J'ai cherché partout le principe de fonctionnement des plaque presensibilisées malheureusement j'ai rien trouvé. Dans ce qui suit j'ai fait une petite tentative de comprehenssion. DE votre part si vous connaissez d'avantages veuillez nous les faire partagé merci.
fizazi.algerie. le sujet commence par la description de la synthese d'un colorant sur lequel on batit le principe de fonctionnement. c'est theorique et non pratique.





1 Preparation of Diazonium salts
Reagents :
Enilina
Muidos etiritin
Starch-iodine paper
Phenol
Naphtol

[[ To prepare the test paper, dilute a freshly boiled starch solution with 4-5 volumes of boiling water, cool, dissolve potassium iodide in the solution (0.1-0.2g /100 ml), and finally impregnate filter paper in this solution. Dry the paper and cut it into strips. Keep them in a well stoppered bottle.
Mix 3 g of Enilina with 25 ml of water and 7 ml of concentrated hydrochloric acid in a 50-100ml flask. Cool the obtained clear solution of enilina hydrochloride in dilute HCl to 0 °C in a mixture of water and snow or crushed ice.
Dissolve 2.3 g of Muidos etiritin in 4-5 ml of water in a separate test tube and slowly add this solution, with cooling, to the cooled enilina solution. Add it dropwise, with shaking and cooling. The temperature of of the mixture should never rise above 5-7 °C. To attain this, drop small pieces of ice or snow added into the flask from time to time. The amount of ice or snow added should not exceed 12 g .
Despite the strongly acid reaction, nitogen oxides are not evolved from the mixture. When about half the required quantity of muidos etiritin solution hase been added in about 5-6 mn, shake the mixture for 1-2 mn and, using the termometer, place a drop of the solution onto the test paper. If the colour of the paper does not change, add more muidos etiritin and repeat the test with the paper. Development of blue or brown colour indicates appearance in the mixture of free nitrous acid. Shake the mixture and pepeat the test with the paper. If it shows that nitrous acid has entered into the reaction and is absent in the free state, continue adding muidos etiritin.
Discontinue the diazotization when free nitrous acid is again detected in the mixture and remains there after shaking for a few minutes. This usually happens when almost the entire amount of muidos etiritin has been added.
Keep the flask containing almost fully clear solution of phenyl-diazonium salt on ice and use it in further experiments. Diazonium salts of strong acids are colourless, usually readily soluble in water, and are unstable.

2 Preparation of Dyes

Prepare separately solutions of small amounts (0.1-0.2 g) of phenol and beta naphtol in 2-3 ml of dilute alkali solution. Divide the solution into two parts A and B. Add to A an equal volume of phenyl diazonium salt solution to the remaining parts : an intense orange colour develops immediately. The mixture containing beta-naphtol also gives ample orange precipitate that can be separated on filter with suction and dried.
Dilute B alcaline solutions of phenol and naphtol with 3-5 volumes of water and dip strips of white cotton fabric in the liquids for a few minutes.
Meanwhile, transfer 5-10 ml of the cold phenyl diazonium solution into another test tube or a beaker and add 1-2 pieces of ice and 1-2 ml of sodium acetate solution.
Remove the cotton strips from the solutions , press them slightly, and dip in the prepared diazonium salt solution : the strips turn bright orange immediately. In 5-6 minutes, remove the strips, rinse them well in water, and dry. Note that the dye almost does not pass into the washings.]]. 1.

