[Génétique] Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?
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Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?



  1. #1
    kirikou00236

    Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?


    ------

    Bonjour,

    Avant toute chose je tiens à préciser quelques détails sur ma question:
    -aucunement dans le but d'incrimination
    -aucunement dans le but d'attaquer tel ou tel population,
    -le mot "race" ici est employé pour désigner les populations divers qui peuplent notre planète (race dans un sens littéraire )
    -je pose cette question car justement pour apprendre au près de personne qui s'y connaissent mieux que moi.


    On m'a dit que scientifiquement le principe de race n'existe pas. Du fait par exemple de l’inter-fécondité et de l'architecture génétique qui est semblable a tous les êtres humains. Je me demande aussi au vu que l'environnement influe sur la peau ( pigmentation etc ) les gênes qui caractérisent justement ça, doivent être différent pour un noir, asiatique, blanc etc. Et je me demande toujours cela peut être valable pour d'autre caractéristique génétique. Aussi les morphologies qui différent selon une population. Donc que sait on de scientifiquement sur, sur ces études?

    Je peux mal m'exprimer du fait que le langage scientifique m'est pas commun et que je sois pas du tout spécialiste. Merci de votre compréhension.

    -----
    j'ai toujours été ailleurs, suis je quelqu'un d'autre part? ( moi-même).

  2. #2
    Amanuensis

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Les questions sont trop vagues, trop larges, en particulier pour un sujet à risque.

    Pourriez-vous poser des questions bien plus étroites, du genre dont les réponses potentielles tiendraient en quelques lignes ?

  3. #3
    Nemoclay

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Si tu veux une réponse complète regarde ceci: http://rutube.ru/tracks/4923980.html

    Un des meilleurs documentaires que j'ai a ce sujet !

  4. #4
    inviteedc38fdf

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Youhou enfin une question pour moi

    Alors c'est très simple tu vas voir
    Je vais essayer de pas te parler dans notre charabia scientifique.. dis moi si tu veux que j'éclaircisse des points.

    Premièrement on fait effectivement partie d'une une seule et même race puisque l'on a des chromosomes identiques et en même nombre (en général), des gènes qui sont les mêmes et grosso modo à la même localisation. Les anomalies de nombre de chromosomes et de déplacements de gènes le plus souvent sont pathologiques, ils causent de graves maladies et (je dis bien en général) la personne malade ne s'accouple pas et ne donne pas lieu à une descendance, donc sa modification disparaît avec elle.

