salut a tous, s'il vous plait, je veux savoir:
quels sont les différents types de défibreurs d'aliments sec ( déhsydraté) qui existent en milieux industriels?
merci
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salut a tous, s'il vous plait, je veux savoir:
quels sont les différents types de défibreurs d'aliments sec ( déhsydraté) qui existent en milieux industriels?
merci
Bonjour
Pouvez-vous précisez :
- si votre cherche porte sur les défibreurs pour nourriture animale ou humaine.
- a quels aliment désydratés faite vous référence.
Cordialement
merci de m'avoir repondu
c'est un défibreur pour nourriture humaine,l'aliment est de l'attiéké sec (nourriture ivoirienne à base de manioc),cet aliment ressemble à du couscous. Merci et voici mon mail
xxxxxxxxxxxxx e-mail supprimé voir la charte http://forums.futura-sciences.com/thread98.html
Dernière modification par richard 31 ; 27/03/2009 à 11h13.
Bonjour Ulrich225.
Petite remarque préliminaire :
Vous parlez de l'attiéké qui est déjà un produit fini.
Le défibrage ce fait en principe directement sur les cossettes de manioc (racine découpée en gros morceaux) et ce après la fermentation et le lavage du ferment, etc, etc.. à ce stade il ne s'appelle pas encore attiéké.
Dons quand vous parlez de défibrage sur produit sec donc d'un produit fini je me demande à quoi cela sert. Ceci dit avec le peu que je connais de l'Afrique mais quelque chose m'échappe.
Votre question
Pour le défibrage en général on trouve deux techniques surtout pour le bois, dont la fabrication du papier.
1°) Défibrage à la meule : Le défibrage se fait par des meules qui frottent directement le périmètre des billes. Ce défibrage se fait dans tous les cas, en phase acqueuse ou très humide pour deux raisons le frottement fait beaucoup chauffer le bois et la meule qui s'encrasse aussi trop vite, si l'eau n'élimine pas les copeaux et les parties défibrées plus petites.
Donc cette technique n'est pas adaptée à votre demande pour les raisons suivantes:
a) l'eau sur un produit déshydraté ne convient pas
b) les billes de bois doivent être maintenue pour que la meule soit toujours à la même distance de la meule (les tourneurs comprendrons que le point de tangence doit être sous l'axe).
Donc si c'est par exemple du soja ou autre graine ce n'est pas adapté sauf à utiliser les techniques de la meunerie avant le blutage.
2°) Défibrage par disque. Le produit déjà râpé en copeaux passe entre deux disques comportant des rainures de coupe et de dégagement de matière. Ces disques de fort diamètre tourne de manière contra-rotative. Le produit est introduit par le centre du disque et sort par la force centrifuge via les rainures de dégagement. L’espace entre les disques et de l’ordre du millimètre pour des diamètres de disques dépassant allégrement le mètre.
On trouve quelque fois des défibreurs mono-disque mais plutôt pour de la reprise pour certains papiers spéciaux.
Pour le défibrage alimentaire de produit alimentaire en Afrique et en Asie, c’est plutôt une solution mono-disque qui est employée car moins couteuse et de nettoyage plus aisé (le produits ferment encore).
C’est le même genre de machine que l’on trouve dans les campagnes françaises pour râper les betteraves pour les bovidés. Même genre de machine mais de râpage plus grossier des pommes pour le bon cidre.
Voilà je ne peux pas vous en dire plus.
Par contre vous pouvez regarder du coté :
- de la FAO qui a fait des études pour diminuer la pénibilité du défibrage manuel traditionnel par les femmes.
- Des ONG d’ingénieurs qui mettent en place des machines robustes peut cher et maintenable en local. Peut être ont-ils traité un problème similaire dans un ou plusieurs pays.
- Enfin n'oublions pas l'INRA qui a obligatoirement des réponses.
Cordialement
bonjour ZOZO_MPBonjour Ulrich225.
Petite remarque préliminaire :
Vous parlez de l'attiéké qui est déjà un produit fini.
Le défibrage ce fait en principe directement sur les cossettes de manioc (racine découpée en gros morceaux) et ce après la fermentation et le lavage du ferment, etc, etc.. à ce stade il ne s'appelle pas encore attiéké.
Dons quand vous parlez de défibrage sur produit sec donc d'un produit fini je me demande à quoi cela sert. Ceci dit avec le peu que je connais de l'Afrique mais quelque chose m'échappe.
Votre question
Pour le défibrage en général on trouve deux techniques surtout pour le bois, dont la fabrication du papier.
1°) Défibrage à la meule : Le défibrage se fait par des meules qui frottent directement le périmètre des billes. Ce défibrage se fait dans tous les cas, en phase acqueuse ou très humide pour deux raisons le frottement fait beaucoup chauffer le bois et la meule qui s'encrasse aussi trop vite, si l'eau n'élimine pas les copeaux et les parties défibrées plus petites.
Donc cette technique n'est pas adaptée à votre demande pour les raisons suivantes:
a) l'eau sur un produit déshydraté ne convient pas
b) les billes de bois doivent être maintenue pour que la meule soit toujours à la même distance de la meule (les tourneurs comprendrons que le point de tangence doit être sous l'axe).
