Voilà un "bon vieil hologramme" photographié sous trois angles différents.
Ce que je trouve le plus frappant, c'est que la même partie du disque en verre, le centre, par exemple, puisse restituer une image complètement différente selon l'angle de vue.
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
Bonjour Chip.
Je ne compte pas continuer cette discussion. Vous êtes convaincu. C'est très bien. Gardez vos convictions. Je ne participe pas à ce forum pour convaincre les gens mais pour essayer d'aider ceux qui ont des doutes.
Je fais quand même une observation à propos de votre phrase "est contredite par la version anglophone" qui m'a bien amusé. Voila pour quoi.
C'est moi qui avait mise cette affirmation, aussi bien dans la version anglaise que la française, avec d'autres contributions, comme l'explication et les images que j'ai citées. Et c'est moi qui l'ai effacée ainsi que toutes mes autres contributions à la page. Si, par miracle, vous voulez connaître les détails vous pouvez lire la page de discussion (je signais avec le même pseudo).
Au revoir.
Bonjour.Envoyé par Pio2001
Dans le défunt musée de l'holographie avait un hologramme pressentant un circuit imprimé avec une loupe devant. Changeant le point d'observation on pouvait observer une région de la carte normalement, ou agrandie à travers la loupe. C'était très frappant.
Au revoir.
Je ne demandais qu'à être convaincu par ton point de vue, mais il n'y a qu'un unique élément qui va dans ton sens, c'est la phrase de Wikipédia citée au-dessus... phrase que tu as toi-même ajoutée à l'article! (c'est ainsi qu'une opinion personnelle se transforme en "vérité" wikipédienne, gobée par une bonne partie des internautes).
C'est bien de l'avoir retirée de la version anglophone (à la suite de discussions avec les autres contributeurs, semble-t-il), ce serait bien de faire de même avec la version francophone.
Non. Vous n'avez pas bien lu.
Et vous pouvez le retirer vous même si cela vous chante. Je ne contribue plus a wikipedia.
Je n'ai pas cherché à mettre les mains dans ce cambouis-là. Je n'ai pas lu les documents techniques, mais si j'essaye de résumer ce qu'on a dit dans cette discussion, voilà ce qu'il en ressort :
Il existe deux catégories de support : les supports à microlentilles, généralement des lentilles cylindriques en plastique, placées devant une image découpée en bandes verticales. Ils permettent de visualiser deux ou plusieurs images selon l'angle de vue horizontal. On peut ainsi obtenir un rendu en 3D depuis un point de vue donné et dans une orientation donnée.
Et les supports photographiques, que l'on peut utiliser pour l'holographie s'ils ont une résolution suffisante. Les pastilles sur les cartes de crédit, ou les hologrammes dans des plaques en verre en font partie.
Et il y aurait donc trois types d'images sur ces derniers supports.
Les hologrammes photographiques, obtenus à partir d'un objet réel. Celui que j'ai photographié ci-dessus en est un exemple. Le relief est visible en continu sous n'importe quel angle et dans n'importe quelle orientation.
Les hologrammes en image de synthèse, qui seraient de deux types :
-Les images de synthèse générées par simulation du front d'onde complet, comme le logo AMD ou l'oiseau des cartes Visa,dont le relief est visible dans tous les sens et de partout.
-Les images de synthèse générées par simple stéréoscopie binoculaire, comme la carte du monde Mastercard, dont le relief n'est correct que de face et dans le bon sens.
Est-ce bien cela ?
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
Non, les petits hologrammes (ou simples images diffractives, selon le cas) apposés sur les cartes bleues n'ont pas un support "photographique", ils sont simplement produit par estampage, c'est à dire en reproduisant sur une surface plastique le micro relief d'une matrice. Il y a ici un aperçu de la technique d'estampage. Voir éventuellement aussi ici (où il n'est pas uniquement question d'hologrammes). Ici, une technique d'embossage un peu spéciale a été appliquée à un support acier!
D'accord.
Et au niveau des possibilités théoriques, est-ce que c'est la même chose ?
Entre un Compact Disc produit par estampage (CD original), et un CDR produit avec un colorant photosensible (CD copiés), le comportement optique est assez voisin.
Dans un espace vectoriel discret, les boules fermées sont ouvertes.
