Cela veut-il dire que quand on ne regarde pas une particule, elle se comporte comme une onde et des qu'on le regarde, ici dans le sens de mesurer ou pertuber elle se conduit comme une particule d'ou les piques bien délémité sur l'écran B.Le fait que la particule passe par les deux trous dans l'experience d'Young est pour moi pratiquement le seul et le plus grand mystere de la MQ : quand on ne regarde pas une particule, elle se comporte comme une onde.
A++
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Oui je crois que l'on peut dire cela !Envoyé par glevesque
Il faut bien comprendre "regarder" au sens general de "mesurer" avec toutes les difficultes que cela comporte ! On ne sais pas vraiment ce que "mesurer" veut dire dans ce contexte finalement. Par exemple dans l'effet photo-electrique, le photon incident sur un atome deloge un electron du cortege, comme si ce photon se comportait comme une particule : ici, le photon a ete "mesure" par son interaction avec l'electron.
Je crois que je vais bientot prendre des vacances a Montreal
Salut humanino
Voici mon interprétation du phénomène
Le phénomène des fentes de Young illustre bien le prostulat de la mécanique quantique concernant la dualité onde-corpuscules. Voici comment interpréter cette dualité onde-corpuscules dans notre monde réelle, et de manière imager bien sur. Nous avons une petite maison située au beau milieu d’un champs de carrotte immence et ceinturé par des arbres d’une foret. Dans la maison nous avons un homme qui essai de calculer la trajectoire précise que prendera un lièvre à partir du boisé pour ce rendre dans son champs de carrotte. L’homme ne voit pas le lièvre, car il est dans sa petite maison, pourtant le lièvre est bien réelle, il est là quelque part et il attend le moment propice pour aller fuiner dans le champs de carrotte. Ainsi notre scienfique à déterminer les différentes probalitées de trajectoire possible que peut prendre le lapins à partir de la lisière du boisé. Mais tand qu’il ne sortira pas de sa cabane pour le voir de ses propre yeux, il ne pourra vérifier le résulta de ses chiffres.
Tant que l’homme restera dans sa cabane nous avons a faire à un phénomène tout à fait naturelle n’ayant subit aucune pertubation ou influence de l’extérieur. Ici nous retrouvons le comportement ondulatoire des champs de matière-énergie (symbolisant les ondes) t’elle qu’illustrer par la mécanique quantique. Le lièvre peut prendre toutes les trajectoires possibles pour ce rendre dans le champs de carrotes, mais le lièvre sait exactement ou il est en ce moment précis et symbolise du même cout l’aspect causale des choses, ce que notre homme na pour l’instend aucune espèce d’idées et aucun moyen de la savoir également, sauf celui de sortir à l’extérieur de sa cabane pour vérifier ses résultats. Le lièvre se met en direction du champs de carrotte et notre homme déside de jeter un petit cout d’oeil à l’extérieurs, mais il sait qu’il risque d’influencer le résultat final en sortand à l’extérieur. Pris d’inpatience il décide donc de sortir de sa cabane et au même moment il appercois le lièvre qui s’immobilise immédiatement. Cette scène veut représenter l’interaction entre les différents champs de matière-énergie (ondes) avec leurs différentes grandeurs de champs de matière-énergie (voulant symboliser les particules par leurs interactions). Notre homme connaît à présent la position exacte du lièvre, mais ce dernier en l’apercevant s’enfuit dans le boisé, modifiant ainsi le comportement naturel du lièvre vers le champs de carrotte.
Et voilà le fait d’aller observer de plus près le phénomène notre observateur à dut pertuber et influencer le déroulement naturel des choses, qui est symboliser ici par les comportement des champs de matière-énergie (ondes) et il a provoquer un changement par interactions entre les différentes grandeurs de champs de matière-énergie (particules). Ce mécanisme représente en faite le principe d’incertitude d’Heizenberg. Alons asteur (maintenent) du coté de la mécanique quantique.
Mécanique quantique :
Le déplacement naturelle des champs de matière-énergie (ondes) dans le tissus support (Éther) espace s’effectue de manière ondulatoire, tandit que leur manifestation sur le plan matériel s’effectut de manière particulaire par leur interaction mutuelle les uns par rapportr des autres. Les interactions entre les champs de matière-énergie (ondes) sont caractérisées par leur grandeurs de champs de matière-énergie (particules) intervenant dans les interactions.
