SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique - Page 2
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SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique



  1. #31
    invite635fc15a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique


    ------

    La relativité générale reste toujours très peu en contact avec l'expérience aujourd'hui encore, me semble-t-il. Elle reste donc très spéculative (avec le cadavre dans le placard de la constante cosmologique) quand on la compare par exemple à la mécanique quantique ou à la relativité restreinte.

    Bon, ceci dit, elle reste toujours en bien meilleur contact avec l'expérience que les admirables spéculations de la théorie des cordes

    -----

  2. #32
    invite6754323456711
    Invité

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par pyrrhonic Voir le message
    La relativité générale reste toujours très peu en contact avec l'expérience aujourd'hui encore, me semble-t-il.
    Tu vas faire plaisir aux Astrophysiciens

    Patrick

  3. #33
    Paraboloide_Hyperbolique

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par pyrrhonic Voir le message
    La relativité générale reste toujours très peu en contact avec l'expérience aujourd'hui encore, me semble-t-il. Elle reste donc très spéculative (avec le cadavre dans le placard de la constante cosmologique) quand on la compare par exemple à la mécanique quantique ou à la relativité restreinte.

    Bon, ceci dit, elle reste toujours en bien meilleur contact avec l'expérience que les admirables spéculations de la théorie des cordes
    Zut alors, le gps ne fonctionne donc pas car basé sur la relativité générale. Il faudrait vite prévenir tous les usagers de la routes, des voies maritimes et aérienne et les militaires pour le leur dire.

    Plus sérieusement, la relativité générale a été (et est encore) testée: déflection de la lumière des étoiles par des cours massifs, lentilles gravitationnelles, détection de trous noirs, prédiction des orbites des planètes, prédiction d'orbites de pulsars, temps aller-retour de signaux radars avec des sondes spatiales, détermination de la quantité de matière noire présente dans les amas galactiques...

  4. #34
    invitef73a730a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour,
    Aujourd'hui, j'essaierai d'être plus bref
    Citation Envoyé par ù100fil
    Weyl , semble faire une construction de sa théorie « La Nahe-geometrie » basée sur un jugement synthétiques
    Possible, je n'ai jamais étudié plus que ça l’œuvre de Weyl, j'essaierai de m'y intéresser un peu plus. En attendant, Weyl écrit un passage qui correspond exactement au message que j'essayais de faire passer :
    p2 : "Les idées dont il s'agit ne sont pas nées à la suite de spéculations sur les fondements de la connaissance physique, mais ce sont des problèmes concrets de physique qui les ont fait naitre [...]
    Le travail de mise au point philosophique reste un travail de tout autre espèce que celui qui échoit à chaque science particulière"

    Bien entendu, ceci ne veut nullement dire qu'il n'est pas bénéfique pour un physicien de se retourner de temps en temps et de se pencher sur les problèmes de fondement.

    La construction par exemple de la théorie de la relativé générale est restée assez formelles durant une longue période du fait qu’alors, les technologies disponibles ne permettaient pas qu’elle fût en contact ni avec l’expérience, ni avec l’observation astronomique. Peut on prétendre que seul les faits ont organisé la réflexion ? Au préalable n'avons nous pas besoin d'un référentiel théorique ?
    Je suis absolument d'accord avec toi sur ce passage. Mon propos n'est nullement de défendre une vision purement empiriste de la physique que j'ai critiqué à de nombreuses reprises.

  5. #35
    invite6754323456711
    Invité

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Aristark Voir le message


    Bien entendu, ceci ne veut nullement dire qu'il n'est pas bénéfique pour un physicien de se retourner de temps en temps et de se pencher sur les problèmes de fondement.

    Par la suite la construction de ses concepts reposent sur un socle métaphysique inconscient ou non avoué. J.Bernard a cherché à les décrypter

    Patrick
    Dernière modification par invite6754323456711 ; 17/08/2012 à 14h34.