    Deuxièmement ce qui différencie les grands groupes ethniques c'est le temps pendant lequel les grands groupes d'individus qui étaient leurs ancêtres ont passé sur un continent ou un endroit du globe avec des particularités auxquelles il a fallu s'habituer pour survivre. Les grands changements auxquels on fait allusion ne se sont pas fait en une ou deux générations, ce n'est pas quelque chose qui disparaît mais c'est dans le programme génétique des gens.
    On va prendre un exemple tout bête : une personne européenne qui va s'installer en Afrique plusieurs années sera bronzée, mais de retour en Europe, au bout d'un mois, elle aura repris sa couleur normale. Ici c'est un problème de mélanine, c'est juste au niveau protéinaire qu'il y a eu du changement. Maintenant on peut s'immaginer que si la personne en question avait vécu en Afrique depuis son enfance et ce jusqu'à ses 50 ans, elle ait habitué son organisme à produire de la mélanine en grande quantité. Si bien qu'une toute petite stimulation de Soleil la ferait bronzer plus vite que la normale. On est passés au niveau supérieur, cette fois ci le problème est épigénétique : on va dire que les gènes de la mélanine ont été modifiés pour être "facilement activables". Mais on n'a toujours pas touché du doigt le fond du problème, parce que ne l'oublions pas cette personne n'est que bronzée et pas encore "noire" Donc cette fois-ci on va la laisser vivre avec son conjoint blanc pendant des générations et des générations. Au bout de quelques mille ans ou je ne sais combien, la pression de sélection est telle que les enfants et petits enfants les plus bronzés sont favorisés puisqu'ils souffrent beaucoup moins des l'ardeur du soleil. Et par pur hasard, un enfant nait avec une mutation, en l'occurence un gène qui se dédouble. Et oh miracle il fabrique deux fois plus de mélanine que ses amis. Au bout du compte sa duplication va se transmettre rapidement à travers les descendants si bien qu'à un moment presque tout le monde l'aura.
    Bon je dois préciser que je n'ai choisi cet exemple que parce qu'il est très imagé et facile à comprendre mais ATTENTION ce n'est pas un exemple à garder à l'esprit : tout le monde sait que les premiers hommes étaient noirs et que c'est au contraire en inactiveant les allèles "noirs" que les Européens sont devenus blancs. (En Europe du Nord en particulier, le manque de Soleil a fait qu'on avait besoin que les rayons UV pénètrent dans la peau, d'où le besoin d'avoir la peau très blanche.)
    Donc une fois que tu as compris les échelles d'adaptation protéines, épigénétique, puis génétique, tu supprime l'exemple que j'ai inventé
    Passons.
    * Génétiquement
    Dans un monde globalisé comme le notre les hommes se mélangent de plus en plus. Lorsqu'on fait une étude entre des gens de groupes ethniques différents on peut constater que certains allèles reviennent plus souvent chez certains groupes que chez d'autres, voire que certains groupes portent 20 fois un gène qui peut aussi être unique chez un autre groupe. Ce qu'il ne faut pas oublier c'est que tant qu'il y aura pression de sélection la moindre petite mutation va se propager. Le gène qui digère le lactose est fait pour s'inactiver spontanément après la période infantile : le bébé en a besoin pour digérer le lait maternel mais après les hommes n'étaient pas sencés en avoir besoin. Lorsque l'agriculture et l'élevage de bétail ont vu le jour, le lait de vache a commencé à être consommé. Et à peu près à ce moment là une mutation a inactivé l'inactivation du gène, ce qui permettait aux hommes de profiter du lait de leurs vaches pour se nourir. A partir de là ils ont eu un "plus" par rapport aux autres hommes, et ce "plus" leur a permis de mieux vivre, de mieux survivre, et de mieux faire prospérer leurs gènes à travers leur descendance ^^ Si ce gène est partit des alentours de la mésopotamie il s'est étendu pratiquement à l'ensemble du globe et ça continuera à s'étendre tant qu'on aura besoin de digérer du lait. Si un jour on trouve un inconvénient à avoir ce gène, soit les aventages et les inconvéniants s'équilibreront (donc on trouvera un équilibre avec un rapport fixe du nombre de personnes qui ont le gène et du nombre de personnes qui ont la version désactivéele), soit le gène va commencer à régresser dans la population. Voilà une carte du monde des intolérants au lactate (ceux qui ont conservé l'allèle qui se désactive avec l'âge) :
    https://www.msu.edu/course/isb/202/t...tol-World2.png