Dans le phénomène de Young les champs de matière-énergie (ondes) vont se propager de manière ondulatoire, qui est le mode de propagation naturel dans les tissus support (Éther) espace. La plupart vont passer à travers sans interagire avec les fentes de Young tandit que certains vont interagirent avec les électrons qui compose les parois des fentes de Young, ils se matérialise alors sous forme de grandeur de champs de matière-énergie (particules) dans leurs différents comportement interactionnelle. Ce phénomène interactionnel perturbe leur comportement de propagation naturel d’origine ondulatoire, qui est directement associé aux propriété (en quelque sorte) du tissus support (Éther) espace et ils vont être réfractés (réimit après absortion) par la suite selon des angles bien spécifique. Pour une fente de Young ouvert et une de fermer on y retrouve la courbe standard avec son pique au milieu, déterminer par le nombres de champs de matière-énergie (ondes) ou de son amplitude plus prononcée au centre. Les angles de réfraction sont de type convergent, ce qui veut dire qu’elle reparte à angle opposé du bord de la fentes de Young. Avec les deux fentes de Young ouverte nous retrouvons le comporetement typique des franches d’interférence des champs de matière-énergie (ondes), le pique situer au milieu des deux fentes de Young sur l’écran B est peut-être dut par une sorte de convergence ondulatoire provoquée par la présence mutuelle des deux faisseaux d’énergie d’origine commune, comme une sorte de lentille gravitationnelle pour les champs de matière-énergie (ondes), et qui corresponderait à une certaines propriété du tissus de propagation support (Éther) espace versus le déplacement des champs de matière-énergie (onde) dans celui ci.
Asteur (Maintenant) si nous interférons avec le système pour tenter de mesurer certains critère de celui-ci, soit avec des champs magnétique ou des faiseaux d’ondes secondaires pour détecter la trajectoire ou l’énergie dégagée par les champs de matière-énergie (ondes), alors tout comme dans l’exemple du lapin nous changons le comportement naturel du phénomène et faisont interagires des champs de matière-énergie (ondes) par des grandeur de champs de matière-énergie (particules). Ce qui perturbe et influence les résultats porter sur l’analyse du phénomène, ici nous devons faire intervenir le principe d’incertitude d’Heizenberg pour corriger le tout. Cette petite matérialisation des champs de matière-énergie (onde) durant leur interaction, a suffit pour influencer le phénomène dans sa totalité et briser les interférences portées et observées sur l’écran B. Ici ce n’est pas une nouvelle théorie mais juste une manière de se représenter le phénomène d’une autre manière.
A++
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A la bonne heure !
A que j'aime-t-a lire la poesie quebecoise ! Je te promet de le relire tantot avec plus d'attention, mais tout ce que tu dis me semble correct. Asteur j'ai un peu de travail sur le poele !
Salut humanino, deep_turtle, spi100, Mtheorie, scientist, OKO, et autre...
J'aimerais avoir votre opignon pour le poste 93 ci-haut. Merci
A++
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Ceci n'est pas faux, mais n'est pas a l'origine du phenomene dit d'interference. Ce phenomene est suppose negligeable dans l'experience type des fentes d'Young.
L'interference, c'est vraiment parce que les phases (directions) des amplitudes (fleches) des chemins 1 et 2 correspondants aux fentes 1 et 2 peuvent etre opposees. Considere 1 point sur l'ecran de visualisation, et considere les longueurs des chemins de ce point aux deux fentes. La direction de chaque fleche est proportionnelle a la longueur de chaque chemin. Tu dois additionner les deux fleches : si les directions sont opposees, ca fait 0. Si les directions sont les memes, ca fait une plus grande fleche. Selon le point sur l'ecran de visualisation, il y a extinction ou augmentation de l'intensite (par rapport au cas ou il n'y avait qu'une seule fente)
La longueur des fleches est inversement proportionnelle au carre de la longueur du chemin.
Merci humanino,
Dernière petite question à se sujet,
S'agit-il d'une propriété du support de propagation des ondes et des particules ou d'une sorte de propriétées des particules entre elles ou des ondes entres elles et peut-être associée au phénomène EPR.
A++
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Petite question! tu taquines...
Il s'agit d'une propriete ondulatoire generale. Ca marche avec des ondes dans l'eau : dans un bassin tu places un ecran avec deux fentes, d'un cote tu fait osciller une masse a la surface de l'eau qui engendre des ondes concentriques, et de l'autre tu regardes le niveau de l'eau sur le mur. Il y a le meme schema, avec des "noeuds" ou le niveau reste toujours le meme, et entre les noeuds des oscillations.
Sur le paradoxe EPR : de prime abord on dirait "non ca n'a pas de lien apparent avec le phenomene d'enchevêtrement quantique". Evidemment, si comme j'ai cru comprendre, tu recherche une explication fondamentale au formalisme de la MQ, et que ces deux phenomenes sont pronfondement l'essence de la MQ, il est probable que l'on devrait reussir a les interpreter de facon coherente.
C'est en effect ce que je cherche à comprendre et de ce qui limite ma compréhension, merci pour tout humanino et de ton aide si précieuse.
A++
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