Optique géométrico-ondulatoire
Bonjour,
Concernant les "rayons lumineux" qui entrent dans l’œil mais qui ne convergent pas sur la rétine, doit-on invoquer des interférences destructives pour expliquer que nous ne les voyons pas ? Ou alors nous les voyons un peu et ils altèrent la qualité de l'image ?
Merci d'avance
PS : J'ai pris l'exemple de l’œil et de la rétine mais cette question reste valable avec un simple écran.
Bonjour.
Nous voyons tous les rayons qui rentrent dans l’œil, sauf ceux qui sont absorbées par les impuretés, défauts et « corps flottants ».
Nous avons des capteurs qui sont d’une qualité optique très mauvaise. Mais les images sont traitées par un logiciel de tonnerre que l’évolution a mis des millions d’années à mettre au point.
Il ignore ce qu’il n’est pas censé de voir, corrige les aberrations, etc. On peut avoir un petit aperçu des merveilles qu’il fait en regardant les cas que l’évolution n’a pas eu l’opportunité ou le besoin de corriger. Ce sont les illusions optiques.
Au revoir.
Bonjour,
Merci pour cette réponse qui ne me convainc qu'en partie.
En terme d'énergie (nombre de photons) qui impacte sur l'écran (ou la rétine), l'objet diffusif réémet beaucoup plus de rayons non convergents exactement sur l'écran (ou la rétine) que de rayons convergents parfaitement sur l'écran.
J'ai l'impression que seul un argument de type "interférences destructives" (par "moyennage") pourrait expliquer qu'il y ait autant de rayons lumineux (qui ne sont que de potentiels photons) invisibles sur l'écran.
Dernière modification par darwinevolution ; 28/10/2016 à 07h54.
Bonjour.
Tant pis.
Au revoir.
