connaissance et émotion
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connaissance et émotion



  1. #1
    inviteba42eae0

    connaissance et émotion


    ------

    je reprend ce sujet intéressant dit de philo...


    salut à tous, j'ai une dissertation à faire sur un sujet et pouvez vou m'éclairer un peu?

    Voici le sujet:

    <<Il ne peut y avoir de connaissance sans émotions; tant que l'on n'a pas ressenti la force de la connaissance, la connaissance ne nous appartient pas.>> (Arnold Bennett) Discutez la vision de la relation entre connaissance et émotion.



    mon avis vécu est que les émotions donnent accès à une coopération plus grande d'une partie du cerveau. On ressent alors comme une guidance émotionnelle, qui renforce la synthèse globale et la mémorisation.
    Dans la cadre de l'autisme d'asperger, cette guidance par les émotions peut s'associer à divers aspect tes que les chiffres, les mots ou autres "indices" insignifiants pour les autres personnes et cela aide à mettre en relation des systèmes d'une façon différente qui résoud alors le problème impensable... c'est excellent pour la psychalanyse avec le travail par écrit (mots clefs désignant des traumatisme associés à ces indices), les résoudre d'une façon impensable justement... c'est le décoder!

    les émotions peuvent provoquer ce qui est ressentit comme des synchronicité, on désire tant quelque chose que ça nous arrive, comme si la réalité devenait une projection de son soi refoulée. .
    Certains courant d'idée vont même dans le sens que l'amour, la plus forte des émotion à une composante transcendante, la réalité est influencée par nos émotions qui alors guident la construction de la réalité (théorie de la double causalité)
    il est évident en tout cas que croire fortement qu'on est, fait être...
    dans la mesure du possible.
    L'inconscient pense peu mais s'accroche à des symbole, alors on peur avoir des émotions sur les chiffres, et on s'aperçoit alors que c'est ceux d'une date anniversaire... etc...
    l'énergie de l'inconscient est insoupçonnée, c'est une énergie constante et non pas comme la pensée consciente qui a des instant de conscience...
    l'émotion c'est le moteur du bateau, la conscience c'est faire le cap de temps en temps...
    si on ne souhaite pas, on a beau faire le cap, on n'y vas pas..
    il serait vain d'acquérir des connaissances sans émotion... avec quelle énergie alors. c'est bien le problème de l'école qui apprend sans charger émotivement les notions... l'intérêt à une chose c'est de l'amour pour cette chose à la base, le support qui en permet la connaissance.

    l'amour, l'affection de gosse, très forte peut forcer le phénomène.
    Trop et c'est la croyance aux signe, voir des troubles psychotique.
    Il y a un lien avec l'activité glutamergique, pas assez chez les schizophrènes qui croient à leur délire, Trop chez les autistes prisonniers d'une réalié trop preignante et chez qui pourtant un "délire" d'imagination peut faire confondre quand il est communiqué. Différence, l'autiste n'y crois pas.

    éprouver une très forte frustration d'amour, éloigné, le plus éloigné et le plus fort étant celui de "dieu", on obtient à force de componction de l'inspiration... artistique "divine", ou des idées et concepts plus ou moins divin... ainsi est sortie d'un coup la théorie de la relativité ou autre "assemblage en bloc".
    Quand cela arrive à un écrivain qui pleure d'amour, c'est de "l'écriture automatique".
    ce procédé de catharsis par l'amour en écriture en s'aimant très fort soit même et en pensant à son enfance abouti à dévider rapidement du genre 200 pages en un week end chez certain l'équivalent d'années de psychanalyses.

    les bipolaires sont assez enclins à ce type de travail..

    pour les émotions non verbales, il suffit pour se connecter à l'enfance et ainsi résoudre les traumatismes de s'attacher très fortement à une personne tout en ayant (pas sur mais cela aide) une frustration (ne pouvoir la voir que quelques heures par mois, espacer les rencontre de 15 jours), se mettre dans ses bras et pleure de la frustration d'amour d'enfant refoulé mène tout droit à sortir des gros traumatismes, ceux pour lequel le langage et l'écriture non plus prise mais qui alimentent cependant des troubles...
    les émotions guident vers la connaissance de soi!
    ça guide aussi vers la connaissance de l'autre.
    L'amour est émotion, donc connaissance, d'où la relation entre Dieu est lumière (de la connaissance) puisque dieu est amour...

