Bonsoir,
Après avoir lu la partie c de ce dossier, j'aimerai en savoir un peu plus.
Selon W. de Sitter, un objet en rotation sur lui même, en orbite autour d'un objet massif sans rotation, entraine un mouvement de «précession».
L'effet lense-thirring est aussi un mouvement de précession de l'objet en orbite, du à la rotation de l'objet massif.
La valeur de l'effet Lense-thirring (valeur de la vitesse de précession) est-elle proportionnelle à la vitesse de rotation de l'objet massif?
Cet effet implique-t-il que le champ gravitationnel d'un objet en rotation sur lui même est aussi en rotation?
Cela fait penser à un assemblage de trois engrenages : le premier, l'objet massif, tourne et fait tourner un second, son champ de gravitationnel, qui en fait tourner un troisième, l'objet en orbite.
On pourrait voir la suite d'engrenage comme l'action à distance (magnétisme), par l'intermédiaire du champ gravitationnel, d'où le terme de gravitomagnétisme.
N'y a -t-il pas erreur d'interprétation de ma part?
Et si le soleil tounait dans l'autre sens, cela aurait-il eu pour effet une «anti-précession» (rérograde?)
Merci.
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].
) spin-orbite (de Sitter) ou spin-spin (LT). C'est encore une fois très analogue à ce que l'on observe pour les atomes et molécules :
pour vos sensibilités pédagogiques.
La «précession temporelle révèrsible» dû au changement d'heure dans la nuit du 24 au 25 Mars, et matérialisée par la rotation des aiguilles de ma montre, a-t-elle une influence sur la rotation de la terre sur elle-même?