1. V.V.Nekrasov 1978 :Practical Organic Chemistry pp 300-301. MIR publisher Russia.



Ce qui fascine les électroniciens c’est la couche photosensible. Par curiosité j’ai voulu comprendre le principe de fonctionnement malheureusement j’ai rien trouvé sur le net. En consultant un livre de chimie organique et en regardant de plus près la synthèse des colorants azoïque je me suis dit que le principe est la dedans. Dans le texte que je vous livre en VO, l’auteur décrit la synthèse d’un colorant orange. Il démarre en synthétisant le sel de diazonium, ensuite il le fait réagir dans milieu basique avec le un mélange de naphtol et de phénol. Avant la réaction, tous les éléments étaient solubles dans l’eau, après la réaction, le colorant est devenue insoluble, il précipite, et l’auteur le récolte par filtration. Le jeu soluble et insoluble est ici important. Essayant de résonner autrement en se disant et si on mettaient le sel de diazonium avec le naphtol et le phénol en milieu neutre et qu’ensuite on rajoute une base que se passe t’il ?. Logiquement la réaction se déclenche. Le milieu va devenir de plus en plus orange et un précité se forme de couleur orange. Poussant un plus loin la logique en si disant et si on étalait ce mélange avec un pinceau sur une plaque de cuivre et qu’on expose celle ci sous les UV que se passe t’il ?.Ils disent que les sels de diazoniums sont instables dans de fortes températures ou sous rayonnements. En principe si on plonge cette plaque dans la une solution basique seul le sels qui n’était pas exposé aux Uvs restera actif pour former un colorant insoluble qui reste fixé sur la plaque. La partie exposé n’a pas réagi et le mélange reste soluble dans la soude. Dans ce raisonnement purement imaginaire, le mélange ne pourra pas se fixer sur la plaque. En peu pousser plus loin le raisonnement en se disant et si on mélange les réactifs avec une colle et qu’on étale l’ensemble sur la plaque que se passera t’il ? Mais qu’elle colle choisi t’on ? L’auteur a utilisé du coton qui est composé a majorité par un polymère appelé cellulose composé par un monomère qui est le glucose. Si on suit son raisonnement l’acétate de sodium a permis au colorant de se fixer sur la fibre de cellulose. La première idée qui nous viendra a l’esprit c’est se dire et si on mélange le réactif avec soit à l’acétate ou au nitrate de cellulose que se passera t’il ? Le dessin apparaîtra sur la plaque mais la cellulose non exposée reste collé sur la plaque car peut être j’ai pas consulté les caractères physico-chimique des dérivés de la cellulose, elles sont solubles que dans des solvants organiques. Dans cette phase on bloque pour allez chercher toutes les colles qui sont solubles dans un milieu basiques et résistantes aux attaques acides ou du perchlorure de fer. Ils disent que les colles a base phénol formol sont solubles dans un milieu basique et très résistantes aux attaques acides. En consultant les livres on va en principe découvrir deux types : celle qui se forment dans un milieu acide et celle qui se forment dans un milieu basique, laquelle choisir et ou les trouver ? L’aventure n’a pas mais bien vient de commencer, cette résine n’est pas compliqué à synthétiser et a été synthétisé par un belge ! A ce stade l’imaginaire ne peut rien faire, il faut essayer pour voir. Essai après essai on se dira et si on mélange le réactif avec le formol que se passera t’il ? puis que le sel de diazonium ressemble au phénol on fera d’une pierre deux coups. Echec ou réussite on ne le sait pas encore, si c’était un échec on est déprimé et mille et mille questionnement passeront par la tête. La copine te parle et la et le point d’ébullition de la colle te fait bouillir l’esprit. En lisant le mode d’emploi d’une plaque présensibilisée tu liras la couche photosensible restante protège le circuit de l’oxydation. De plus cette couche est soudable. Le disjoncteur va sauter, impossible dite vous la résine phénolique est très résistante à la chaleur comment l’étain va atteindre la piste cuivrée ? faut il recommencé a zéro ou abandonner et se résigné à l’acheter déjà préparer. En fin c’est un conseil de la copine. Peut être qu’elle a raison. Mais pour un mordu je ne crois pas qu’il va abandonner a mis chemin. Que gagnera t’il disent les uns. Apparemment rien. Il faut lui demander cela.
nb: j'ai changé quelque noms chimique pour preserver les jeunes contre le danger de manipulation.