Bonjour,
Soit le nombre de chaussettes (pas le nombre de paires, le nombre de chaussettes) qui entrent dans le lave linge. Soit le nombre qui en sort. Alors , et et de plus et sont de parité différente.
Voilà, ça méritait d'être dit !
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Bonjour,
Soit le nombre de chaussettes (pas le nombre de paires, le nombre de chaussettes) qui entrent dans le lave linge. Soit le nombre qui en sort. Alors , et et de plus et sont de parité différente.
Voilà, ça méritait d'être dit !
Not only is it not right, it's not even wrong!
Il manquerait pas une condition nécessaire, genre:
+?
représentant un linge au choix où se cachent les chaussettes manquantes.
Sinon, il y a un trou dans le tambour...
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
lemme : si vous n'avez qu'une paire de chaussettes, vous la perdrez en deux lavages
Ca c'est le résultat connu sous le nom de "Erreur d'Archi", en effet on peut très bien laver deux chaussettes le jour 1 et en récupérer 1, le jour 2 on introduit une chaussette dans le lave-linge et on en récupère 2
A noter que dans l'énoncé initial il aurait fallu préciser n > 0
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Encore à supprimer,. . .
Dernière modification par antek ; 14/10/2020 à 23h20.
L'électronique c'est comme le violon. Soit on joue juste, soit on joue tzigane . . .
ah oui désolé je n'avais pas compris qu'on pouvait avoir p>n !
Dernière modification par Archi3 ; 15/10/2020 à 07h59.
Quelle est la probabilité pour que le nombre de chaussettes que l'on retire de la machine soit pair?
Hier j'ai fait un lavage à 95°, où je n'aurais dû mettre que du linge qui supporte cette température. Une chaussette s'était glissée dans le lot par erreur. Tenir compte de ce cas.
En fait c'est une véritable théorie du lave-linge qu'il faudrait élaborer, et non un simple théorème .
Dernière modification par CM63 ; 15/10/2020 à 08h32.
Bonjour,
Cela me fait penser à un gars que j’avais rencontré à Königsberg du temps ou j’étais voyageur de commerce. Assis à une terrasse de café, je lisais, «le collectionneur de motos» quand mon voisin, un très vieil homme, posa sa pipe et déclara sur un air de regret absolu*: «ceci n’est pas une pipe».
Il se tourna vers moi et me dit: «il faut bien s’y faire, les apparences ne seront jamais ce qu’elles devraient être». Puis sur un ton plus désinvolte,montrant des yeux ma revue, avec un ton enthousiaste; «vous êtes collectionneur?»
«Non , non, j’aime juste ce côté unique dans la présentation de ces machines, leur caractère bien à elles.» Il me répondit «Oui, oui» sur un ton encore plus enthousiaste, puis «vous êtes un vrai collectionneur mais ne le savez pas, ou plus, ou pas encore», il piqua ma curiosité par cette assertion et continua «je peux vous le prouver vous savez, je possède une collection unique qui si vous la voyez vous montrerai votre place dans l’univers des collectionneurs». Ayant toujours dédaigner cette marotte de la collection je me sentais un peu pris au dépourvu, moi collectionneur?
Mais je raconte, je raconte et en oublie la règle de l’endroit ou je me trouve, est-ce qu’une suite est ici possible? car de chaussettes le vielle homme me parla.
Dernière modification par Liet Kynes ; 15/10/2020 à 21h00.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Houà crévindiou, ton gps a démissionné.
Bien sûr que la suite est possible, j'ai hâte de ton récit, la conquête de ton habillement par la face nord m'accapare, ici, on n'est pas dans l'ordinaire, et ça met en appétit.est-ce qu’une suite est ici possible? car de chaussettes le vielle homme me parla.
Chaleureusement, vraiment, ce n'est pas tous les jours...