    * Mais aussi
    Parler de différences entre populations ce n'est pas que génétique. Je ne vais pas m'étendre sur tous les aspects puisque ton sujet est bien délimité, mais je vais en citer quelsues uns.
    Du point de vue adaptatif, on ne peut pas ignorer que dans certains types de sport ont voit constemmant les mêmes nationnalités aux podiums. Ce n'est pas seulement une question génétique si les kenyans (ou d'autres) sont particulièrement endurants et raflent l'or à tous les marathons. En fait on a remarqué que les individus qui s'entraînnent dès leur plus jeune âge, si jamais un jour ils se sédentarisent, puis enfin si ils se remettent à faire du sport, ces individus s'adaptent plus rapidement que des individus qui ont été sédentaires toute leur vie et qui ne commencent à faire du sport que tard. Au Kenya les enfants font parfois 20km à pied matin et soir pour aller et revenir de l'école. Donc ce mode de vie les pré-disposerait à bien répondre à une entraînement sportif même des années après qu'ils aient changé de mode de vie. C'est les mêmes mécanismes partout en fait. L'exemple du sport est le plus facile à comprendre (et il est vrai celui là :P ) mais dans les faits, on observe aussi une meilleur réponse au stress chez des sujets qui ont été habitués à être stressés pendant leur jeunesse, un meilleur métabolisme pour des gens qui n'ont pas mis les pieds dans un fast food pendant toute leur jeunesse (lol) et les exemples sont multiples.
    Donc tout ça explique pourquoi les populations ont des fréquences de tel ou tel phénotype ou pathologie qui sont différentes. Pourquoi les Européens (sédentaires à 90%) meurent principalement de problèmes cardio-vasculaires, pourquoi les américains ont autant de problème d'obésité, etc.
    Et pour aller encore plus loin, du point de vue de sciences cognitives, je suis prête à en mettre ma main à couper que le milieu dans lequel on grandit (bourgeois/classe défavorisée) et le pays (développé/en retard de développement) a une influence sur les facultés d'empathie, de "se dépasser pour survivre", et de ne pas faire une dépression au moindre problème. Mais ça c'est clairement plus dans le sujet

    Pour conclure il faut retenir que question gènes il y a à peu près de tout partout, mais ce qui fait la différence c'est la proportion. Et qu'il y a tout plein d'autres facteurs qui influent sur ce que va devenir la population : environnement, habitudes alimentaires, mode de vie.. des facteurs qui ne jouent pas forcément au niveau génétique mais qui influencent au moins les 2 ou 3 générations qui arrivent.

    Les mariages mixtes et les déplacements de populations font que question gènes, les disparités sont en train de s'effacer peu à peu.

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    kirikou00236

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Citation Envoyé par SarahGak Voir le message
    Youhou enfin une question pour moi

    Alors c'est très simple tu vas voir
    Je vais essayer de pas te parler dans notre charabia scientifique.. dis moi si tu veux que j'éclaircisse des points.

    Premièrement on fait effectivement partie d'une une seule et même race puisque l'on a des chromosomes identiques et en même nombre (en général), des gènes qui sont les mêmes et grosso modo à la même localisation. Les anomalies de nombre de chromosomes et de déplacements de gènes le plus souvent sont pathologiques, ils causent de graves maladies et (je dis bien en général) la personne malade ne s'accouple pas et ne donne pas lieu à une descendance, donc sa modification disparaît avec elle.

