Bonjour,
J'ai un système de base ou de source appelé "V " vérité axiomatique, qui en même temps est mon entrée "E".
Ma sortie "S" est donnée par un programme "P" de de fonction mathématique et ses variables, de logiques le tout dépendant de "V".
Prenons un exemple tout simple, supposons que "V" est une fonction f1(x)=ax qui ajoute +1 aux nombres précédant ce qui nous donne tout bêtement : 0 1 2 3 4 5 6 7 8...+inf, donc a = 1.
Dans mon programme, j'ai une fonction f2(x) avec la même variable x pour le temps et une logique combinatoire du type propositions du style :
*Si f1(x)=f2(x) alors "S"=f1(X), sinon 0.
sinon si :
*SI f1(X)>f2(x) alors "S"=f1(x)+f2(X) sinon "S"=f1(X)-f2(X)
Bref la question centrale est que si l'on a une vérité "V", sera-t-elle toujours une vérité même si elle aura été déformé par un programme de proposions ? Cette vérité aura subit une transformation par mon programme du même type qu'un point qui subit une rotation, translation, homothétie par des vecteurs, angles, points.
La sortie "S" serait une vérité transformée, dérivée de la vérité axiomatique d'entrée.
La vérité "V" axiomatique peut-elle être un sorte de générateur et pourrait-elle servir à créer des transformations multiples et dérivées ?
Avez-vous compris la forme de ma pensée et y-a-t-il des penseurs/philosophes/mathématicien qui ont fait les même recherches sur ma forme de réflexion ?
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