couplage d'un alternateur sur le reseau à partir d'automates. plus precisement le probleme se situe sur le dephasage. comment connaitre le dephasage pour avoir la condition nulle sur celle-ci et envoyer l'ordre de couplage
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couplage d'un alternateur sur le reseau à partir d'automates. plus precisement le probleme se situe sur le dephasage. comment connaitre le dephasage pour avoir la condition nulle sur celle-ci et envoyer l'ordre de couplage
dfzegehhrjnt
bon jour a mon avis le plus simple si utilsie un relie comutateur commander par un systeme
BONJOUR Ngom....(j'espére que t'es pas contre !!)
Tant qu'à y etre, si tu y penses , je suis pas contre le merci ,non plus !!!
Un déphasage ca se mesure, ca se visualise, etc...avec les appareillages appropriés à cela (un oscillo double trace par exemple).
Siuffit d'enclencher au "zéro".
Mais tout cela se fait automatiquement de nos jours.
A une époque une lampe à incandescence (suivant l'éclat lumineux) servait à déterminer le zéro.
Cordialement
Bonjour,
Il faut brancher 3 voltmètres (à aiguille de préférence) aux bornes des contacts qui vont faire la jonction.
Il faut que tu ais la bonne amplitude et environ à la bonne fréquence (il faut jouer sur la vitesse de rotation et l'excitation). Plus les aiguilles seront lentes, plus tu seras proches de la bonne fréquence.
Si les 3 aiguilles n'ont pas le même mouvement, ne sont pas synchronisées, il faut que tu inverses 2 phases. Au moment où les 3 voltmètres sont à zéro, tu peux fermer les contacts.
Fais bien attention. Je pense qu'il ne serait pas inutile de mettre des fusibles
Voilà pour ce qui est de la manip manuelle à toi de t'en inspirer
PS: je crois qu'il y des comparateurs de phases tout fait...
Bonjour
lorsque les lampes sont éteintes les sinusoïdes sont en phases, bien sur la précision n'est pas exceptionnelle mais comme tu as la différence des tensions et des fréquences.
Tu détectes l'extinction des lampes et à ce moment tu compare U est F.
Nota un couplage se fait toujours avec une fréquence (vitesse) machine très légèrement supérieure à celle du réseau ce qui permet lors du très faible ralentissement de l'alternateur une production d'NRJ active.
Si le couplage se fait à une fréquence exacte ou très légèrement inférieure l'alternateur passe en moteur et il absorbe de l'NRJ. De plus le réseau n'est jamais stable sa fréquence est en perpétuelle variation, donc l'équilibre des fréquences est impossible à obtenir
très bien expliqué ! on sent le " pro " !Bonjour
lorsque les lampes sont éteintes les sinusoïdes sont en phases, bien sur la précision n'est pas exceptionnelle mais comme tu as la différence des tensions et des fréquences.
Tu détectes l'extinction des lampes et à ce moment tu compare U est F.
Nota un couplage se fait toujours avec une fréquence (vitesse) machine très légèrement supérieure à celle du réseau ce qui permet lors du très faible ralentissement de l'alternateur une production d'NRJ active.
Si le couplage se fait à une fréquence exacte ou très légèrement inférieure l'alternateur passe en moteur et il absorbe de l'NRJ. De plus le réseau n'est jamais stable sa fréquence est en perpétuelle variation, donc l'équilibre des fréquences est impossible à obtenir
exactement ce qu' on nous apprenait, et ce qu' on devait faire en TP d' électrotechnique, quand j' étais à l' INPG , dans les années 60 !
bonjour,
mon probleme se situe sur l'acquisition de l'information tension en phase pour donner l'ordre automatiquement de couplage
Bonsoir j'ai cru que tu étais milk
http://www.abcelectronique.com/forum...ad.php?t=33148
Sans avoir accès à la différence de tension et de fréquence entre le réseau et le générateur, ton problème se corse sérieusement.
Il existe un appareil nommé synchronoscope, une aiguille tourne dans un sens ou dans l'autre suivant le sens de l'écart des vitesses (fréquence) du réseau et de l'alternateur.
La vitesse de rotation de l'aiguille est lié à l'écart des vitesse.
De mémoire le principe est un minuscule moteur synchrone triphasé avec 2 enroulements stator, un alimenté par le réseau, l'autre par l'alternateur, si les champs tournant crée par les enroulements stator sont à la même fréquence l'aiguille est fixe sinon elle tourne.
Mais on reste dans la visualisation, pas dans l'automatisme honnêtement je ne sais pas faire.
bonjour
c'est se passer de notre synchronoscope que l'on veut faire la synchronisation par automate. on peut acceder à la tension et à la fréquence mais pas à la 3eme condition sur le déphasage. le probleme se situe à ce niveau
Tu cherche à mesurer un déphasage ou une différence de fréquence ?
Une différence de fréquence est facilement mesurable grâce à des fréquencemétre à sortie analogique. Tu mesure les deux fréquences, dés qu'elles sont semblable (à la tolérance prés) tu commute.
Pour un déphasage.. la je ne sais pas, il existe peut être des outils de mesure de déphasage, mais j'ai un doute. (à part oscillo est compagnie hein)
Bonjour
Trop simple peut être
Sur la phase 1 du réseau à 10V (par exemple), un comparateur bascule pour faire un top (t0) qui autorise le passage du signal issu d’une base de temps.
Sur la phase 1 de l’alternateur à 10V (par exemple), un comparateur bascule pour faire un top (t1) qui bloque le passage du signal issu de la base de temps.
Soit le train d’impulsion est traité numériquement (comptage) soit il sert a charger un condensateur.
La tension aux bornes du condo est comparée a une référence, suivant le sens de l’écart la vitesse machine est modifiée.
Un autre circuit relance régulièrement le cycle de mesure (raz du compteur ou décharge de la capa.
Bonjour, effectivement il existe des outils qui permettent de voir quand le déphasage est nul.
Vous trouverez les réponses à vos questions sur cette page : http://www.aees.fr/produits-RELAIS_d...ogenes-fr.html
Cordialement