    Deuxièmement ce qui différencie les grands groupes ethniques c'est le temps pendant lequel les grands groupes d'individus qui étaient leurs ancêtres ont passé sur un continent ou un endroit du globe avec des particularités auxquelles il a fallu s'habituer pour survivre. Les grands changements auxquels on fait allusion ne se sont pas fait en une ou deux générations, ce n'est pas quelque chose qui disparaît mais c'est dans le programme génétique des gens.
    On va prendre un exemple tout bête : une personne européenne qui va s'installer en Afrique plusieurs années sera bronzée, mais de retour en Europe, au bout d'un mois, elle aura repris sa couleur normale. Ici c'est un problème de mélanine, c'est juste au niveau protéinaire qu'il y a eu du changement. Maintenant on peut s'immaginer que si la personne en question avait vécu en Afrique depuis son enfance et ce jusqu'à ses 50 ans, elle ait habitué son organisme à produire de la mélanine en grande quantité. Si bien qu'une toute petite stimulation de Soleil la ferait bronzer plus vite que la normale. On est passés au niveau supérieur, cette fois ci le problème est épigénétique : on va dire que les gènes de la mélanine ont été modifiés pour être "facilement activables". Mais on n'a toujours pas touché du doigt le fond du problème, parce que ne l'oublions pas cette personne n'est que bronzée et pas encore "noire" Donc cette fois-ci on va la laisser vivre avec son conjoint blanc pendant des générations et des générations. Au bout de quelques mille ans ou je ne sais combien, la pression de sélection est telle que les enfants et petits enfants les plus bronzés sont favorisés puisqu'ils souffrent beaucoup moins des l'ardeur du soleil. Et par pur hasard, un enfant nait avec une mutation, en l'occurence un gène qui se dédouble. Et oh miracle il fabrique deux fois plus de mélanine que ses amis. Au bout du compte sa duplication va se transmettre rapidement à travers les descendants si bien qu'à un moment presque tout le monde l'aura.
    Bon je dois préciser que je n'ai choisi cet exemple que parce qu'il est très imagé et facile à comprendre mais ATTENTION ce n'est pas un exemple à garder à l'esprit : tout le monde sait que les premiers hommes étaient noirs et que c'est au contraire en inactiveant les allèles "noirs" que les Européens sont devenus blancs. (En Europe du Nord en particulier, le manque de Soleil a fait qu'on avait besoin que les rayons UV pénètrent dans la peau, d'où le besoin d'avoir la peau très blanche.)
    Donc une fois que tu as compris les échelles d'adaptation protéines, épigénétique, puis génétique, tu supprime l'exemple que j'ai inventé
    Passons.
    * Génétiquement
    Dans un monde globalisé comme le notre les hommes se mélangent de plus en plus. Lorsqu'on fait une étude entre des gens de groupes ethniques différents on peut constater que certains allèles reviennent plus souvent chez certains groupes que chez d'autres, voire que certains groupes portent 20 fois un gène qui peut aussi être unique chez un autre groupe. Ce qu'il ne faut pas oublier c'est que tant qu'il y aura pression de sélection la moindre petite mutation va se propager. Le gène qui digère le lactose est fait pour s'inactiver spontanément après la période infantile : le bébé en a besoin pour digérer le lait maternel mais après les hommes n'étaient pas sencés en avoir besoin. Lorsque l'agriculture et l'élevage de bétail ont vu le jour, le lait de vache a commencé à être consommé. Et à peu près à ce moment là une mutation a inactivé l'inactivation du gène, ce qui permettait aux hommes de profiter du lait de leurs vaches pour se nourir. A partir de là ils ont eu un "plus" par rapport aux autres hommes, et ce "plus" leur a permis de mieux vivre, de mieux survivre, et de mieux faire prospérer leurs gènes à travers leur descendance ^^ Si ce gène est partit des alentours de la mésopotamie il s'est étendu pratiquement à l'ensemble du globe et ça continuera à s'étendre tant qu'on aura besoin de digérer du lait. Si un jour on trouve un inconvénient à avoir ce gène, soit les aventages et les inconvéniants s'équilibreront (donc on trouvera un équilibre avec un rapport fixe du nombre de personnes qui ont le gène et du nombre de personnes qui ont la version désactivéele), soit le gène va commencer à régresser dans la population. Voilà une carte du monde des intolérants au lactate (ceux qui ont conservé l'allèle qui se désactive avec l'âge) :
    https://www.msu.edu/course/isb/202/t...tol-World2.png

    * Mais aussi
    Parler de différences entre populations ce n'est pas que génétique. Je ne vais pas m'étendre sur tous les aspects puisque ton sujet est bien délimité, mais je vais en citer quelsues uns.
    Du point de vue adaptatif, on ne peut pas ignorer que dans certains types de sport ont voit constemmant les mêmes nationnalités aux podiums. Ce n'est pas seulement une question génétique si les kenyans (ou d'autres) sont particulièrement endurants et raflent l'or à tous les marathons. En fait on a remarqué que les individus qui s'entraînnent dès leur plus jeune âge, si jamais un jour ils se sédentarisent, puis enfin si ils se remettent à faire du sport, ces individus s'adaptent plus rapidement que des individus qui ont été sédentaires toute leur vie et qui ne commencent à faire du sport que tard. Au Kenya les enfants font parfois 20km à pied matin et soir pour aller et revenir de l'école. Donc ce mode de vie les pré-disposerait à bien répondre à une entraînement sportif même des années après qu'ils aient changé de mode de vie. C'est les mêmes mécanismes partout en fait. L'exemple du sport est le plus facile à comprendre (et il est vrai celui là :P ) mais dans les faits, on observe aussi une meilleur réponse au stress chez des sujets qui ont été habitués à être stressés pendant leur jeunesse, un meilleur métabolisme pour des gens qui n'ont pas mis les pieds dans un fast food pendant toute leur jeunesse (lol) et les exemples sont multiples.
    Donc tout ça explique pourquoi les populations ont des fréquences de tel ou tel phénotype ou pathologie qui sont différentes. Pourquoi les Européens (sédentaires à 90%) meurent principalement de problèmes cardio-vasculaires, pourquoi les américains ont autant de problème d'obésité, etc.
    Et pour aller encore plus loin, du point de vue de sciences cognitives, je suis prête à en mettre ma main à couper que le milieu dans lequel on grandit (bourgeois/classe défavorisée) et le pays (développé/en retard de développement) a une influence sur les facultés d'empathie, de "se dépasser pour survivre", et de ne pas faire une dépression au moindre problème. Mais ça c'est clairement plus dans le sujet

