des plus grands de la MQ.)
En béotien assumé je trouve qu'elle n'a aucun sens.
En effet, l'excitation du vide quantique n'est justifié par aucune cause, la définition de vide est (de mon point de vue non-autorisé) un retour a l'Ether (ce qui n'a rien de répugant en soi) dont il semblerai que la non existance eut été prouvée par le passé. (preuve non valable in fine)
Il ne manque qu'une approche physique du contenu de ce vide et des causes des dites excitations.
Les conclusions des axiomes de la MQ comme le rejet de la notion de trajectoire et de fréquence (du photon c'est le sujet du file) remplaçant le tout par des considérations purement spéculatives heurtent mon entendement. Je suis contrarié par des conceptions qui exigent : " tu ne peux pas comprendre, c'est trop complexe, il faut assimiler tel ou tel concept mathématique etc etc)
Hors de ces considérations polémiques attisée par votre remarque sur Planck Einstein et de Broglie je reste étonné que la définition d'un objet aussi fondamental que le photon reste aussi nébuleuse.
cordialement
Zoldick.
Re a tous.
La lecture de ma précédente contibution me déprime.
Pour compenser je vous fait part d'un travail sur la masse (je sais plus la qualifier) du photon
Voici :
Source "spp 96-07.pdf"
Bonsoir à tous.
La masse du photon est toujours un sujet déroutant.
Cette masse est considérée comme nulle.
Rappel
Il s'agit de la masse hypothétique qu'aurait un photon au repos.
Personne n'ayant arrêté un tel bolide dans sa course et ce prodige semblant exclu pour des raisons théoriques on ne peut aborder ce problème avec une simple balance, même la plus sensible actuellement réalisée.
Les physiciens sont des gens ingénieux et ce qu'il ne peuvent apréhender dans leurs appareils ils essaient de le cerner par des voies indirectes.
Il est convenu de nos jours que cette masse au repos ou masse vraie, ou masse grave des anciens (avant Einstein) serait nulle.
Des raisons puissantes comme (surtout) la Relativité Resteinte contraignent à cette valeur nulle.
Mais la question est quand même traitée par des gens très sérieux ce qui laisse à penser que tout n'est pas tranché, du moins dans l'esprit de certains physiciens.
Ainsi cette contribution très éclairée de Georges Vasseur traite de la question et fait un point quasi exhaustif .
J'ai extrait quelques passages du document mais je en peux qu'inciter à le consulter in extenso.
Dans ces extraits j'ai parfois commenté c'est entre { }
Les coupures sont indiquées par /.../
Les résultats sont regroupés en dehors de la citation accompagné de mes considérations diverses et peu autorisées.
Limites sur la masse du photon
Georges Vasseur
CEA, DSM/DAPNIA/SPP,
C.E. Saclay, Gif-sur-Yvette, France
28 Mars 1996
Les résultats publiés dans la contribution par ordre de dateEnvoyé par Georges Vasseur.../
{ liste des lois et phénomènes susceptibles d'être utilisés pour cerner ce photon}
Les lois de l'électrodynamique
Une prédiction fondamentale de l'électrodynamique est que tout rayonnement
électromagnétique se déplace dans le vide à une vitesse constante et égale
à c, quelle que soit sa fréquence. Ce résultat n'est plus vrai pour un photon
massif. La constante c doit se comprendre ici comme vitesse limite au sens de la
relativité. C'est la vitesse asymptotique de toute particule massive dont l'énergie
tend vers l'infini et la seule vitesse possible pour toute particule de masse
nulle. Il est donc naturel de la désigner sous le nom de vitesse de la lumière, si le
photon est sans masse. Par contre, ce terme devient impropre pour un photon
massif.
/.../
La vitesse d'un photon de masse nulle est donc toujours égale à c. Par contre,
la vitesse d'un photon massif est strictement inférieure à c et dépend explicitement
de sa fréquence. Elle tend vers c à très grande fréquence et s'en éloigne
d'autant plus que sa fréquence est petite. Il existe même une fréquence minimale
ou la lumière devient immobile !
/.../
Variation de la vitesse du rayonnement électromagnétique en fonction de la
fréquence
L'écart relatif attendu est {(ici un tas de pattes de mouches le résultat)}
-Delta v/c = µ² (c/v)²/8 pi²
Photons polarisés longitudinalement
Pour un photon massif, on peut, par une transformation de Lorentz, se placer
dans le référentiel ou le photon est au repos, ce qui est impossible pour un
photon de masse nulle. Dans ce reférentiel, les trois directions de l'espace sont
équivalentes. Il doit donc exister trois états de polarisation pour le photon massif
au lieu de deux pour le photon de masse nulle.
