Chez la femme, le rétrocontrôle exercé par les œstrogènes sur l'axe hypothalamo-hypophysaire bascule d'un mode négatif à un mode positif à partir du moment ou la concentration des œstrogènes dépasse un certain seuil de concentration (200 pg/mL). Je n'ai pas réussi à trouver l'origine cellulaire ou/et moléculaire de ce basculement. J'imagine que la réponse se trouve du côté des récepteurs membranaires aux œstrogènes des cellules de l'axe hypothalamo-hypophysaire et des protéines qui leur sont liées (protéines G en particulier). Quelqu'un aurait-il la réponse à cette question ?