Salut à tous
Juste avant l'évènement de la sonde huyengs le 14 janvier 2005, je vous offre un petit quelque chose a vous mettre sous la dents concernant les origine de la vie
La vie est en fait le fruit de l’évolution de la matière organique, située a des niveaux d’organisations et de struturations très complexes. La matière organique est caractérisée par des échanges chimiques réalisés entres les différentes molécules composées de carbones, d’azote, d’oxygène, d’hydrogène, de phosphore etc.. Échanges qui sont alors effectués à partir de différentes réactions d’oxydoréductions ou de transfères d’électron. Il s’agit en fait, d’un phénomène purement chimique, qui est basé sur l’échange d’électrons ou d’atome d’hydrogène. La vie sur terre est basée sur la chimie du carbone, de part son potentielle électrochimique (électronégativité) qui est très élevée et capable d’entretenir quatre liaisons chimiques différentes à la fois. Ce qui augmentent les différentes possibilités de combinaisons atomiques et moléculaires, portés sur la diversification des molécules organiques et qui est un phénomène nécessaire aux différents processus d’évolution et de développement de la vie. Ce type de réaction chimique appliquée aux différentes molécules centrées sur la chimie carbone, sont représentés et regroupés à l’intérieur des différentes réactions biochimiques de la matière vivante.La vie n’est pas le fruit du seul hasard, mais
découle belle et bien de l’évolution chimique
de la matière, qui est alors organisée en des
structures de plus en plus complexes
L’énergie des atomes provient essentiellement de leurs différentes configurations électroniques, c’est-à-dire du nombre total d’orbites remplient d’électrons et formant différentes couches superposées que possèdent les atomes, et du nombre d’électron de valence situé sur la dernière orbite de l’atome et déterminer par la distance de ses derniers du noyau. Cette configuration électronique est déterminée par le nombre de proton confinée à l’intérieur du noyau atomique, et qui est toujours le même que le nombre total d’électron, sauf dans les états d’ionisations de la matière, l’atome présente donc une charge et un potentiel électrique neutre. Ses différents attributs de l’atome, détermineront les différents potentiels réactionnels électromagnétiques et électrochimiques de la matière, c’est-à-dire de l’électronégativité ou de l’électropositivité d’un l’atome ou d’un l’élément chimique. Le remplissage ou la soustraction en électron de la dernière couche électronique de valence, qui s’effectuent d’une manière bien spécifique d’une couche électronique à l’autre, donne aux atomes ou aux éléments chimiques, certaines propriétés ioniques et électriques supplémentaires.
Les réactions d’oxydoréductions, impliques des molécules ou des atomes donneurs d’électrons ou d’atomes d’hydrogènes, ils seront alors oxydés après la réaction, comme pour le gaz carbonique (CO2) qui est l’état d’oxydation maximum pour le carbone. Ici le carbone a donné deux de ses électrons de valences à chacun des atomes d’oxygène, dans le but d’établires les deux liaisons covalentes. L’oxygène présente une attirance, une affinité ou une électronégativitée chimique plus grande que le carbone, le rendant ainsi beaucoup plus réactif que ce dernier, envers les différentes réactions électrochimiques de la matière. L’état d’oxydation donne aux atomes et aux molécules, une certaine forme de stabilité réactionnelle, par rapport à leur état plus réduit se trouvant alors dans un milieu à forte teneur en oxygène. Ainsi l’hydrogène qui est l’élément le plus électropositif et le plus simple du tableau périodique, ne possédant qu’un seul proton et un seul électron, il aura tendance à se joindre et à donner son électron, aux éléments chimiques les plus électronégatifs, comme l’oxygène pour former entre autre des molécules d’eau (H2O). Dans ce cas l’hydrogène, tout comme le carbone de l’exemple précédent, est dans un état oxydé et l’oxygène est dans un état réduit, ayant capturés deux nouveaux électrons, rendant ainsi la molécule d’eau plus stable envers les réactions électrochimiques. L’oxygène a la fâcheuse habitude de voler les électrons à ses partenaires tout en les oxydant du même coût.
