Bonjour,

Ma question

Je souhaite refaire l’isolation approximative de mes combles, actuellement LDV (+25ans) pas forcément jointive partout, l’idée est de limiter les pertes pas de respecter une norme quelconque.
Il n’y a pas d’étanchéité à l’air des combles, je vois le jour à travers les ardoises verticales des "chiens assis" par endroit.

Un des problèmes auxquels je me heurte tient dans la hauteur disponible entre la volige et le bois du rampant, je dispose d’à peine 20cm dans la partie haute, au dessus de la panne ventrière, et moins de la moitié en dessous.
Dans la partie basse je pense, que le faux plafond est cloué directement sur les chevrons, avec peut être de l’isolation pincée. (Le toit reste parfois givré en partie basse)

Je ne peut pas réduire la hauteur sous plafond, déjà faible, dans les pièces de l’étage ( ni rehausser le toit.)
Je compte donc reprendre l’isolation après avoir retiré, là où c’est possible, la LDV et les cadavres d’animaux qu’elle contient.

Vu la faible épaisseur d’isolant que je peux mettre, l’absence d’étanchéité à l’air de la couverture et sans démolir tout l’étage, je pense déverser des granulés de liège ou souffler de la ouate dans les rampants sans précaution particulière vis à vis du risque de condensation. (Hg 40-60% en hiver avec chauffage, - de 10 jours de gel cet hiver)
Le plafond de l’étage est constitué d’aggloméré 10mm, cela suffit il comme « frein vapeur », ou un « frein vapeur » est il envisageable coté intérieur du plafond ?

Merci

@+