bonjour,
par ces temps de chaleur, mais en fait tous les étés, j'arrose beaucoup. Hélas y a de la casse, beaucoup de pompes immergées ont déjà rendu l'âme.
Hormis les pompes pour forage (bobinage imprégné ou à bain d'huile), les moteurs sont prétendus étanches et remplis du bon air que chacun respire, et à pression atmosphérique.
Ils décèdent tous d'intoxication par l'eau, dès que la bague d'étanchéité d'arbre fuit.....
cependant, souvent, la continuité des bobinages demeure, il y a seulement défaut d'isolement.
Alors, après évacuation de l'eau entrée dans le moteur, séchage par divers moyens, je remonte le machin..... et le remplis aux 4/5 d'une huile très fluide (huile pour transmissions hydrauliques ou huile récupérée dans de compresseurs de frigo HS)
alors, 2 fois sur 4, le défaut d'isolement a disparu. Le moteur peut reprendre du service sans inquiéter l'inter différentiel 30 mA.
Pour empêcher l'eau de re-rentrer, je mets souvent l'intérieur moteur en surpression franche (1 bar doit bien équilibrer la pression d'immersion de 10 m environ?)
Je voudrais savoir si il est raisonnable de faire subir ce traitement (remplissage avec une huile, plus pressurisation raisonnable) à un moteur neuf avant toute défaillance
le fluide huileux va entraîner des pertes par frottement visqueux
mais aussi il va améliorer le refroidissement des bobinages......
ne risque-t-il pas d'attaquer l'isolant, ou la bague d'étanchéité ? -si elle n'est pas en carbure de silicium ou en carbone..
..... ou des joints en caoutchouc?
si la bague est un vulgaire joint à lèvres, au contraire est-ce qu'un petit coup de lubrifiant ne prolongerait pas sa vie?
Cete modif va-t-elle prolonger le moteur (utilise intensivement)?
nb; pour les grincheux. NON, l'aspect sécurité sanitaire n'est pas mon problème. Il m'est indifférent que l'huile soit réglementaire ou non, vu que c'est pas des humains qui vont boire l'eau, mais.... des arbres et mes chevaux (déclarés présomptivement et irrémédiablement non propres à devenir des steaks. )
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