Hello,
Tout le monde connait peu ou proue le projet AUGER dans la pampa, en Amérique du Sud. Cet immense réseau de capteur, permet et travaille sur l'origine de certains rayonnements cosmiques. En théorie, certains rayonnements cosmiques existant depuis les 30 dernières années, dont certains captés par la NASA, dépassèrent la valeur critique de 18 GéV/cm², brisant ainsi la limite GZK, se basant sur des calculs de valeur limite de notre ami Albert. La limite GZK, si je me souviens bien, se base en partie sur la constante valeur de l'isotropie de l'univers, qui reste une question spéculative. De plus, cette limite GZK, inclue un gradient gravitationnel faible, et variant à la limite de H(zero), et dans le cadre d'un red-shift réel, sans faire appel à des théories types Matière noire ou matière miroir.
En l'occurence, je m'interroge sur les points suivants, et j'aimerai que des astrophysiciens spécialisés en rayonnement de haute énergie puisse m'aider.
Est-il concevable, que les sources de rayonnements cosmiques générant des particules de 20 GéV à la surface terrestre, soit localisé dans l'espace extra-galactique? Première question.
Si c'est le cas, le champ gravitationnel galactique, spéculation gratuite, devrait ralentir leur course et leur puissance, et se recadrer avec des valeurs plus moyennes, de photons à haute énergie. De plus, les probabilités de captage d'une zeta-particule sur une planète devrait être très faible, de l'ordre de 1 à 5.
A réfléchir.
Les travaux de certains étudiants US, que je scrute, via le réseau SQUID et l'interface GRID, sont sidérants, et la France accuse un retard draconien sur ces sujets. Il est triste de constater que nous n'avons que très peu de capteurs de rayons cosmiques, dans nos fac, alors que n'importe lequel des 2ème année de UCLA ou du MIT, s'adonne à la construction d'un capteur multi-phase à large spectre, capable d'enregistrer des rayons et de le retransmettre à l''interface GRID US.
J'aimerai que certains me disent, oui ou non, si je suis un peu reveur de penser à de possibles lien, avec l'ADN, et je sais que le projet AUGER intègre des équipes de biologistes, qui étudient le diagramme d'impact des gerbes qui atteignent le sol, et des répercussions qu'elles engendrent sur des systèmes biologiques primaires.
Notons que l'écrivain romancier Wells, avait anticipé au début du siècle, cette possible influence mutagénétique des rayons cosmiques, qui au début du 19ème étaient une véritable énigme scientifique, que nous n'avons fait qu'éffleurer malgré notre techno-science...
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