Ne pas oublier:
Coefficient de dilatation de l'acier = 0.013 mm/°/m soit pour un écart de 10 à 40 °C une dilatation de 0.39 mm.
Ou 0.45 mm pour une règle en acier inox.
J'ai du mal à comprendre
Peux tu expliquerAvec une petit camera CCD bon marché que je pointerai sur l'échelle de Vernier (fixé au chariot) par soft je chercherai a calculer le déplacement (incrémentation + calcule vernier)
Aussi, je pense qu'il serrai facile de corriger les écart de température par soft.
L'idée est de faire un pied a coulisse avec une webcam pour lire la mesure.
MIT_530.jpg
Sur un CNC que j'ai trouvé sur le net, avec modification ca pourrai donner :
CNC_vernier.jpg
Bonjour!
Vous parliez dans un autre message d'une rectifieuse. J'espère que ce n'est pas
ce montage?
Résumons en simplifiant: vous imprimez un vernier, vous le regardez avec une caméra.Si je devais faire un positionnement au 1/20eme de millimètre à moindre coût, j’opterai
pour un mètre a ruban à moins de 1€ le mètre (Facom) pour faire une sorte de pied a coulisse.
J'imprimerai sur une feuille la règle de vernier sur Xcm qui serrai fixer sur le chariot
tandis que le mètre a ruban serrai fixé sur le banc.
Qui va faire la conversion de l'image du vernier en nombre exploitable par une machine?
Je serais curieux de savoir comment vous interprétez l'image.
Juste pour votre info: les caméras, ça s'utilise déjà en métrologie. Si vou grossissez
suffisamment (1), vous verrez où sont les traits sur l'image, et avec un petit traitement,
vous pouvez calculer exactement où vous êtes.
(1) Je veux dire, pas si vous grossissez vous-même. Si le grossissement avant la caméra
est trop important.
Par contre, cela vous interdit les déplacements rapides. Même avec votre méthode
de vernier. Pour savoir dans quel sens vous vous déplacez, vous avez besoin d'au moins
2 mesures par graduation. Donc une mesure tous les 1/2 mm max. Comme vous avez max
50 (100?) images par seconde, vous vous limitez à 25 (50?) mm par seconde.
Les systèmes d'asservissement sont en principe conçus pour des vitesses bien plus
élevées.
Exemple: le capteur dont je parlais plus haut fait au maximum 4000 mesures par seconde.
Pour mesurer la rotation, on a besoin d'au moins 2 mesures par tour, donc 2000 tours
par seconde, ce qui fait 120 000 tours par minute. Et celui là est un capteur extrêmement
bon marché.
Il y a 2 écoles: corriger les variations de température, ou bien considérer que quandAussi, je pense qu'il serrai facile de corriger les écart de température par soft.
vous travaillez, la pièce est à la même température. Si vous usinez de l'acier sur une
machine en acier, tout se dilate en même temps, donc pas besoin de compensation.
Ah, un dernier point: le vernier utilisé dans les encodeurs est un vernier à l'envers.
Pour un pied à coulisse, le vernier sert à définir la décimale, la partie précise de
la mesure. Dans un encodeur, c'est le contraire. La piste vernier sert à connaître la
partie la plus approximative.
Pascal
Bonsoir,
J'avoue avoir négligé ce problème. Aussi je m'excuse de m'être avancé plutôt vite. Mon intervention a été inutile. Quelques recherches m'on permis de me rendre compte de mon erreur. Un pied a coulisse ne fonctionne pas ainsi. D'autant plus qu'un capteur optique a un coût et sa mise en oeuvre aussi...
-Réponse B: le pied à coulisse
-Faux
-Whouai mais c'est une buté manuel ...
-Whouai mais t'as pas tout lu...
-Pardon
Bonjour,
Personnellement je trouve la solution de la caméra compliqué à mettre en œuvre. J’ais du mal à comprendre le fonctionnement.
Pour l’instant je continue mes recherche, mais j’ais bien peur que la solution la plus facile à réaliser est l’encodeur avec crémaillère mais malheureusement trop cher.
Si les dispositifs vendus dans le commerce ont un certain coût, ce n'est pas pour rien.
Ce qui plombe le prix ici, c'est la précision sur une si grande longueur.