  6. #36
    invite6754323456711
    Invité

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour,

    Une analyse de Thibault Damour sur Einstein 1905-1955 : son approche de la physique

    Citation Envoyé par Einstein
    Le rapport réciproque de l'epistemologie et de la science est d'une nature assez remarquable.
    Elles dependent l'une de l'autre. L'épistemologie, en l'absence de contact avec la science, devient un scheme vide. La science sans epistemologie est - pour autant qu'elle soit alors seulement pensable - primitive et embrouillee. Cependant, a peine l'epistemologue2, qui recherche un systéme clair, s'est-il fraye un chemin vers un tel systeme, qu'il est tente d'interpreter le contenu de la pensee de la science dans le sens de son systeme et de rejeter tout ce qui n'y entre pas. Le scientique3, quant a lui, ne peut pas se permettre de pousser aussi loin son eort en direction d'une systematique epistemologique4. Il accepte avec reconnaissance l'analyse conceptuelle de l'epistemologie ; mais les conditions externes, qui interviennent pour lui au travers des faits de l'experience, ne lui permettent pas de se laisser trop restreindre dans la construction de son monde conceptuel par l'adhesion a un systeme epistemologique quel qu'il soit. Il doit donc apparaître a l'epistemologue systematique comme une espece d'opportuniste sans scrupule : il apparait comme un realiste dans la mesure ou il^cherche a decrire un monde independant des actes de la perception ; comme un idealiste des lors qu'il considere les concepts et les theories comme des libres inventions de l'esprit humain (elles ne peuvent être deduites logiquement du donne empirique) ; comme un positiviste s'il considere que ses concepts et ses theories ne sont justies que dans la mesure ou ils fournissent une representation logique des relations entre les experiences des sens. Il peut m^eme apparaître comme un platonicien ou un pythagoricien s'il considere que le point de vue de la simplicite logique est un outil indispensable et effectif de la recherche."
    Patrick

  7. #37
    invitef73a730a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par ù100fil Voir le message
    Par la suite la construction de ses concepts reposent sur un socle métaphysique inconscient ou non avoué.

    Patrick
    Cette phrase ne me dérange pas, et je suis prêt à être d'accord sur ce point, pourvu qu'on en précise le sens. Je suis tout à fait d'accord qu'un physicien peut se dire : voilà comment doit être le monde, voilà quelle doit être l'ontologie du monde, y compris au moment où il créée sa théorie. Je n'ai aucun problème sur le fait qu'une vision du monde peut avoir un rôle heuristique.

    Je suis totalement d'accord pour dire que, avoir par exemple un engagement ontologique sur le monde, afin par exemple de dire "le monde doit être fait de cordes, d'ondes, le monde doit être intégralement géométrique etc." est quelque chose qui peut participé à la création d'une théorie.
    Mais j'ai du mal à saisir le rapport entre avoir ce type d'engagements ontologiques et "s'interroger sur les sens qu'on donne à comprendre, expliquer, phénomène" (phrase sur laquelle je t'avais interpellé). Ce sont deux types de questions différentes.
    Pour clarifier les choses, mon point de vue est que la création d'une théorie nécessite tout type de spéculations sur le monde, y compris les plus sauvages, mais elle ne nécessite pas forcément de retour aigu sur la nature de la connaissance, de la compréhension, etc....
    D'ailleurs, c'est très bien dit par Einstein dans le passage que tu cites (et dont j'avais moi-même paraphrasé une partie au début de notre discussion) :

    "[...] les conditions externes, qui interviennent pour lui au travers des faits de l’expérience, ne lui permettent pas de se laisser trop restreindre dans la construction de son monde conceptuel par l’adhésion à un système épistémologique quel qu'il soit. Il doit donc apparaître à l’épistémologue systématique comme une espèce d'opportuniste sans scrupule : il apparait comme un réaliste dans la mesure ou il cherche a décrire un monde indépendant des actes de la perception [...]"

  8. #38
    invite6754323456711
    Invité

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Aristark Voir le message
    Mais j'ai du mal à saisir le rapport entre avoir ce type d'engagements ontologiques et "s'interroger sur les sens qu'on donne à comprendre, expliquer, phénomène" (phrase sur laquelle je t'avais interpellé).
    C'est pour moi une rétroaction pour interroger les constructions idéelles que nous avons bâti. Je conviens qu'elles ne semblent pas première dans la construction de nos connaissances.

    Patrick

  9. #39
    invite635fc15a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Paraboloide_Hyperbolique Voir le message
    Zut alors, le gps ne fonctionne donc pas car basé sur la relativité générale. Il faudrait vite prévenir tous les usagers de la routes, des voies maritimes et aérienne et les militaires pour le leur dire.

    Plus sérieusement, la relativité générale a été (et est encore) testée: déflection de la lumière des étoiles par des cours massifs, lentilles gravitationnelles, détection de trous noirs, prédiction des orbites des planètes, prédiction d'orbites de pulsars, temps aller-retour de signaux radars avec des sondes spatiales, détermination de la quantité de matière noire présente dans les amas galactiques...
    Oui quoique appliquer une théorie n'est pas forcément la vérifier et j' en rajoute même une de vérification, une vraie, sur l'effet de précession du gyroscope PRL 36, 629 (1976) et peut-être même dans pas longtemps la détection directe des ondes gravitationnelles.

