Tout dépend de ta consommation,
si tu en consomme peu tu es redshité sinon t'es blueshité
-----
Tout dépend de ta consommation,
si tu en consomme peu tu es redshité sinon t'es blueshité
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Non, même pas. Confusion entre espace-temps et espace+temps.
Plus généralement, les propriétés de l'espace-temps sont indépendantes du choix d'un référentiel (principe de relativité).
Dernière modification par Amanuensis ; 27/09/2013 à 14h50.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Ça y est ! Je crois que nous mettons là le doigt sur le hiatus dont j'avais parlé entre les explications d'Einstein, accessibles au commun des mortels, et la cinématique minkowskienne, qui est un véritable casse-tête.
Dans ma RG, la présence d'une masse déforme l'espace et non l'espace-temps. Je n'ai donc pas besoin de me casser la tête avec la 4D.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Salut.
Sur la relativité en générale très restreinte, j'ai tout lu et son contraire sur le forum.
Chacun y va de son propos sybillin, un coup blanc, un coup noir, suivant le propos à contrer. Faudrais un jour se poser et parler d'une manière plus claire que "c'est faux", "vous êtes dans l'erreur", etc et exprimer un avis compréhensible par un être humain.
Pour faire simple :
Pour chaque question, il y a toujours une réponse qui est simple, évidente, et fausse.
Xirdal.
Maintenant que l'on sait que ce que l'on appelle vide a de l'énergie, on peut légitimement se demander si parler de vide a encore un sens.
Vu sous cet angle Nicophil semble bien avoir raison, l'espace a une consistance et la modularité de cette consistance s'accorde bien de la RG.
Cependant je fais une remarque, temps et espace sont liés, la "concentration" d'espace va déterminer la valeur du temps, alors parler de la déformation de l'espace ou de l'espace-temps pourrait bien revenir au même.
Et du coup on n'a pas beaucoup avancé, mais on s'est éloigné du sujet, arf je l'avais oublié cuilà.
Bla-bla pataphysiquel'espace a une consistance et la modularité de cette consistance s'accorde bien de la RG.
Cependant je fais une remarque, temps et espace sont liés, la "concentration" d'espace va déterminer la valeur du temps, alors parler de la déformation de l'espace ou de l'espace-temps pourrait bien revenir au même.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
l'hiatus (justement )le hiatus
Il est clair que la RR du matheux Gourgoulhon n'est pas la RR du physicien Einstein.
Le pire dans tout ça, c'est que le grand Poincaré avait eu l'idée de Minkoswki avant lui mais l'avait rejetée pour des raisons épistémologiques évidentes.
Les reproches, justifiés, qu'Amanuensis adresse à la plupart des intervenants (et qui peuvent en effet se résumer à continuer à penser en espace+temps et non en espace-temps), il aurait pu les adresser à Einstein lui-même.
Dernière modification par Nicophil ; 27/09/2013 à 16h13.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Deedee, je crois que c'est l'heure là, hehe
Si une masse déforme l'espace+temps ou l'espace-temps, on peut comprendre que les horloges atomiques de la constellation GPS se désynchronisent.
A contrario, si l'espace+temps n'est pas déformé en RR, il n'y a aucune raison pour que des horloges atomiques ne mesurent pas les mêmes durées.
Pour l'espace-temps en revanche...
Dernière modification par Nicophil ; 27/09/2013 à 17h49.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.
Bonjour,
Pour définitivement clore le sujet, faites un diagramme d'espace-temps !
J'ai posté un site en physique qui propose des applications Java qui permettent de le faire et même de faire une transformation de Lorentz pour voir ce que cela donne dans un autre référentiel équivalent....
@+
Not only is it not right, it's not even wrong!
Sur ce point précis alban, pas besoin de grands diagrammes, il suffit de regarder les équations de Lorentz : http://www.techno-science.net/?ongle...efinition=8066
Le calcul du facteur de Lorentz qui fixe la mesure du temps (et de l'espace) se fait sur la base de la vitesse, il n'y a pas l'ombre d'un doute.
