nature de l'énergie cinétique

[tempsreel1]

Et pour que l'énergie d'u corps augmente, il faut qu'un autre corps lui fournisse de l'énergie. Et par exemple, d'où provient l'énergie potentielle gravitationnelle ?

slt, t a pas compris ?

quand tu lance un satellite tu lui fournis de l'énergie et une partie de celle - ci se transforme en Epp

quand tu lances un caillou en haut c'est pareil l'énergie cinétique que tu llui transmets se transforme en Epp puis quand il redescend l'Epp se transforme en Ec

Quant à l'énergie .... grande question ; elle est à la base de toutes les transformations je ne pe t"en dire plus à ce sujet
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[mach3]

Dans cette définition, je n'arrive pas à trouver l'aspect matériel de la chose. J'ai l'impression que l'énergie n'est qu'une invention de l'Homme pour prédire ce qui va se passer.

Ben, oui, évidemment... tu ne lis donc pas les posts...

toutes les grandeurs physique ne sont que des concepts "commodes", non nécessairement réels. Certains semblent plus réels que d'autre car ils semblent se mesurer facilement (mais on peut ensuite se demander : c'est quoi une mesure? que suis-je en train de mesurer?).
Ce qui compte c'est le fait que ces concepts (réels ou pas) et leur articulation (les lois physiques) permettent de prédire les observations (qui sont elles réelles, a priori ou par définition selon la définition qu'on a de "réel", ce qui ne fait pas vraiment consensus ).

L'énergie n'est qu'un outil commode inventé par les physiciens pour faire des prédictions. On peut très bien faire de la physique sans parler d'énergie, mais c'est bien plus compliqué. On peut par exemple trouver la vitesse d'un objet qui chute de h sans vitesse initiale (le racine(2gh) donné par vaincent précédemment) en ne faisant que de la dynamique newtonnienne, mais c'est plus long qu'en utilisant les outils que sont les énergies mécanique, cinétique et potentielle.
L'utilisation de l'énergie comme outil premier est le fondement de la mécanique analytique (Hamilton, Lagrange, ...) et mène à des principes forts, comme le principe de moindre action, qui simplifient grandement les calculs

m@ch3