C'est que la suite peu être longue dans ce genre d'histoire.. en voilà donc une partie:
J'avais l'impression que tout à coup la terrasse était silencieuse, en regardant à la ronde je constatai que oui plus personne ne parlait et que les gens attablés semblaient être dans l'attente de ma réponse. Un homme souriant portait son verre de vin à la bouche en faisant signe vers moi, un geste que je ne sus interpréter entre «à la tienne» et «vas donc voir cette collection». Le vieil homme semblait lui attendre une réponse et me fixait d'un regard confiant et encourageant.
«Je prendrai bien un peu de temps pour voir une telle collection» lui dis-je «car j'avoue être curieux de connaître cette âme de collectionneur qui ferait partie de moi»
«et vous avez bien raison, d'ailleurs vous serez certainement surpris de constater que cette partie surpassera en taille tout ce que vous imaginiez de vous.»
Il me tendit la main «Gilbert, Gilbert-Gilbert», je la serrai en retour «Eude, Eude Clide, je suis de passage ici, une tournée commerciale..». «Ici personne n'est vraiment de passage vous savez, d'ailleurs ne trouvez-vous pas que cette petite ville donne envie de prendre son temps? En tout cas si vous en avez un peu celasera déjà plus que nécessaire pour vous faire découvrir ma collection, j'habite dans cette rue, juste en face.»
La rue que Gilbert désignait était en pente assez courte avec un bel et étrange effet de perspective depuis la terrasse, comme si les deux rangées opposées de maisons qui composaient la rue se touchaient vers l'horizon, horizon qui n'était composé que du beau ciel bleu qu'offrait cette fin d'après-midi.
Gilbert était déjà debout, je tentai de capter le serveur pour payer mes consommations et décidait de prendre en charge celles de Gilbert qui finalement m'offrait lui aussi de son temps.
Le serveur fini de rendre la monnaie à trois clients qui apparemment avaient trop payé il leur rendit à chacun un euro et s'avança vers nous en remettant quelques euros dans sa poche.
«Combien je vous dois pour nos consommations à nous deux?»,
«cinq plus sept, cela fera douze monsieur»,
«et bien voilà treize en souhaitant que cela porte bonheur», plaisantai-je.
Dernière modification par Deedee81 ; 18/10/2020 à 13h32. Motif: remplacement texte à cause des fautes de frappes
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Gilbert insista pour payer sa consommation, je lui répondis que cela me faisait plaisir, nous avancions dans ces échanges sans fin de politesses, jusqu’à l’entrée de la rue de Gilbert, ce fut l’occasion que je saisi pour en finir avec la note.
Je regardai le panneau sur lequel était inscrit le nom de la rue: «Rue des ilberts». Je décidai de détourner la discussion sur la note en m’exclamant: «Phénoménal, le nom de votre rue Gilbert, il semble vraiment fait pour vous»
«Oui, vous êtes observateur» me dit-il d’un air amusé.
Le professeur Moebius chef du service neurologie était dubitatif, il tenait le bout de papier, seul indice concernant l’identité du patient découvert il y a maintenant plus d’un an dans une sorte de coma à la terrasse d’un café, l’air-bar place Königsberg,. Le service préparé d’ailleurs une petite cérémonie pour célébrer ce qui avait été baptisé le jour du 2 millionième clignement. Ce qui avait frappé toutes les personnes en voyant ce patient était le fait qu’il clignait lentement des yeux selon une alternance œils ouverts/œils fermés régulière: ouverts 1 seconde puis fermés 1 seconde puis ouverts 2 secondes et fermés 2 secondes et le cycle recommence sans interruption, la durée avait été chronométrée pour constater précisément 30 clignements par minute.
Sur le bout de papier était écrit e² C i². Aucune signification n’avait été trouvé même si d’aucuns évoquaient une formule scientifique.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Fin du délire et retour au lave-linge.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
C'est ce que je disais dans mon post # 11 , j'en étais au remplissage et c'est un peu long comme cycle dans un programme, surtout avec des chaussettes en laine, le programme pré-lavage commençait et allait parler de la chaussette et de ses paires..
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Ce "Théorème" est une légende urbaine ...