C'est peut-être con ce que je vais dire mais l'accélération c'est juste un changement de vitesse.
Bon allez, j'ai deux jumeaux sous la main et j'adore jouer avec eux, je leur donne chacun une fusée cette fois mais l'un d'entre eux va voyager plus loin, plus longtemps.
Ils font chacun un aller-retour, accélèrent de la même manière et voyagent à la même vitesse.
A la fin les deux auront subi les mêmes accélérations, la seule différence est la durée du voyage à une vitesse proche de c.
Celui qui aura voyagé plus longtemps sera plus jeune.
Il n'y a en effet aucun doute que votre affirmation est fausse.
La mesure des durées (propres) et des longueurs (propres) est totalement indépendante de toute vitesse.
Quand aux mesures obtenues comme différences de coordonnées, elles ne dépendent pas, en toute généralité, d'une quelconque vitesse, mais du choix (arbitraire) du système de coordonnées. Quand vous parlez de facteur de Lorentz vous parlez de coordonnées particulières, et de leurs relations, qui, dans ces cas très particuliers, implique une vitesse relative définissable à l'aide de ces SC mêmes.
Dernière modification par Amanuensis ; 27/09/2013 à 18h42.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Mais je pense comprendre pourquoi il tend en ce sens, et il n'est pas le seul.
Dans le cadre de la RG on associe force de gravitation à courbure de l'espace-temps, et la force de gravitation est associée à l'accélération.
Il faut faire attention aux interprétations, on sait qu'une horloge placée en altitude tournera plus vite qu'une horloge au sol.
Qu'est-ce qui cause cela ?
La force gravitationnelle ou la densité d'énergie.
Les actions mystérieuses à distance sont un concept dépassé, donc si on avait un milieu homogène donc sans force de gravitation mais avec une densité d'énergie donnée, nous aurions un écoulement du temps correspondant à cette densité d'énergie, même sans force gravitationnelle.
Bonjour,
Soit un observateur O' situé au milieu du train. Avec deux lasers pointés, l'un vers l'avant du train, l'autre vers l'arrière, il émet à l'instant t = 0 deux éclats partant dans le sens opposé.
On va supposer que le train se trouve à une distance de l'observateur O très grande devant L la longueur du train.
train en approche
la vitesse apparente relative du train par rapport à O est
La vitesse de la lumière apparente est
J'imagine qu'en lisant cela, certains parmi vous auront envie de s'ouvrir les veines; ou mieux, d'ouvrir les miennes. C'est le même genre d'effet d'optique que pour le CMB.
Si, pour l'observateur O, l'éclat de lumière s'éloigne à la vitesse relative c – v de O' dans le sens du déplacement , et c + v dans le sens inverse, alors :
Pour l'observateur O, l'éclat lumière s'éloigne de O' à la vitesse relative apparente
pour un éclat de lumière se propageant dans le sens de la marche du train.
pour un éclat de lumière se propageant dans le sens inverse de la marche du train.
D'après le principe de la constance de la lumière dans les systèmes de coordonnées inertiels, pour l'observateur O' la vitesse apparente relative d'éloignement des éclats lumineux est c, indépendamment de la marche du train et correspond à la vitesse instantannée de la lumière puisque O' est stationnaire dans le train.
On a les égalités suivantes
et
donc
d'où :
Le temps apparent de O' parait s'écoule plus rapidement que le temps propre de O
train en éloignement
Un raisonnement analogue pour le train en éloignement donne :
la vitesse apparente relative du train par rapport à O est
La vitesse de la lumière apparente est
Et pour le temps apparent :
Ne me reste plus qu'à trouver la longueur apparente dans ces deux cas, et je ne serais pas contre un coup de main pour mieux formaliser tout ceci.
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)