Bonjour à tous,
Déjà, pour voir si j’ai bien compris :
La singularité est par définition, quelque chose dont on a aucune idée, ce n’est donc pas un tout petit bidule avec des infinis partout.
Si la RG n’est pas valide pour décrire une singularité, alors pourquoi la serait-elle pour décrire l’intérieur d’un TN, à partir de juste derrière l’horizon ? si les courbes de la RG sont fausses à la fin (singularités), elles le sont dès le début, le début étant de juste derrière l’horizon.
Ma question est :
Suis-je dans l’erreur si je dis, qu’une fois passé l’horizon, on ne sait ABSOLUMENT RIEN ?
Et que ce puits gravitationnel infini, ne repose sur rien, à part une extrapolation de ce que l’on constate à l’extérieur, vers quelque chose dont on ne sait rien. Qu'est-ce qui m’empêche de dire, que passé l’horizon, je ne serais pas aspiré vers un centre qui n’existe pas, encore faut-il définir « exister » à l’intérieur.
Alors oui ! les TN engendrent une énorme gravitation, mais ce n’est pas une raison (c’est pourtant tentant) pour extrapoler notre connu vers un « endroit » ou toute notre physique est sans doute différente.
Mais si l’on croit, qu’une future théorie appelée « gravitation quantique » pourra expliquer comment des milliards de masses solaires peuvent exister dans un point, du haut de ma méconnaissance, je m’insurge.
Merci,
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