je reprend ce sujet intéressant dit de philo...
salut à tous, j'ai une dissertation à faire sur un sujet et pouvez vou m'éclairer un peu?
Voici le sujet:
<<Il ne peut y avoir de connaissance sans émotions; tant que l'on n'a pas ressenti la force de la connaissance, la connaissance ne nous appartient pas.>> (Arnold Bennett) Discutez la vision de la relation entre connaissance et émotion.
mon avis vécu est que les émotions donnent accès à une coopération plus grande d'une partie du cerveau. On ressent alors comme une guidance émotionnelle, qui renforce la synthèse globale et la mémorisation.
Dans la cadre de l'autisme d'asperger, cette guidance par les émotions peut s'associer à divers aspect tes que les chiffres, les mots ou autres "indices" insignifiants pour les autres personnes et cela aide à mettre en relation des systèmes d'une façon différente qui résoud alors le problème impensable... c'est excellent pour la psychalanyse avec le travail par écrit (mots clefs désignant des traumatisme associés à ces indices), les résoudre d'une façon impensable justement... c'est le décoder!
les émotions peuvent provoquer ce qui est ressentit comme des synchronicité, on désire tant quelque chose que ça nous arrive, comme si la réalité devenait une projection de son soi refoulée. .
Certains courant d'idée vont même dans le sens que l'amour, la plus forte des émotion à une composante transcendante, la réalité est influencée par nos émotions qui alors guident la construction de la réalité (théorie de la double causalité)
il est évident en tout cas que croire fortement qu'on est, fait être...
dans la mesure du possible.
L'inconscient pense peu mais s'accroche à des symbole, alors on peur avoir des émotions sur les chiffres, et on s'aperçoit alors que c'est ceux d'une date anniversaire... etc...
l'énergie de l'inconscient est insoupçonnée, c'est une énergie constante et non pas comme la pensée consciente qui a des instant de conscience...
l'émotion c'est le moteur du bateau, la conscience c'est faire le cap de temps en temps...
si on ne souhaite pas, on a beau faire le cap, on n'y vas pas..
il serait vain d'acquérir des connaissances sans émotion... avec quelle énergie alors. c'est bien le problème de l'école qui apprend sans charger émotivement les notions... l'intérêt à une chose c'est de l'amour pour cette chose à la base, le support qui en permet la connaissance.
l'amour, l'affection de gosse, très forte peut forcer le phénomène.
Trop et c'est la croyance aux signe, voir des troubles psychotique.
Il y a un lien avec l'activité glutamergique, pas assez chez les schizophrènes qui croient à leur délire, Trop chez les autistes prisonniers d'une réalié trop preignante et chez qui pourtant un "délire" d'imagination peut faire confondre quand il est communiqué. Différence, l'autiste n'y crois pas.
éprouver une très forte frustration d'amour, éloigné, le plus éloigné et le plus fort étant celui de "dieu", on obtient à force de componction de l'inspiration... artistique "divine", ou des idées et concepts plus ou moins divin... ainsi est sortie d'un coup la théorie de la relativité ou autre "assemblage en bloc".
Quand cela arrive à un écrivain qui pleure d'amour, c'est de "l'écriture automatique".
ce procédé de catharsis par l'amour en écriture en s'aimant très fort soit même et en pensant à son enfance abouti à dévider rapidement du genre 200 pages en un week end chez certain l'équivalent d'années de psychanalyses.
les bipolaires sont assez enclins à ce type de travail..
pour les émotions non verbales, il suffit pour se connecter à l'enfance et ainsi résoudre les traumatismes de s'attacher très fortement à une personne tout en ayant (pas sur mais cela aide) une frustration (ne pouvoir la voir que quelques heures par mois, espacer les rencontre de 15 jours), se mettre dans ses bras et pleure de la frustration d'amour d'enfant refoulé mène tout droit à sortir des gros traumatismes, ceux pour lequel le langage et l'écriture non plus prise mais qui alimentent cependant des troubles...
les émotions guident vers la connaissance de soi!
ça guide aussi vers la connaissance de l'autre.
L'amour est émotion, donc connaissance, d'où la relation entre Dieu est lumière (de la connaissance) puisque dieu est amour...
j'espère que là ça sera pas fermé...
car ce qui manque dans la psychologie pour la connaissance, c'est justement de suivre les émotions, à mon humble avis...
j'ai piétinné 11 ans sans rien trouver pour finalement faire le travail en 6 mois une fois découvert les émotions pour me guider...
je ne supportais pas la musique qui restait bloquée en tête, me fixait sur les détails, avait une pensée ralentie, ça semblait neurologique...
très invalidant, cela m'interdisait tout lieux publics.
et bien non, il fallait trouver par là que c'était tout simplement le manque de contact physique avec le père alors que j'étais bébé et aussi le manque de sensualité... le guide a été les émotions sur le corps... après les décharges de pleurs venaient la mentalisation et la connaissance 5 à 11 jours après une séance de "pleurer dans les bras"... ...
la thérapie pris environ 100 heures avec, il faut le noter peut être en tout 2000 heures de réflexions... 2 ans...
voilà, des axes de réflexions et de recherche j'espère, à temps..
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