Une théorie du réchauffement global ,alternative à celle accusant l'excès d'émission de gaz a effet de serre, met en avant des variations de l'activité solaire, tout simplement. Quelqu'un a-t-il des infos , des précisions sur ces thèses?
(Il va de soit, bien sûr, que si cela se vérifiait, ça ne serait pas une raison pour ne pas essayer de limiter les activités industrielles générant par ailleurs toutes sortes d'autres inconvénients graves.)
Cette théorie est sûrement fondée sur des faits réels, mais tout un tas d'indices laissent penser que ce réchauffement est négligeable face celui provoqué par l'effet de serre.
Si ces questions t'intéressent et que tu t'intéresses à la science en général, je te conseille "L'avenir climatique" par Jean-Marc Jancovici. C'est clair, précis et complet. Le bouquin montre bien comment la question du réchauffement ne concerne pas uniquement une science (physique du soleil par exemple), mais toutes en allant dela chimie, à l'astrophysique en passant par les sciences humaines et la glaciologie.
Tu peux aussi aller voir son site web http://www.manicore.com qui répond à tout un tas de questions sur le sujet. (c'est + facile à lire dans un bouquin selon moi, mais bon...)
J'avais effectivement entendu aux infos que l'activité mesurée du soleil avait été plus intense, notamment cet été, ce qui pourrait expliquer en partie la canicule que nous avons connu. Cependant, il est clair que l'effet de serre est et continuera d'être si nous ne faisons rien la cause principale cause des bouleversement climatiques.
Si mes souvenirs sont bons... le soleil a un impact également sur le réchauffement climatique. Mais il s'agit d'un facteur supplémentaire et non la cause principale.
Cette théorie est avancée notamment pour expliquer les grandes variations climatiques qu'à connu notre planète (l'impact humain ne pouvant en être la cause). J'ai ainsi lu que la Terre avait déjà connu d'importantes variations de concentration en CO2 sans trop de bouleversements, mais qu'à l'heure actuelle l'augmentation est trop rapide, ne laissant pas ou peu de place à une éventuelle adaptation biologique.