Donc si c'est par exemple du soja ou autre graine ce n'est pas adapté sauf à utiliser les techniques de la meunerie avant le blutage.
2°) Défibrage par disque. Le produit déjà râpé en copeaux passe entre deux disques comportant des rainures de coupe et de dégagement de matière. Ces disques de fort diamètre tourne de manière contra-rotative. Le produit est introduit par le centre du disque et sort par la force centrifuge via les rainures de dégagement. L’espace entre les disques et de l’ordre du millimètre pour des diamètres de disques dépassant allégrement le mètre.
On trouve quelque fois des défibreurs mono-disque mais plutôt pour de la reprise pour certains papiers spéciaux.
Pour le défibrage alimentaire de produit alimentaire en Afrique et en Asie, c’est plutôt une solution mono-disque qui est employée car moins couteuse et de nettoyage plus aisé (le produits ferment encore).
C’est le même genre de machine que l’on trouve dans les campagnes françaises pour râper les betteraves pour les bovidés. Même genre de machine mais de râpage plus grossier des pommes pour le bon cidre.
Voilà je ne peux pas vous en dire plus.
Par contre vous pouvez regarder du coté :
- de la FAO qui a fait des études pour diminuer la pénibilité du défibrage manuel traditionnel par les femmes.
- Des ONG d’ingénieurs qui mettent en place des machines robustes peut cher et maintenable en local. Peut être ont-ils traité un problème similaire dans un ou plusieurs pays.
- Enfin n'oublions pas l'INRA qui a obligatoirement des réponses.
Cordialement
merci pour vos conseils,c'est vrai que l'attiéké est un produit fini mais cela est fait en petite quantité, lorsqu'on doit faire une production en masse (de grande taille soit 250 kg/h),on ne doit pas perdre le temps dans l'épluchage,donc on laisse les racine de manioc qui se trouve au milieu de la pulpe,après transformation c'est à dire:
pesage-broyage-fermentation- essorage-semoulage-préséchage-cuisson) il est important de penser à la conservation,pour cela on fait passer l'attiéké dans un séchoire afin de réduire le taux d'humididé puis pour raison de qualité, l'attiéké sec obtenu subit un défibrage.
je suis étudiant en maitrise en énergétique et électromécanique,on me demande de concevoir un système de défibrage d'une capacité de 250 kg/h.
Cordialement
>Bonsoir
Je dois être un peu dur de la comprenette mais je ne voit pas comment on peut faire un défibrage après transformation en l'occurence après le semoulage.
Pouvez-vous m'en dire plus sinon je crains de ne vous être d'aucune utilité.
Cordialement
Bonjour,
l'attiéké dont vous parlez est fait par les femmes dans les villages or je parle d'un attiéké
qui se fait de manière industrielle, c'est à dire ,pendant la transformation on ne fait pas de défibrage avant le semoulage à cause de l'humidité aussi élevé, tout simplement les fibres ont tendence à se coller aux semoules, alors après la cuisson ,il y a beaucoup de fibres dans l'attiéké et donc pour des raison de qualité il faut trouver un moyen pour réduire les fibres considérablement d'où le défibrage, mais cet défibrage ne peut etre bien fait que lorsque l'attiéké est sec c'est pourquoi il faut le séchage avant le défibrage.
cordialement.
Bonsoir
ça j'ai bien compris mais cela revient à vouloir défibrer des microbilles de 1 à 2 mm de Ø.
Donc comme défibrer et séparer dans ces conditions.
Est-ce que cela ne revient pas à le refaire passer par le stade farine puis à nouveau semoule sur un produit déjà quasiment fini du point de vue organoleptique.
Cordialement
Bonsoir
oui mais le cahier de charge que j'ai reçu est très claire,il s'agit de concevoir une machine qui fait un défibrage seulement,si je doit faire plusieurs machines celà revient chère,et le temps qu'il mon donné est imparti,or nous somme en crise et la logique de tout entreprise est de dépenser moins et faire des profits en meme temps.
Bonjour
Votre considération économico temporelle ne répond pas à la question posée.
En clair,
1°) comment défibrer de la semoule disséquée?
2°) Pensez vous réellement qu'une machine qui n'est pas adapté à ce produit parviendra à ce défibrage sans casser les grains de semoule.
3°) quel est le sous produit issus du défibrage sachant qu'une défibreuse ne procède pas à cette séparation.
4°) comment résoudre le problème de ne pas casser les grains de semoule puisque vous ne voulez pas les reconstituer par la suite.
Dire "je ne veux pas le savoir" en balayant d'un revers de main l'objection, n'est pas le meilleur moyen un tant soit peu méthodique et technico-scientifique de résoudre un problème.
Si vous trouvez la solution ayez au moins la gentillesse de nous en faire part, cela nous instruira.
Si vous des photos issus d'un microscope d'un défibrage du manioc post et antépost à l'opération cela m'intéresserais beaucoup.
Cordialement
bonjour
je n'écarterai pas votre proposition, concernant le défibrage d'aliment animal ,que savez vous? peut etre que celà pourra créer un déclic en moi afin de proposer quelque chose de concret et réalisable
cordialement