Il y a aussi les molécules ou les atomes accepteurs d’électrons ou d’atomes d’hydrogènes, ils seront alors réduits après la réaction, comme pour le méthane (CH4) qui est l’état de réduction maximum pour le carbone. Ici les quatre atomes d’hydrogène ont donné au carbone leur seul électron de valence, pour ainsi former les quatre liaisons covalente de cette molécule. Ici l’hydrogène est dans un état oxydé, ayant joué le rôle d’un agent réducteur pour le méthane, tout comme le carbone dans la molécule de CO2, et le carbone est dans un état réduit, ayant joué le rôle d’un agent oxydant pour cette molécule, tout comme l’oxygène dans la molécule de CO2. Les molécules de méthane (CH4) ou gaz des marais, seront donc très réactives et inflammables en présence d’oxygène moléculaire (O2) contenu dans l’atmosphère, ou envers d’autres atomes ou molécules présentant une électronégativités, une affinité ou une attirance chimique plus grande, comme l’azote, le fluor et le chlore par exemple.
Pouvant provoquer ainsi différentes réactions chimiques très rapides, et pouvant même êtres à l'occasion très explosive. Ainsi selon la proportion d’atomes d’oxygènes et d’hydrogènes entrant dans la composition des différents composés chimiques ou organiques. Ils seront soit dans un état oxydé ou réduit. Comme pour les hydrocarbures, les acides gras, les graisses représentées par les lipides, et tous les hydrates de carbones regroupant les sucres. Ses différents composés organiques sont très réactifs, en présence d’oxygène ou d’atomes présentant des affinités et des propriétés équivalentes, ils son caractérisées par leurs différents états réduits, pouvant ainsi servirent de réserves d’énergie pour toutes sortes de réactions biochimiques effectuées à l’intérieur des cellules.
Les différents processus pouvant conduire à l’origine et à l’évolution de la vie, font donc partie intégrante des lois de la nature. Étant tout simplement une forme d’organisation supérieure que peut prendre la matière, qui cherche ainsi par tous les moyens possibles et selon ses différentes propriétés, à établir des affinités électrochimiques de plus en plus complexe entre les différents composants d’un milieu quelconque. Ceci afin d’acquérir une certaine forme d’équilibre envers leurs différents potentiels d’énergie, et non étant le seul fruit du hasard. Ainsi après la formation d’un système planétaire et selon les conditions du milieu, face aux différentes conditions nécessaire à l’éclosion et au maintient de la vie. Celle-ci se développera petit à petit à la surface de la planète en formation et prendra par la suite, toutes sortes de directions évolutives, pouvant alors se manifester sous différentes formes de vie biologique. Et pourquoi pas, pour finalement atteindre le niveau d’évolution et de développement conduisant à la prise de conscience, comme cela à déjà eu lieu sur notre propre planète.
Certaines des molécules organiques, qui sont essentielles au développement initial de la vie, sont déjà présentes dans les différents milieux interstellaires, lors de la formation des systèmes protoplanétaires et située entre autre, à l’intérieur des gigantesques nuages moléculaires galactiques. Matière organique dont nous retrouvons de plus en plus les traces à l’intérieur de notre propre galaxie. Plusieurs centaines de molécules interstellaires ont déjà été répertoriées jusqu’à ce jour, dont une soixantaine d'entre eux son d’origine organique entrant dans la fabrication ou constituent tout simplement la matière vivante actuelle. Les conditions gravitationnelles étant alors favorables à la concentration de tous ces éléments chimiques et organiques à la surface des objets planétaires en formations, comme les grains de poussières, les cailloux, les planétésimaux, les comètes, les astéroïdes et les planètes. Il est donc rendu possible de poursuivre et de comprendre mieux la suite des évènements, qui sont alors axés sur l’origine et l’évolution de la vie.
A partir du moment ou nous retrouvons dans l'environnement interstellaire du carbone et de l’oxygène en abondance, la chimie du carbone peut alors se mettre en route. Les molécules présente dans ce nuage sont plus complexes que l'on pourrait le croire. Certes, aux grés des chocs, le carbone se combine avec les autres atomes présents (surtout de l'hydrogène), mais surtout la présence de poussières fournit un substrat sur lequel se produisent des réactions chimiques qui utilisent l'énergie du rayonnement stellaire. Ces poussières (de 0,1mm ou moins), en rapprochant les atomes et les molécules avant leur interaction, jouent le même rôle que les catalyseurs minéraux (mousse de platine par exemple) utilisés en chimie ou l'ion H3+. Les molécules formées résultent principalement de combinaison avec de l'hydrogéne. Ces poussières forment des structures floconneuses comportant de la glace amorphe de haute densité, se comportant comme un fluide visqueux, des silicates et des molécules à base de carbone (hydrocarbures simple principalement). Ces particules vont s'aggréger pour former deux types de corps solides: les planètes telluriques près du soleil et, plus loin, les noyaux des futures comètes.
La suite dans le prochain poste
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