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Ce sujet proviens de la séparation du fils sur les energies propres dans les transports, situé dans la rubrique actualité.
Yoyo
Responsable du forum
Cécile tu m'as pris de court, (je lis lentement surtout quand je lis plusieurs pages en même temps)
Voici toutefois ce qu'en dit l'INVS : http://www.invs.sante.fr/presse/tche...chernobyl.html
Je trouve toutefois curieux que le texte soit identique à celui de l'IRSN
Il y a aussi ceci http://www.invs.sante.fr/beh/2001/21/
Toutefois on peut trouver d'autres opinions
http://www.sortirdunucleaire.org/fev.../rtl200202.htm
Pour plus de détail
cliquez-ici
Ce cas n'est pas isolé : http://www.lexpress.fr/Express/Info/...yl/dossier.asp
L'avid des canadiens (page non disponible du site http://www.cyberpresse.ca, mais en cache sur Google)
Tchernobyl: 1800 cancers de la thyroïde recensés chez les enfants
Agence France-Presse
Paris
Quelque 1800 cancers de la thyroïde ont été recensés entre 1986 et 1998 chez les personnes qui avaient moins de 18 ans au moment de l'accident de Tchernobyl, en Ukraine, au Bélarus et en Russie, alors que la fréquence normale pour cette maladie n'aurait pas du dépasser quelques dizaines de cas, selon des experts français.
Ce nombre est vraisemblablement dépassé aujourd'hui, et « l'épidémie semble se poursuivre chez les adolescents et les jeunes adultes» , qui étaient de très jeunes enfants au moment de la catastrophe, ont précisé vendredi devant la presse les experts de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).
L'IRSN participe aux études épidémiologiques internationales pour déterminer les risques de cancers de la thyroïde et de leucémies consécutifs à la catastrophe de Tchernobyl en avril 1986, le pire accident de l'histoire du nucléaire civil.
Le dernier réacteur encore en service dans la centrale ukrainienne a été arrêté en décembre 2000, mais il faudra de très nombreuses années pour démanteler et assainir l'ensemble du site. Environ 6,9 millions de personnes vivent sur des territoires contaminés au-dessus de 37 000 becquerels par mètre-carré, a rappelé l'IRSN.
Selon les experts, il est impossible de déterminer par des observations directes le nombre de décès provoqués par la catastrophe au sein de la population. Paradoxalement, en effet, les efforts menés depuis dix ans pour dépister les cancers de la thyroïde ont été très performants dans les zones fortement contaminées, alors que ce dépistage est loin d'être aussi efficace dans les autres régions qui pourraient servir de comparaison.
Selon l'IRSN, « ces décès sont pratiquement indétectables par des études épidémiologiques, compte tenu des autres facteurs de risques de cancer et du nombre important de décès par cancers survenant dans la population générale indépendamment de l'exposition aux retombées de Tchernobyl» .
En revanche, les conséquences sanitaires de la catastrophe doivent être recherchées chez les travailleurs de la centrale et ceux que l'on appelés les « liquidateurs» , ces quelque 600 000 personnes qui ont travaillé pendant des mois, sans aucune protection pour la quasi-totalité, dans la zone contaminée. Des études épidémiologiques, auxquelles participe l'IRSN, sont conduites pour déterminer le risque de cancer de la thyroïde ou de leucémie sur ces populations, a indiqué l'organisme français.
En France, où les retombées de Tchernobyl, minimisées à l'époque par les autorités sanitaires, fait toujours l'objet d'une vive controverse, plusieurs études ont été publiées sur la contamination des sols dans les régions à l'est du pays, les plus exposées. L'IRSN a entrepris en 2002 une cartographie complète de ces retombées, y compris dans l'ouest où des taches de contamination ont aussi été enregistrées.
Voir aussi : CE lien
Damon
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