Désolé pour le mauvais jeux de mot.
Je viens de lire l'article de Pour la Science concernant l'utilisation de la théorie des cordes pour expliquer l'inflation..
Plusieurs problèmes à mon avis : l'utilisation du multivers semble franchement du bricolage réchauffé embrouillé.
- La théorie des cordes est déjà basé sur l'utilisation de calcule récurrent et de probabilité à la base. Le probléme de la définition de ce qui est par rapport à ce qui n'est pas dans le cadre d'une incertitude dont on ignore la résolution est déjà une des bases de la théorie. (attention, citation : L'univers élégant, Brian Greene, page 178 à 181 (en français)) .. Alors maintenant imaginer que la théorie des cordes est à la fois une théorie quantique de la gravitation par essence et en même temps que la pluralité quantique découle de la pluralité des branes "univers" (pourquoi d'ailleurs certaine le serait et d'autres non ? il y a t'il une hierarchie des branes ? l'univers est il une D9-brane ? et si oui, dans quelle d27 brane flotte t'il ?) .. ça pose probléme à mon sens..
- Les antibranes.. allons donc.. donc on avait les antiparticules, maintenant on a les antibranes.. donc la théorie des cordes expliquer l'éléctromagnétisme, mais sans inclure les antiéléctrons, bien courant partout ? Non vraiment ça sens le foin tout ça.. je ne dit pas que les résultats ne sont pas intéressant, mais à mon avis, on a une interprétation bancale et redondante de principe plus fondamentaux..
- L'univers à 3 dimension.. bon la probabilité qu'une brane de dimension 1 ou 2 rencontre une brane de dimension 3 est plus faible.. là, ça heurte directement un paradoxe fondamentale concernant la probabilité. La probabilité que vous existiez, par définission, est 1. Ou que vous soyez, qui que vous soyez, dans X dimension, 1, 2, 3, 4, 8, 12, 24 la probabilité que vous existiez est toujours 1. Sinon, et bien sinon, vous ne mesureriez pas cette probabilité. Même si j'imagine qu'à un certain niveau dépendant de l'échelle, la probabilité devient une grandeur relative selon l'obervateur (et alors du coup dans ce cadre extréme, un "ouille" devient un "oula ça fait mal"), à votre échelle, celle de votre espace temps, par définition, est 1. C'est le probléme de l'anthropocentrisme : l'homme est il là par hasard ? La réponse est impossible à obtenir, car l'univers dans lequelle il n'est pas, n'est pas, puisque nous y sommes.



Bon là on rentre peut être selon vous mais dans le champs des Dérives OEJiennes, mais bon.. qu'à cela ne tienne !

Moi depuis des années, j'essaye de vous souffler la raison du nombre de dimension de l'univers dans lequelle nous sommes : l'univers intemporelle est la solution fractale d'une "méta-équation", dont la dimension de MendelBrot est Pi.

Un motif autosimilaire est d'ailleurs parfaitement observable dans l'espace temps : les bactéries, qui était à l'origine des êtres non coordonnées isolés dans un milieu ont du s'organiser pour former des humains en inventant un language représentant leur comportement pour pouvoir l'échanger.. c'est l'ADN. Nous sommes dans le même cas. L'idée même d'identité, d'interexistence relative qui impose l'échange d'information implique à la fois, l'infinie complexité de l'univers (qui sinon serait cyclique), l'existence du temps (comme je le disais, l'accumulation d'information dans l'échange qui correspond à l'évolution de la structure de l'individu (lui même composé d'individu coordooné plus évolué à leur échelle)). Autrement dit, le pouvoir (définit comme étant la capacité à modifier l'univers par sa présence pour sa présence l'instant d'aprés) augmente avec le temps et l'échange d'information
[ et subit des cycles alterné concurrence / union autours de l'individu, ce qui correspond plus fondamentalement à l'alternance information (la symétrie entre les choses et les plans nécessaire à la coordination) / matiére (l'identité indivisible, la masse/énergie). ]
D'ailleurs si on commence à imaginer que l'univers est une fractale on tombe facilement sur Pi : le rapport entre l'échange unidirectionnel avec deux sens, et l'espace pluridimensionnelle.. dès lors qu'on veut combiner des dimensions unidirectionnelles ou on ne peut qu'avancer (et son inverse symétrique), il faut tourner..