Je voudrais aussi comprendre pourquoi à chaque fois que quelqu'un met en lumière l'idée que l'argument A n'est pas suffisant pour prouver l'idée B, tu en conclues que la personne qui montre le sophisme dans l'argumentation a forcément "peur", se sentirait inférieur, ou est "conditionné" à ne pas envisager la justesse de l'idée B.
À propos, présumer qu'une relation (réelle ou imaginaire) entre deux choses signifie que l'une est la cause de l'autre est une autre forme de sophisme.
Cordialement.
-----