    Pour conclure il faut retenir que question gènes il y a à peu près de tout partout, mais ce qui fait la différence c'est la proportion. Et qu'il y a tout plein d'autres facteurs qui influent sur ce que va devenir la population : environnement, habitudes alimentaires, mode de vie.. des facteurs qui ne jouent pas forcément au niveau génétique mais qui influencent au moins les 2 ou 3 générations qui arrivent.

    Les mariages mixtes et les déplacements de populations font que question gènes, les disparités sont en train de s'effacer peu à peu.
    donc pas de différence entre les "races", mais si je comprends bien d'adaptabilité du gêne. Mais j'ai toujours cru que ce qu'on était, était du au fait que ce soit déjà écris dans notre code génétique. On va même dire qu'il y a le gêne du violeur ou le gêne du tueur etc... qu'en est il de ça!
    j'ai toujours été ailleurs, suis je quelqu'un d'autre part? ( moi-même).

  7. #6
    kirikou00236

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Citation Envoyé par SarahGak Voir le message
    Youhou enfin une question pour moi


    Et pour aller encore plus loin, du point de vue de sciences cognitives, je suis prête à en mettre ma main à couper que le milieu dans lequel on grandit (bourgeois/classe défavorisée) et le pays (développé/en retard de développement) a une influence sur les facultés d'empathie, de "se dépasser pour survivre", et de ne pas faire une dépression au moindre problème. Mais ça c'est clairement plus dans le sujet
    .
    je suis d'accord avec toi mais c'est pas le sujet.
    j'ai toujours été ailleurs, suis je quelqu'un d'autre part? ( moi-même).

  8. #7
    Cendres
    Modérateur

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Citation Envoyé par kirikou00236 Voir le message
    On va même dire qu'il y a le gêne du violeur ou le gêne du tueur etc... qu'en est il de ça!
    Aucun "gène du violeur" ou "du tueur" ou du "joueur compulsif" n'a jamais été trouvé; au mieux on trouve de vagues corrélations entre des groupes de gènes et certains comportements, et encore...

    Ces termes (très usités dans la presse non spécialisée) sont des raccourcis tellement abusifs qu'ils sont faux.

    Un lien à lire sur la génétique humaine et les "races": http://www.hominides.com/html/dossiers/race.php
    N'a de convictions que celui qui n'a rien approfondi (Cioran)

  9. #8
    inviteedc38fdf

    Re : Que ressort des études génétiques sur les hommes de différentes "race" de notre planète?

    Citation Envoyé par Cendres Voir le message
    Aucun "gène du violeur" ou "du tueur" ou du "joueur compulsif" n'a jamais été trouvé; au mieux on trouve de vagues corrélations entre des groupes de gènes et certains comportements, et encore...

    Ces termes (très usités dans la presse non spécialisée) sont des raccourcis tellement abusifs qu'ils sont faux.

    Un lien à lire sur la génétique humaine et les "races": http://www.hominides.com/html/dossiers/race.php
    complètement d'accord

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