    Cependant je maintiens ma position sur la différence de statut de la relativité générale et restreinte et sur le fait que la symétrie absolue invoquée en relativité générale pose problème mais ne détournons pas le sujet de ce fil.

  10. #40
    invitec32070f6

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour,

    Pour Lénard, les résultats expérimentaux qu'il avait rassemblés
    jusqu'en 1902 ( saturation du courant indépendant de l'intensité
    de la lumière ; influence observable du type de lumière mais pas
    de rapport quantitatif entre la fréquence et l'énergie de l'électron
    éjecté ) ne présentaient pas le moindre problème.

    Il les considérait comme une indication des processus complexes
    qui intervenaient à la surface du métal et il accueillit favorablement
    l'effet photoélectrique comme outil destiné à l'observation de ces
    processus : "Ce résultat", écrit-il "suggère que, dans le processus
    d'émission,la lumière ne joue qu'un rôle de déclenchement des
    mouvements très rapides qui doivent exister continuellement
    dans l'atome." ( la théorie du déclenchement a été appelée la
    "théorie moderne" au moins jusqu'en 1910 ).
    Source : "Adieu la raison", Paul Feyerabend.

    Etant donné que l'effet photoélectrique était, à l'époque,
    un phénomène inexpliqué, aucune théorie ne pouvait être
    réfutée par une observation de cet effet.

    Tant qu'il n'était pas admis, grâce à la théorie quantique,
    que la lumière est composée de quantons qui ne sont ni
    des ondes, ni des corpuscules, mais qui se comportent
    parfois comme des ondes, dans certaines conditions,
    parfois comme des corpuscules, dans d'autres conditions,
    et tant que l'équation de l'effet photoélectrique d'Einstein
    n'était pas interprétée grâce au concept de quanton, il
    n'était pas possible de dire si la théorie de Maxwell était
    réfutée ou pas. En attendant, on ne pouvait faire que des
    hypothèses.



    - C'est l'émergence de la notion de champ et la lente
    montée en puissance de son pouvoir explicatif et prédictif
    qui a condamné Lesage à l'oubli.

    - Pas très poppérienne, cette histoire ! Une théorie pourrait
    être écartée moins en raison de ses défauts ou échecs qu'en
    raison des réussites et de la fécondité d'une autre ?

    - C'est même le cas le plus fréquent, comme Feyerabend l'a
    amplement démontré.
    Jean-Marc Lévy-Leblond, Aux contraires, Gallimard.

  11. #41
    invitef73a730a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Sophie1235 Voir le message
    Pas très poppérienne, cette histoire ! Une théorie pourrait
    être écartée moins en raison de ses défauts ou échecs qu'en
    raison des réussites et de la fécondité d'une autre ?
    Bonjour,
    Je pense effectivement que cela se passe souvent comme ça. Le modèle de Lakatos en terme de programme de recherche, de noyau dur et de ceinture protectrice me paraît très bien adapté pour rendre compte de ce genre de phénomènes. On pouvait à l'infini rester dans un cadre classique (noyau dur) en l'aménageant avec des hypothèses concernant la structure de la matière, etc... (ceinture protectrice d'hypothèses auxiliaires) : c'était même peut-être la seule attitude rationnelle à adopter en l'absence d'un programme de recherche alternatif. Une fois qu'on est en présence d'un programme de recherche qui paraît très prometteur pour résoudre les difficultés en question, cela devient plus facile de quitter l'ancien.

  12. #42
    invitec32070f6

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour Aristark,

    Je partage votre avis mais j'ajouterai que chacune des "hypothèses auxiliaires" de la "ceinture protectrice" doit être corroborée par les énoncés d'observation relatifs à chacune de ces hypothèses.

    D'autre part, j'ai l'intuition qu'il doit exister une expression très simple ( donc très belle, aux yeux des scientifiques ) qui résume la rationalité scientifique.

    Pour l'instant, tous les penseurs qui ont tenté de répondre à cette problématique ce sont pris les pieds dans le tapis.

    Mais on ne peut pas exclure, a priori, qu'elle existe : l'aventure épistémologique continue.

    Cordialement.

  13. #43
    invitef73a730a

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Sophie1235 Voir le message
    Bonjour Aristark,

    Je partage votre avis mais j'ajouterai que chacune des "hypothèses auxiliaires" de la "ceinture protectrice" doit être corroborée par les énoncés d'observation relatifs à chacune de ces hypothèses.