    j'espère que là ça sera pas fermé...
    car ce qui manque dans la psychologie pour la connaissance, c'est justement de suivre les émotions, à mon humble avis...

    j'ai piétinné 11 ans sans rien trouver pour finalement faire le travail en 6 mois une fois découvert les émotions pour me guider...

    je ne supportais pas la musique qui restait bloquée en tête, me fixait sur les détails, avait une pensée ralentie, ça semblait neurologique...
    très invalidant, cela m'interdisait tout lieux publics.

    et bien non, il fallait trouver par là que c'était tout simplement le manque de contact physique avec le père alors que j'étais bébé et aussi le manque de sensualité... le guide a été les émotions sur le corps... après les décharges de pleurs venaient la mentalisation et la connaissance 5 à 11 jours après une séance de "pleurer dans les bras"... ...
    la thérapie pris environ 100 heures avec, il faut le noter peut être en tout 2000 heures de réflexions... 2 ans...

    voilà, des axes de réflexions et de recherche j'espère, à temps..



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  2. #2
    invite0e4ceef6

    Re : connaissance et émotion

    a vu de nez ,pas besoin d'émotions pour connaitre, par contre l'on impérativement du ressenti et des émotions pour juger. ce qui n'est pas du tout la même chose...

    connaitre, c'est percevoir QQchose, je suis e train de prendre conscience de...
    connairte c'est aussi pouvoir dire que ce qe l'on perçoit l'on en a deja un souvenir, qu'on 'à donc deja perçu...

    les émotions quand à elle sont ce qui forme le gout et les préférences d'une personne, sans gout l'on se saurait savoir ce qui est agréable ou déasagréable, et par là pouvoir par abstraction ou dans l'absolue se faire une idée du bien, du beau, du bon... or sans ces notions implicites, pas de jugement, pas de règle de loi visant a élliminer ce qui nous déplait, et de promouvoir ce qui nous plait.

    le jugement c'est ici en psychologie, le libre-arbitre, celui de choisir selon ses gout comme bon il nous semble et pour notre bien...

    l'on diras qu'il ne peu y avoir de jugement sans sans connaissance, car pour bien juger il faut connaitre, et avoir bien connoté les percepts de multiple micro-jugement.... par là l'on diras que connaitre c'est aussi se connaitre, donc connaitre ses propre émotions qui sont aussi des percepts, des "impréssions" corporelle.

    il ne faut surout pas méllé le connaitre et les émotions, car l'émotions est un élément connaissable, tendis que que connaissable quand à lui est une propriété première de l'entendement, puisque sans capacité mnémonique, nous ne serions "rien". alors que l'on peu tout à fait manquer de raison, de gout ou de jugement, mais être sans mémoires, c'est ne plus pouvoir exister à soi. c'est être au mieux un légumes, en stade de coma4 largement dépassé.

    a+

  3. #3
    mh34
    Responsable des forums

    Re : connaissance et émotion

    a vu de nez ,pas besoin d'émotions pour connaitre
    Pas sûr du tout...
    http://www2.cnrs.fr/journal/1411.htm
    "mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus

  4. #4
    invite0e4ceef6

    Re : connaissance et émotion

    sisisi, mh34, le cerveau a certes besoin démotions pour mieux apprendre, c'est toute la différence entre etre intérréssé et n'avoir aucun interet a ce que l'on souhaite nous mettre dans le crane (voir prof ;o) )

    la connaissance n'est pas l'apprentissage, et si l'on mémorise mieux sous le coup d'un émotions, car les émotions sont des signaux sinon d'alerte (piqure d'abeille une fois, et peu à jamais de ce qui vole et est jaune et noir rayé), sinon d'interet, puisque capable de provquer cette émotion... qu'elle soit désagrable ou agréable d'ailleurs, le gout des madéleine chez proust resterons gravé à jamais dans mémoire, comme tout le flux d'infos qui y sont lié.

