c'est peut-être le temps nécessaire au deuil des certitudes,
pour que la nécessité de reconsidérer ce qui était acquis émerge,
un "déconstruire pour mieux reconstruire".
si quelqu'un·e il y a 40 ans avait avancé ce que certain·e·s osent tenter aujourd'hui,
on l'aurait sûrement traité·e par le mépris...
mais après 40 ans d'impasse, toute idée a sa chance.
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