Une molécule vient d'être découverte, qui semble signaler la plus grande probabilité de développer des métastases après l'apparition d'une tumeur du sein. Cette protéine HP1 alpha, mise en évidence à l'Institut Curie, apparaît comme un bon marqueur qu'il suffirait de doser pour affiner le pronostic et ce, probablement, pour d'autres cancers.<br />
Pourquoi le même genre de tumeur ne provoque-t-il pas les mêmes effets chez tous les patients ? Premières soupçonnées, les variations génétiques d'...
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