    toutefois basiquement, connaissance = mémorisation brut de qqchose à la conscience, et l'on peu très bien ne pas avoir besoin de sans souvenir, mais par exemple si on nous le demande de se rappeller voir vu cet objet tout à fait quelconque et sans interet dans tel ou telle pièce, ou avoir vu tel ou telle personne quelquepart. c'est ce qui motive aussi l'idée du deja-vu, perception ou situation infra-consciente, non réellement pertinte donc perçue comme tel et qui si elle se répète vont déclancher un une remémorisation de cet état de cette situation deja-connue...

    la connaissance est lié à la mémoire, toute émotions est reconnaissable comme percept, c'est un élément des contenu des souvenirs, la ou la connaissance n'est que le pot-commun ou sont entassé tout nos souvenir de quelquesortes qu'il soient.

    les emotions permettent la motivation, qui participe grandment de l'apprentissage, mais ne fait qu'y participer et y être un élément favorisant ou inhnibiteur de l'apprentissage.

    le connaitre n'est pas l'apprendre, qui n'est pas juger et raisonner non plus, chacune représente des fonctions particulières.

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    karlp

    Re : connaissance et émotion

    Citation Envoyé par quetzal Voir le message
    sisisi, mh34, le cerveau a certes besoin démotions pour mieux apprendre, c'est toute la différence entre etre intérréssé et n'avoir aucun interet a ce que l'on souhaite nous mettre dans le crane (voir prof ;o) )

    la connaissance n'est pas l'apprentissage, et si l'on mémorise mieux sous le coup d'un émotions, car les émotions sont des signaux sinon d'alerte (piqure d'abeille une fois, et peu à jamais de ce qui vole et est jaune et noir rayé), sinon d'interet, puisque capable de provquer cette émotion... qu'elle soit désagrable ou agréable d'ailleurs, le gout des madéleine chez proust resterons gravé à jamais dans mémoire, comme tout le flux d'infos qui y sont lié.

    toutefois basiquement, connaissance = mémorisation brut de qqchose à la conscience, et l'on peu très bien ne pas avoir besoin de sans souvenir, mais par exemple si on nous le demande de se rappeller voir vu cet objet tout à fait quelconque et sans interet dans tel ou telle pièce, ou avoir vu tel ou telle personne quelquepart. c'est ce qui motive aussi l'idée du deja-vu, perception ou situation infra-consciente, non réellement pertinte donc perçue comme tel et qui si elle se répète vont déclancher un une remémorisation de cet état de cette situation deja-connue...
    la connaissance est lié à la mémoire, toute émotions est reconnaissable comme percept, c'est un élément des contenu des souvenirs, la ou la connaissance n'est que le pot-commun ou sont entassé tout nos souvenir de quelquesortes qu'il soient.

    le connaitre n'est pas l'apprendre, qui n'est pas juger et raisonner non plus, chacune représente des fonctions particulières.
    Vous présentez ici ce que Platon dénonçait comme faux savoir ou encore comme "savoir mort": un savoir dans lequel l'individu ne se sent pas impliqué, qu'il s'est contenté de mémoriser et qui n'a aucun effet sur lui, et ne constitue qu'un moyen au service d'autre chose (la recherche de la notoriété, du pouvoir, du prestige, etc..).
    Si vous poussez à sa limite votre raisonnement (dans lequel vous vous impliquez justement et ce en contradiction avec le contenu de votre propos, parce que d'une façon ou d'une autre il vous tient à coeur) vous serez amené à confondre l'intelligence et la mémoire (j'ai souligné les passages le suggérant).
    Il s'agit d'un savoir non assimilé (stérile).

    Bien sûr il ne faut pas confondre un savoir en lui-même (un système de concept) et le savoir de l'individu (ou le rapport de l'individu au savoir).

    Un savoir non assimilé mais simplement mémorisé peut produire des effets qui ressemblent à une "dissociation".

