Révision bac (question)

[Jacques32]

Bonjour

Voilà je révise pour le vrai bac mais il y quelque petite choses sur différent que je n'arrive pas pouvez vous m'aidez svp.

Chapitre: Suite

• Comment montrer qu'une suite est arithmétique.

• pour la récurrence est-ce que on pars toujours de la supposition c'est a dire par exemple :

Un+1 = Un+2n+1 et U0=1

Démontrez par récurrence que pour tout entier naturel n, Un>ou = à n^2

Chapitre complexe


- Comment montrer que 3 points sont alignées.

• montrez que des droites sont concourante.

chapitre probabilité

Comment distinguer les probabilité normal et les probabilité conditionnelle car je confond toujours les deux.

Merci
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[Samuel9-14]

Pour les suites déjà :
Une suite est arithmétique si on passe d'un terme à l'autre en ajoutant une constante. Du coup, si on fait V_n+1-V_n on doit retrouver une constante.
Pour la récurrence, oui, il faut forcément s'appuyer sur la supposition de base. Si elle est vraie au premier rang et au rang n+1 alors c'est bon.

[Samuel9-14]

Pour l'alignement de trois points penser à l'angle que font les trois points.
Pour montrer que des sont concourantes je dirais que ça dépend des exercices, s'il y a une méthode particulière je ne connais pas.
Pour les probas, les probas conditionnelles concernent toujours des probabilités dans le cas où une condition est remplie (par exemple, on tire une boule dans une boite que l'obn choisit parmi une liste. Sachant que je tire une boule dans la boite n°tant, quelle est la probabilité que la boule soit noire ? il manque évidemment des infos pour résoudre la question )
On peut avoir un "mélange" de lois normales et de probas conditionnelles

[gg0]

Bonjour.

"Si elle est vraie au premier rang et si, supposée vraie au rang n, elle est alors vraie au rang n+1 alors c'est bon."
En fait, on fait une preuve par récurrence pour une propriété qui dépend d'un entier naturel, P(n) et à condition qu'on puisse passer d'un entier au suivant : P(n+1) peut se déterminer à partir de P(n). Alors, généralement, l'hypothèse de récurrence est justement P(n).

Pour l'alignement de points, il est intéressant de connaître le lien complexes/vecteurs. le vecteur a pour affixe celle de M défini par . On en déduit que a pour affixe (affixe de l’extrémité moins affixe de l'origine). Ensuite, on utilise la conditions d'alignement habituel, le fait qu'un vecteur est un multiple (par un réel) de l'autre. Bien de rappeler que z et kz ont le même argument à Pi près si k est un réel.

Cordialement.

[A voir en vidéo sur Futura]

[gg0]

Suite :

Pour montrer que des droites sont concourantes, en dehors de théorèmes dont c'est la conclusion, on montre qu'un point est sur toutes les droites. Evident, non ?

Pour les probas, si tu n'as pas défini clairement un univers, et une loi de probabilité, pas moyen de faire la différence. dans les deux cas ce sont des probabilités, et même, au niveau élémentaire, sur le même univers.
Disons que tu traites un exercice classique sur une épreuve aléatoire. Tu as choisi une façon d’analyser qui donne la classique équiprobabilité. les événements de la forme " l'expérience donne ..." se calculent avec des probas simples. les événements de la forme "sachant que ... l'expérience donne" ou "une fois qu'on a vu que ... l'expérience donne", ou .. relèvent des probas conditionnelles (la condition c'est le fait qu'un événement s'est déjà produit.
Par exemple, si tu jettes un dé, la proba de faire 6 est 1/6; si on t'annonce que le résultat du dé est pair, la proba conditionnelle ("on a vu que le résultat est pair et l'expérience donne un 6") est 1/3. La proba est conditionnée par la réalisation de l'événement "le résultat est pair".

Dans certains cas, c'est la même chose. Si je jette deux dés successivement, la proba que le deuxième fasse 3 est 1/6, la proba qu'il fasse 3 sachant que le premier a fait 5 est aussi 1/6. C'est la situation d'indépendance.
Dans un arbre de possibilités, les probas sont des probas conditionnelles dès le deuxième niveau, donc aussi parfois des probas simples parce qu'il y a alors indépendance. S'il n'y a pas indépendance, ce sont toujours des probas conditionnelles : On marque la proba que de réalise cette partie de branche sachant qu'on est arrivé à la situation origine.

Cordialement

[Jacques32]

D'accord mais je voudrais savoir pour les complexes est ce que pour montrer que 3 points sont aligné de peux faire par exemple: zAB = zb-za et zAC= zc-za

[gg0]

Pourquoi poser une question à laquelle j'ai déjà répondu ?