Relations intermoléculaires
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Relations intermoléculaires



  1. #1
    erwan5032

    Relations intermoléculaires


    ------

    bonjour,
    quelle est l'équation de la réaction définissant la première ionisation d'un élément svp ?
    comment peut-on justifier la différence d'énergie de première ionisation entre le bore et l'aluminium svp?
    comment peut-oninterpréter la différence de température de vaporisation entre k'eau et le dioxyde de carbone svp ?
    Merci

    -----

  2. #2
    moco

    Re : relations intermoléculaires

    Bonsoir,
    L'équation de l'ionisation d'un élément est : A --> A+ + e-
    Pour le Bore et l'Aluminium, je ne vois pas d'explication simple.
    L'eau s'évapore à haute température, par rapport à des molécules comme CO2, car les molécules H2O s'attirent entre elles par les ponts hydrogène, ce qui retient les molécules H2O au sein du liquide. Il n'y a pas de ponts hydrogène entre les molécules CO2. Les molécules CO2 ne sont tenues entre elles que par des forces de van der Wals, qui sont très faibles. Donc il suffit d'un échauffement minimal, à partir du zéro absolu, pour provoquer le passage des molécules à l'état gazeux.

  3. #3
    petitmousse49

    Re : relations intermoléculaires

    Bonsoir
    comment peut-on justifier la différence d'énergie de première ionisation entre le bore et l'aluminium svp?
    Il existe une tendance générale concernant cette évolution . L'énergie de 1ère ionisation EI augmente fortement en fonction de Z le long d'une même ligne du tableau périodique et augmente faiblement du bas vers le haut le long d'une même colonne. Il existe de nombreuses exceptions à cette tendance mais pas de problème pour B et Al. Une explication simple (simpliste ?) fait intervenir l'approximation monoélectronique de Slater. EI est sensiblement égale à la valeur absolue de l'énergie de l'électron le moins stable de l'atome (c'est une approximation car l'ionisation conduit à un réarrangement des électrons restants..). Ainsi :
    EI proche de (13,6(Z-σ)2)/n2 (en eV)
    On voit bien que, à n fixe, ajouter un électron augmente Z d'une d'unité sans augmenter la constante d'écran, d'où la forte augmentation de EI :
    Passer d'un élément (Al par exemple) à l'élément au-dessus (B) dans le tableau périodique diminue n d'une unité, alors que (Z-σ) ne varie pas ou très peu.
    Je me répète : cette explication est très grossière et de très nombreuses exceptions existent à la tendance générale que j'ai évoquée.

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