    (à titre purement anecdotique: j'ai rencontré un individu "bardé" de diplômes et dont le savoir n'était que mémorisé, mais qui dans la vie courante admettait systématiquement la -fausse- équivalence entre "p implique q " et "non p implique non q"; cet homme ne comprenait d'ailleurs pas qu'on puisse étudier pour le simple plaisir)

  7. #6
    invite0e4ceef6

    Re : connaissance et émotion

    vous confondez surtout savoir et connaissance, le savoir sont des connaissances qui parcequ'elles sont si commune ne sont pas "connue" de tous comme étant telles... savoir "voir", marcher, parler, qui relève du commun... c'est ce que l'on est "capable" de faire sans même penser être dépositaire d'un savoir, un peu comme la culture donc. nous sommes tous des êtres de culture et folklorique par là, puisque nos point de vue sont tous particulier...

    le savoir n'est certainement pas cet entassement plus ou moins poussé que l'on rencontre chez les universitaire docteur et savant... (c'est pourtant sont usage commun), se sont des connaisances plus ou moins bien étayé, certes bien plus fine discipline par discipline que ce que tout venant est capable d'en dire. mais le tout venant n'est pas qu'une ardoise vierge sans aucune connaissances, et surtout sans aucun savoir. le savoir est ce qui permet l'action, là ou la connaissance est encore réflexion puisque peu assuré.

    par contre j'admet volontier que ma volonté démonstrative est lié a l'émotion, mais ce n'est pas là "la" connaisance, c'est une resistance a la présentation d'une représentation de la représentation de l'organisations des phénomènes psychique qui ne me satisfait que peu, car l'on ne saurait réellement mélanger ce qui relève de simple contenu de mémoire(toute phénomène conscient en fait), et des formes procédurales de traitement de l'information via des shémas ou des grilles de lectures reposant sur les affects et les émotions

    je défend ce système parcequ'il me semble assez pertinant sur le plan espistémologique, là ou mélangé purement connaisance et émotivité me semble procédé d'une certaine confusion conceptuelle...j'admet volontier toutefois comme je l'ai déja écrit plus haut, que dans l'apprentissage (qui est en tout répétition) les affects et émotions joue un rôle des plus prépondérant comme activateur ou inhibiteur des facultés de mémorisation. un bon prof peu sauver de nombreux élève parceque ça se passe bien avec eux "humainement" parlant, et en même inhiber completement d'autres qui pourtant y était pourtant bon. dire l'inverse se serait nier le facteur humain dans l'apprentissage.

    les émotions sont des connaissances l'on se souvient autant que nous les subissons. ce sont des modes "primaire de réactivité" psychosomatique visant a indiquer des états particulier dans le champs de la cognition humaine. les émotions n'interviennent pas tout le temps, du moins ont ne els perçoit pas tout le temps comme tel, l'on se percevra plutôt en train de juger de "bonneté" ou "mauvaiseté" de quelquechose a son endroit, ou envers autrui, la société, le monde, enfin tout système a "préférence ou à choix".

    les émotions se reconnaissent surtout parcequ'elles sont la réponse a des stimulus souvant exéssif, ou reconnu comme pouvant-être dangereux ou très positif pour l'individu. est-ce les émotions en tant que telle peuvent-être reconnu étant des phases de saturation des système de traitement de l'information, engendrant une réponse somatique certainnes, peur(adrénaline) joie(endorphine) etc

    l'on ne saurait comprendre comment nous jugeons sans l'ensemble des ses connotation émotionnelle a tout objet, a toute connaissance qui ne peuvent prendre sens pour tout un chacun qu'en fonction de ses connotations, qui sont autant de classement sur l'échelle du dégout et de l'envie....

    alors si il n'y a pas de connaisances acquise qui ne soit connoté émotionellement et cela pour ce simple raison de classification de l'information (choix et préférence), l'on ne saurait toutefois mélangé connaissance et émotions, car si elle participe de cette classification du monde, elle ne fonctionne pas sur le même mode, et sont des fonctions dûment différenciées, tant somatiquement que dans d'une phénomélogie de la psyché.

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