Salut à toutes et à tous
La matière vivante évolut avec le temps et s'adapte petit à petit à toute sorte de situations de survie. Ainsi la matière oganique s'organise de plus en plus et de toute les manières possibles, et ceci grace aux différentes capacités structurelles et biochimique de nos différentes molécules d'ADN (molécule de base de notre hérédité, ou acide nucléiques). La vie évolut ainsi vers des sommets de plus en plus haut en complexité. Mais la vie recherche un équilibre de plus en plus stable sur le plan matériel des choses, elles cherches des situations de complémentarité sous différentes formes de liaison chimique, et qui vise du même cout toutes sortes de situation d'équilibre. La vie est donc une quète incéssente qui est axée sur la recherche d'états d'équilibre dynamique et physico-chimico-électromagnétique entre ses différentes constituant moléculaire et capable du même cout de capacité de reproduction ou d'auto-réplication.
La vie est donc le résultat d'une sorte d'équilibre chimique, qui s'établit alors entre les choses qui sont composées de matière organique et à base de cardonne. Sur le plan purement matériel et descriptifs, il s'agit en fait de comportement auto-programmer et entièrement automatique qui sont alors dictées par la simple expression des lois interactionnelles de la nature, ici nous nous faisons allusion aux interactions électromagnétique de la nature. Mais voilà que la vie évolut tellement, qu'elle se dirige à la longue vers l'établissement de structure nerveuse de plus en plus complexe.
Jusqu'alors, le comportement de la matière organique n'était que le fruit de pure réflexe organique et composé éssentiellement d'automatisme électrochimique de toutes sortes. Des protozoaire (unicellulaire) aux métazoaires (pluricellulaire), les lois chimique de la vie sont les mêmes partout. Mais voilà qu'au fil du temps et des ères géologiques, la nature se met à concevoire des cerveaux de type mammalien, qui correspond en gros à l'émergence de l'embranchement des mammifères vers 200 millions d'années environ. C'est dernier possède un tout nouveau type de système nerveux, qui va évoluer par la suite vers le cerveau d'un troixième type, qui est représenté par celui de l'homme moderne avec une excroissence du nécortex cérébrale. Rendu à ce niveau, le comportement de la matière par de simple manifestation de réflexes et d'automatisme conditionné à partire des prémisses de base héréditaire, ne semble plus adapté pour expliquer toutes ses nouvelles capacités dynamique, fonctionnelles et comportementales que peut désormais manifester les organismes vivant qui sont parmient les plus évolués et les plus complexes de la nature et du règne animale.
Chaque comportement du règle animale et végétale à ses propres prémises qui remonte aux lois associatifs et complémentaire de la matière. Ceux-ci sont d'ordres beaucoup plus fondamentaux, et régisses en gros les différents potentiels et les différentes mécanismes d'actions-réactions manifestatable des choses de la nature qui sont composées de matière vivante ou inertes. Ils s'agit de processus biochimique, électrique, magnétique et physico-chimique, mais dans la matière vivante le tout ou presque tout, est directement associé aux différentes formes de controles des structures bio-génétique. Les gènes surveilles en gros les phénomènes d'architecture et d'actions plus globale qui sont associé à certains phénomènes d'ordre secondaire et pas directement associé aux controles héréditaire, mais lui étant complémentaire en structuration évolutive et adaptatoire de la vie. Voici un exemple avec certaines vitamines qui ne sont pas synthétiser par nos cellules, mais directement puiser dans leurs environnement extérieur. Certaines vitamine s'associe avec d'autre molécule comme des protéines, pour former entre autre certains co-facteurs qui sont éssentielle à l'activité molécullaire et biochimique de la cellules (Cycle de la respiration cellulaire par exemple des mitonchondries).
Tout ces différents mécanismes d'échange dynamique et d'auto-affinité structurelles, sur le plan des interactions énergétique entre les particules et macro-molécules de matière. Vont évoluer en structure de plus en plus complexes et ceci au fure et a mesure que l'on remonte les reignes du monde du vivant. Ainsi pour un vers de terre, une éponge ou une méduse par exemple, la recherche de nouriture va s'effectuer par des liens plus directe avec son environnement, et par l'intermédiaire de capteurs chimique bien spécialiser. C'est la nature et les liens qu'elle entretiens avec les choses qui la compose qui a permis tout cela. Il s'agit d'un phénomène d'affinité interactionnel sur le plan chimico-électromagnétique, qui a convergé et orienté le tout vers cette forme de structuration évolutive de la matière organique, par toute sorte de processus qui sont reliées et associées à la recherche d'une forme d'équilibre dynamique et de complémentariter vibratoire entre les choses de matière vivantes. Ce schéma évolutive de la matière vivante, favorise donc pour les organismes vivant les plus simple, des phénomèmes d'ordres purement automatique, ces dernié étant former d'embranchement et de circuits cellulaire et moléculaire de type réflexe tout simplement.