/.../
{l'auteur conclue a une mesure impossible}
Déviation par rapport à la loi de Coulomb
{direct à la conclusion de l'auteur}
Ainsi, la portée des interactions électromagnétiques n'est plus infinie si le
photon est massif. Le terme exponentiel leur donne une portée effective de l'ordre
de la longueur d'onde Compton du photon.
/.../
Potentiel à l'intérieur d'une sphère chargée
Une prédiction importante de l'électrodynamique pour un photon de masse
nulle est que le champ électrique créé à l'intérieur d'une sphère au repos uniform
ément chargée est nul, ou bien, de façon équivalente, que le potentiel électrostatique
y est constant. Ceci est évident d'après le théorème de Gauss puisque
la charge à l'intèrieur de la sphère est nulle.
{suit un long développement mahématique et un commentaire de l'auteur}
Magnétostatique
/.../
Propagation des ondes magnétiques
/.../
Limites astrophysiques
Plusieurs limites sur la masse du photon, utilisant des champ magnétiques
galactiques, ont été proposées. Ces limites sont très nettement meilleures que
celles déjà citées. Elles les surpassent de plusieurs ordres de grandeur, par suite
de la taille gigantesque des systèmes étudiés. Cependant, elles sont beaucoup
plus sujettes à caution. {souligné par zoldick}
Test loi dAmpère
/.../
commentaires de l'auteur
c'est l'étude du champ magnétique de Jupiter qui fournit à l'heure actuelle la
meilleure limite sûre.
Davis,Goldhaber et Nieto 1975 8.10^-49 g 8.10^-49 g
{on notera que du coup l'auteur rejette tous les autres résultats sans justifier plus avant}
Quelle limite ultime pouvons-nous espérer de l'expérience sur la masse du
photon?
{ici démonstration mathématique}
limite ultime 3.5 . 10 -66 g
Conclusion
.../
Cette relation donne l'ordre de grandeur de la masse effective que peut acquérir
un photon de masse nulle en étant légèrement hors de sa couche de masse à cause
de fluctuations quantiques et par conséquent la limite expérimentale ultime sur
la masse du photon. Dit autrement, si le photon a une masse beaucoup plus
faible que la valeur donnée ci-dessus,
{8.10^-49 g 8.10^-49 g}
sa longueur d'onde Compton est beaucoup plus grande que la taille de l'univers et
nous ne pourrons jamais observer un quelconque effet dû à sa masse.
Mon grain de sel finalCode:4.10^-40 g 1769 Robinson 2.10^-40 g 1773 Cavendish 10^-41 g 1873 Maxwell 3,5.10^-44 g 1936 Plimpton et al 8.10^-49 g 1936 Plimpton et Lawton 1.9.10^-47 g 1943 Schrödinger 10^-47 g 1964 Gintsburg 4.10^-47 g 1965 Patel 3.10^-45 g 1968 Cochran et al 4.5 10^-48 g 1968 Golhaber et Nieto 3.5 10^-46 g 1970 Bartlett et al 2.10^-47 g 1971 Williams et al 3.10^-53 g 1973 Byrne et Burman 1.3 10^-47 g 1974 Holweg 3.10^-53 g 1975 Barnes et Scargle 8.10^-49 g 1975 Davis,Goldhaber et Nieto 3.10^-60 g 1976 Chibisov 10^-58 g 1978 Murphy et Burman 8.10^-45 g 1992 Chernikov et al. (hypothétique ) 1.3 10^-48 g 1994 Fischbach et al
Soit vingt physiciens ou groupes de physiciens qui ont planché sur la question ce qui montre l'importance de la question.
Les résultats sont extraordinairement dispersés suivant les méthodes et/ou les époques,
ils indiquent que le photon aurait au maximum la masse indiquée , et non pas que le photon a cette masse au repos.
La tendance est vers une masse nulle.
La fin de la conclusion, soulignée par mes soins, laisse a penser qu'aucune expérimentation de cette longue liste
n'a mis en évidence une perturbation des phénomènes étudiés par une masse éventuelle du photon.
Il convient de saluer ce travail de compilation fait par un expert reconnu.
Cordialement
Zoldick
Re...
Boh, je te rassure, j'ai employé le mot "troll" car j'avais l'impression d'avoir écrit un gros pavé. J'ignore réellement ce que veut dire ce mot (ou je ne m'en rappelle plus).
C'est pas que le photon soit une notion nébuleuse. C'est surtout un mot employé beaucoup dans le sens courant, même par les enfants. Par contre quand on cherche la vérité par une loupe et qu'on essaie de comprendre le phénomène de la lumière (par exemple), c'est plus compliqué qu'il n'y paraît. Apparemment, il y a une sacrée et longue histoire à comprendre.Envoyé par ZoldickHors de ces considérations polémiques attisée par votre remarque sur Planck Einstein et de Broglie je reste étonné que la définition d'un objet aussi fondamental que le photon reste aussi nébuleuse.
