Bonjour,
Est-ce donc, à l'instar d'autres maladies "chroniques" souvent d'origines inconnues, une affection chronique d'un organe, des nerfs, ou de je sais quoi ? Cela se situe où ? Dans la biochimie ? Endocrinologie ? Génétique ??? Comprend pas.
Bien bizarre ce mot dans ce contexte diagnostique.
Voir cela :
http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9..._(psychiatrie)
Il semble qu’on parle d’avantage de dépression récurrente, mais je suppose qu’on réfère au même concept.
Cordialement.
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
Merci ansset de cette précision, cela va me permettre de chercher dans une direction…(Y-a-t-il tu crois des différences de vocabulaire médical entre Belgique et France, mais cela m'étonnerait quand-même???)
aucune idée, suis pas belge, mais je les aime bien .
y'a quelque chose qui cloche là dedans, j'y retourne immédiatement !
Et pourtant oui. Ainsi, la spasmophilie est une pathologie qui semble n'exister qu'en France ! Rien dans les autres pays ne se rapporte à ce terme en tout cas inconnu (d'un point de vue diagnostic) en Belgique (et je suis Belge).Envoyé par Runjulia
Y-a-t-il tu crois des différences de vocabulaire médical entre Belgique et France, mais cela m'étonnerait quand-même
Dernière modification par pelkin ; 17/04/2014 à 13h32.
Je préciserai que particulièrement dans le domaine "psy", il y a de grosses différences d'approche et de nomenclature entre les pays latins et les pays anglo-saxons, plus exactement entre les tenants de la psychanalyse et les comportementalistes.
Prenons le simple exemple de Lacan qui est strictement limité à l'Hexagone (mais qui perd du terrain).
Re- les amis,
1) y-a-t-il vraiment des vocabulaires de diagnose si différents que cela, j'en doute. Récurrent (aléatoire et résurgente) n'est pas chronique. Chronique qui progresse par poussées successives répondant parfois à un schème temporel, ou une poussée saisonnière ou stimulée ou éventuellement ordonnée par autre chos (génétique, allergique et qu'est-ce que j'en sais). Par contre j'ai déjà entendu "récidivante" ou "résistante".
2) dans une maladie chronique, il y a des aspects cliniques de récidives, non ?
3) je suis en belgique, je viens (c'est vrai d'un très grand hôpital en IDF (…Sâle pitre hier ), cela ne veut pas dire grand chose mais : il vient d'un hôpital universitaire, il conduit personnellement des // me rappelle plus le nom, et il est adjoint d'un service et enseigne dans ce domaine. (j'ai pas eu trop le choix en déménageant, je voulais le nec+, et qui se connaissent !!!, le mieux =universitaire, mais il est loin, le métro est plus …compliqué ? pour moi en tout cas)
(j'habitais en face de lpsptrère)
Dernière modification par Runjulia ; 17/04/2014 à 14h30.
Perso Pelkin, je crois que la spasmophilie est très liée à d'autres pathologies, et donc relèvent de la psychiatrie et du système nerveux. Ce n'est pas que je veuilles diminuer les douleurs ressenties et/ou et les pathologies associées à une nociception très particulière, hyperactive mais ce que je demande c'est pas la perception d'une maladie mais plutôt les termes= je crois fermement - malgré quelques nuances techniques et même tjrs techniques - les mots sont les mêmes parce que la médecine est la même fondamentalement, enfin je crois.
Donc, fondamentalement, je ne sais toujours pas ce qu'est une truc récidivante ou récurrente ou chronique ???
Une mesure génétique ? Peut-être ?
Si quelqu'un a compris un traitre mot de cela, j'aimerais qu'il m'explique .....
Comme je suppose que c'est le psy qui a utilisé cette expression, le mieux serait de lui demander ce qu'il a voulu dire...
Non, génétique n'est pas synonyme de chronique.Une mesure génétique ? Peut-être ?
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Merci Marie,
ouaip, c'est le médecin belge, pour un rapport à a sécu belge qui a utilisé ce mot "chronique". Sinon, c'était plutôt quelque chose comme "profonde" ou établissant une ancienneté,ancrée (je perds mes papiers).
C'est pas grave, si du point de vue vocabulaire cela n''existe pas ( c'est le rapport français qui compte et ils se comprennent, enfin, j'espère quoi !!!, mais oui j'en sûre.)
Et qu'est-ce la spasmophilie ? parce que dans le cadre des maladies neuros-multiples on a mal partout ce qui est difficile à comprendre quand-même pour les médecins et l'entourage (moi, perso, personne n'a jamais compris mon hyper-nociception), je sens la douleur, et d'ailleurs toutes les choses, extérieures (et parfois intérieures) viennent "buter" contre moi.
Yes, MH je vais essayer de demander au psychiatre, ce qu'est chronique dans ce rapport
Il me semble que le mot chronique concernant la dépression n'est peut-être pas vraiment approprié.
La dépression n'est-elle pas une pathologie gravissime, modifiant la nature psychique de la personne ?
Peut-être qu'ici le mot raisonnable serait "un état dépressif" constant.Très souvent d'ailleurs cet état en yoyo est aussi un stimuli dans les périodes fastes puisé au fond des périodes d'abattement.
Cordialement
Bonjour,
oui merci vonnec, comme tu l'expliques cela me semble se tenir. Veuillez excuser cher(e)s amis du forum, pour mon expression emberlificotée.
Pas forcément
Une dépression peut être réactionnelle par exemple.
En tout cas il faudrait que vous puissiez définir le terme de "gravissime", mais, il ne me semble pas forcément adapté.
J'ai du mal à comprendre ce que vous vouliez dire, mais, il n'y a pas dans toutes les dépressions des phases maniaques (est-ce cela que vous appelez "période fastes" ?). En clair, toutes les dépressions ne sont pas dans le cadre de troubles bipolaires.
Dernière modification par vep ; 25/04/2014 à 09h54.
Merci de votre réponse.
Gravissime pour moi c'est nécessitant une hospitalisation. J'aurais dû préciser, veuillez m'excuser.
La bipolarité je ne connais pas vraiment la signification, ni surtout les symptômes et conséquences.
Je parle d'état dépressif en pensant à un état inconfortable d'angoisse dont la cause n'est pas toujours repérable : souvent appelé mal être. C'est très empirique ma réflexion vu que je ne suis pas médecin,c'est juste par expérience disons personnelle ou repéré chez des proches.
Parfois une période d'abattement,de peu de goût envers l'existence est suivie d'une période qu'on pourrait nommer "créative" .. un peu comme si l'on allait chercher dans les profondeurs de nous-mêmes le coup de pied salvateur qui vous fait avancer, décider, entreprendre.
Rien de scientifique juste une réflexion.
Cordialement