Mais plus nous progressons dans les différents règnes animale et plus les différents types de schémas comportementaux sembles bien défier cette règles d'or qui découle directement du fonctionnalisme purement réductionnisme et matérialisme de la question et pour les croyances athéisme. En fait plus nous nous élevons dans le règne animale et plus le cerveau prend la relève et agits comme intermédiaire directe à tout schéma comportementaux non instinctifs. Il y a toujours les comportement d'ordre instinctif et inné, qui sont l'héritage de l'évolution de la vie à travers les ages. Mais leurs activité s'arrète qu'aux différents phénomènes de base des organismes vivant d'ordre supérieurs, il leurs serves désormais que d'alertes pour la survie et les autres instincts de concervation.
Au-delà du règne animale des reptiles (cerveau de type reptiliens) et en se dirigant de plus en plus haut dans la hiéarchie animale. Le cerveau évolut de facon quasi parallèle et vers des niveaux de complexification organisationnelle de plus en plus grande et de plus en plus complexe. Il passe par le cerveau de type mammaliens des mammifères prémitif, là il prend de plus en plus la relève des schémas purement instinctif et innées des émotion (faim, soife etc...) et les encardres (système limbique) par un semblant de sentiment d'ordre plus abstrait et beaucoup plus subjectif comme interprétation introspectif des comportements innée à l'origine. Rendu à l'homme, nous rencontrons un nouveau type de cerveaux, c'est le type de cerveaux humain caractérisé par son néocortex énorme et le nomdres bien défini et bien délimité de ses circonvolutions cérébrale. Le néocortex joue un role associatif et de mémoire comportementale très important.
Alors si les schémas comportementaux ne découle simplement que de réflexe et d'automatisme très complexe, mais qui sont définit à la base par toutes sortes d'embranchement et de renforcement de circuits nerveux, représenter par toutes sortes de regrouppement et embranchament de différents réseaux de neurone par lequel circulera et cheminera l'influx nerveux. Commant peut-on dire dans ses conditions, que la conscience qui définit notre a priori intime de la perception de soi et de son entendement, découlerait tout simplement de tout ceci et émergerais de mécanisme purement automatique et mécanique de la matière. Si cela était vraiment le cas, alors la conscience ou la simple impression d'avoir conscience, n'aurait tout simplement pas son mot a dire dans l'ordre comportementale des choses. Vu que ceux-ci serait tout simplement la conséquence directe de tout ses mécanismes et automatismes d'ordre purement matériel et neurologique, et par le fait même la conscience en ne serait pas la cause même ou première de nos fait et actes, de notre volonté et sentiment de liberté, car tout serait dicté à l'avance et a notre insus. Alors là oui, tout ne serait qu'illusion.
Alors comment dans de t'elle condition, pourrions-nous avoire la simple impression d'avoir plus ou moins le controle de nos actions et comportement. La matière de par elle-même ne peut avoir conscience d'elle-même. Alors pourquoi en est-il autrement et avons nous conscience de nous même et des choses qui nous entoures. La conscience ne peut découler ou émerger tout simplement de l'enganchement de la matière nerveuses aussi complexe soit-elle, car la conscience présuppose de la volonté de ses actions sur les choses et déside de les faire. Une amalgame de réflexes automatiques et conditionné en schémas comportementaus par l'évolution, aussi complexes soit-ils, peut-il vraiment simuler la conscience et les resentiments resentis de la sensibilité des choses qui nous entoure et qui nous imprègnes. Et bien non, sauf si l'on admet un principe qui se situt endehord des choses de matière. Et bien ce principe est l'aspect d'intelligibilité des choses qui évolut. Et ce principe qui est axée sur l'intelligibilité ne peut-être situé qu'à l'extérieure des choses purement fait de matière, enfin je crois, mais vous !
Gilles
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