Sinon, je ne pense pas que les physiciens et/ou les mathématiciens aient construits des raisonnements abracadabrants (si j'ai bien compris ta pensée). Qu'ils se soient trompés à une étape, c'est possible, mais au vu des avis des différents intervenants, la MQ est un modèle qui se porte apparemment bien et il est solide pour le moment. Après pour le comprendre, c'est une autre histoire ...
Cordialement.
Bonsoir
c'est minimaliste, esthétique et non dérangeant quand il faut aborder les différents photons des modèles.Envoyé par physiciensexcitation du champ électromagnétique
je ne comprends pas le problème à adopter cette définition dans un forum de sciences.
Dans un forum pour collégiens, on dirait "petite lumière visible ou invisible".
et chez des pros de la MQ, le mot ne serait prononcé que pour préparer les communications à la presse ou pour venir nous parler entre 2 recherches
Et puis, je voudrais qu'on soigne les gentils pourvoyeurs ( providers ) en bons messages et en liens du tonnerre ... On ne les a pas ménagés dans ce fil, c'est pénible quoique je sois sûr qu'il n'y avait pas de mauvaise intention.
merci à tous et bonne nuit
Bonsoir a tous.
Il n'est de file qui ne se termine.
Ayant épuisé les intervenants par ma question pourtant simple (du moins je le croyais) sur ce que pouvait entendre un physicien quand il utilisait le mot photon il faut se rendre a l'évidence :
Cette particule est un mythe.
Suivant les atomistes anciens (anté relativistes) c'est un grain de matière (limité dans l'espace) se déplaçant dans l'espace a C. C'est une particule comme les autres mais très petite, sans charge électrique, etc
cette conception est vieillote et révolue
Pour les atomistes modernes (relativistes) c'est une particule de matière qui ne contient que du mouvement à défaut de matière, ce mouvement de rien se déplaçant dans l'espace a une vitesse aussi constante qu'invariable suivant les référentiels à C. son énergie est variable suivant les cas de 0 a infini joules (suivant la demande) les seules grandeurs physiques de cet objet sont sa vitesse fixe et son énergie infiniment variable
l'ultime étape conceptuelle :
D'après les quantiques plus modernes et radicaux c'est une excitation d'un milieu vide mais plein d'objets aussi inconnus qu'inconnaissables , excitation d'origine non précisée, ne se déplaçant pas dans ce vide qui contient d'autres vides, autant de vides que de phénomènes à relater. ce photon quantique a donc perdu sa vitesse il lui reste son énergie (j'en suis pas sûr)
Devant cet échec malheureusement non sémantique mais cognitif, je ne peux que déclarer forfait.
aussi je déclare ce file NON RESOLU
je remercie encore les intervenants
par ordre d'entrée en scène
Zoldick (l'auteur)
Albanxiii, Deedee81, Coussin, Mariposa, Nicophil, U100fil, Amanuensis, Ordage, Obi76, Garion, Gilgamesh, Les terres bleues, Gondebaud, Chanur, Misspacman, Stefjm, Ansset, Mike.p
qui ont consacré de leur temps à répondre à mes attentes insensées.
Zoldick
Merci à vous pour votre roman photo (image que vous avez de la physique et des mathématiques) de l'été qui m'a fait passé des petits moments de dilettante à vous lire.
Au plaisir de vous lire à nouveau si vous vous lancez dans un prochain roman.
Patrick
libre à l'auteur ( tel qu'il se defini lui même ) de faire l'introduction et la conclusion, de refuter toute argumentation en se situant sur le champ sémantique, tout en se disculpant de le faire.
j'attend aussi le prochain roman
peut être sur la définition de "lunivers". ?
Bonjour,
Hum...y en a qui se plaignent de romans photo, mais qui n'hésitent pas à souffler sur des braises avec comme conséquence d'avoir un roman feuilleton qui pourrait aller jusqu'à la page 50 ...
mike.p : Fournir des définitions échelonnées est je trouve une bonne idée (par contre, remarque : je ne pense pas que la définition "petite lumière visible ou invisible" suffise aux collégiens, mais ce n'est pas moi qui pourrait en donner une autre n'étant pas enseignant en Physique au collège).
Zoldick : Une dernière petite chose : dans ta phrase "Hors de ces considérations polémiques attisée par votre remarque sur Planck Einstein et de Broglie je reste étonné que la définition d'un objet aussi fondamental que le photon reste aussi nébuleuse.", je n'avais pas fais gaffe au début de la phrase (car plus concentré sur le mot "nébuleuse") où il y a je pense une erreur d'interprétation : Je n'ai pas fait de considérations polémiques attisée par une remarque sur ces savants, pour info. C'est plutôt le contraire.
A+