    D'autre part, j'ai l'intuition qu'il doit exister une expression très simple ( donc très belle, aux yeux des scientifiques ) qui résume la rationalité scientifique.

    Pour l'instant, tous les penseurs qui ont tenté de répondre à cette problématique ce sont pris les pieds dans le tapis.

    Mais on ne peut pas exclure, a priori, qu'elle existe : l'aventure épistémologique continue.

    Cordialement.
    Bonjour,

    Pour ma part, je me suis fait ma petite opinion sur cette question et je ne crois pas forcément qu'il y ait une expression simple de la rationalité. Mais je rejette cependant totalement le relativisme épistémologique que semble quelquefois défendre Feyerabend (et il y a clairement des passages où il est difficile de le comprendre autrement que défendant une thèse relativiste assez radicale).

    Clairement, la connaissance est possible dans la vie de tout les jours, et il y a des connaissances qui valent mieux que d'autres. Par exemple, malgré tout ce qu'il peut dire dans ses comparaisons entre la science et le vaudouisme ou l'astrologie, je doute fort que Feyerabend mettrait sur le même plan les résultats d'analyses d'ADN de la police scientifique et les dires d'une voyante s'il avait eu le malheur d'avoir un de ses proches assassiné.

    Les procédés qu'utilisent les scientifiques pour acquérir des connaissances ne sont pas différents par nature de ceux utilisés dans la vie de tout les jours, mais le sont par contre par degrés (l'emploi d'un langage plus précis, une plus grande prudence, un meilleur maniement de l'utilisation des règles logiques dans les démonstrations, le recours aux corroborations expérimentales, une plus forte exposition aux critiques, etc...). Cela est également vrai des procédés qu'est censé utilisé Feyerabend pour écrire ses livres : s'il croit que ses thèses sur la connaissance scientifique valent mieux que celles de Popper, c'est bien qu'il croit que toutes les thèses ne se valent pas. Je reconnais personnellement qu'il y a un jeu assez large dans le choix des meilleurs théories et hypothèses possibles, et que ce jeu permet une grande place pour qu'un débat scientifique honnête ait lieu. Dans les arguments avancés par les scientifiques, certains insisteront plus sur les résultats expérimentaux, d'autres plus sur les considérations de cohérence théorique interne etc..,..., et ce, en fonction des circonstances (qualité des expériences menées, statut des théories admises, etc...). Donc il y a plusieurs dimensions et je ne pense pas qu'il y ait un seul bon critère de rationalité. Je crois que chaque débat scientifique est trop unique pour qu'une règle précise prescrive à un agent rationnel ce qu'il doit penser ou faire. Pour ma part, une attitude "rationnelle" commence par l'exigence de se faire une idée précise des forces et des faiblesses de ses propres arguments et de ceux des autres.

  14. #44
    invite6754323456711
    Invité

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Citation Envoyé par Aristark Voir le message
    Donc il y a plusieurs dimensions et je ne pense pas qu'il y ait un seul bon critère de rationalité.
    Le sien, car le diable c'est l'autre

    “La différence de plans entre une analyse purement intellectuelle et une géométrie synthétique, plus sensible, s’est de nos jours presque complétement évanouie, parce que la topologie et la théorie des groupes ont permis la mise au point de méthodes synthétiques en géométrie, qui sont tout aussi intellectuelles que les méthodes d’analyse.” Lautman

    Patrick

  15. #45
    Nicophil

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour,

    Si les niveaux d'énergie des électrons sont quantifiés (à l'émission et à la réception), la lumière peut cependant être une onde du champ électromagnétique.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Photon#...e_lumi.C3.A8re
    De nombreux effets mettant en évidence la nature quantifiée de la lumière peuvent en fait être également expliqués par une théorie semi-classique, dans laquelle la matière est quantifiée mais la lumière est considérée comme un champ électromagnétique classique.
    Parmi les phénomènes ainsi explicables, on peut par exemple citer l’existence d’un seuil dans l’effet photoélectrique, la relation entre l’énergie de l’électron émis et la fréquence de l’onde, le regroupement des photoélectrons dans un interféromètre Hanbury Brown et Twiss, ainsi que la statistique poissonienne des comptes26. Contrairement à une idée répandue, l’effet photoélectrique n’est donc pas la preuve absolue de l’existence du photon [...]

  16. #46
    invitec32070f6

    Re : SOPHIE : question sur l'effet photoélectrique

    Bonjour Nicophil,

    Merci pour votre contribution à ce débat.

    Grâce à elle, je comprend pourquoi, à cette époque, la plupart des physiciens étaient prudents.

    Sophie

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