Par curiosité, j'ai consulté ton lien. J’ai lu :Par curiosité , j'ai consulté la fiche de ce modèle de VMC thermodynamique : le COP y est de 6.8
Voir page 6 https://www.geco.fr/sites/default/fi...-_4_en_1_0.pdf
Données techniques, partie ventilation avec Pompe à chaleur
COP Chauffage avec A7 récupération de chaleur comprise 6.8
Plus bas, dans:
Certifiocate passive house sultable component
heating
COP indiqué, entre 1.53 et 3.5
Dernière modification par cornychon ; 09/10/2019 à 00h02.
Le savoir doit beaucoup à l'imagination.
Bien vu, t'as de bonnes lunettes
3.58 de COP pour une T° extérieure de 7°C ; ici on parle d'une récupération sur l'air extrait pour réchauffer un air déjà tempéré par un puits canadien ...
AMHA , le COP doit être bien supérieur à cette valeur donnée pour 7°C ...
Bonjour,
je cherche une variante de ton tunnel à Galet qui consisterait à non pas réaliser un stockage dans des tranchées mais dans des conduits de forage vertical.
En gros je réalise un stockage type BTES voir schéma.
Ma première contrainte est l'évacuation des condensats en fond de forage (15m).
Dans un volume d'environs 3000 m3 de terre un gros cylindre de 15m de hauteur et 8m de rayon je réalise 30 forages de 60 mm
Je tube le forage avec du tube de 60mm et réalise un autre tubage de 40mm dans le tube de 60mm (pour circulation d'air vers le fond et remonté en surface).
Je relis l'ensemble des tubages de 60mm et 40 mm entre eux et réalise un conduit d’amené et de retour de 300 mm..
Je ne mets pas de bouchon au fond du tubage de forage afin que l'eau des condensats s'infiltre dans le sol.
De cette manière j’élève la température de 3000 m3 de sol durant tout l'été et m'assure de pouvoir toujours avoir un stock (>25°) chaud même au plus froid de l'hiver.
Je peux simuler en plus cette configuration avec des models utiliser pour des U hydraulique de forage (il suffit que je change la capacité calorifique de mon liquide comme si il se comporté comme de l'air....je crois que c'est 0.34 wh/m3/° pour l'air et environs 1 Kwh/m3/° pour l'eau....
Bonjour lilian07
A mon avis , tu devrais rester sur l'hydraulique comme interface entre le sol et les apports solaires , ne serait ce qu'à cause de la commodité de réalisation , du diamètre des forages , et de la capacité thermique de l'eau , du problème des pertes de charge , sans le problèmes sanitaires liés à une circulation d'air trop complexe et mal filtrée ..etc...
les TAG sont une solution rustique adaptée à l'échelle d'une seule habitation , simple à mettre , et fonctionnant avec de faibles débits d'air .
La profondeur est justement calculée en fonction de la vitesse de propagation de l'onde de chaleur estivale à partir des galets vers la dalle =2.50 à 2.80m pour 3 mois de déphasage avec restitution naturelle de la chaleur accumulée avec un minimum de régulation thermique
Le BTES se justifie par la concentration en un volume énorme de terre , de forme sphérique , modélisable , permettant tous les ajustements et réglages quant à la restitution de la chaleur vers les différentes habitations , avec appoints possibles par PAC ou résistances à effet joule.
Bonnes fêtes de fin d'année
En fait j'étudie l'aéro pour faciliter la mise en oeuvre et abaisser encore les coûts de construction.
Actuellement je me focalise sur des tubes échangeurs en PVC ou PE en circuit hydraulique ouvert (sans pression) qui me permet de réaliser du tubage en toute simplicité sur des forages de 60mm.
comme il y a 32 tubages de 12m de long en parallèle avec un seul tubage d'arrivée et un de départ je pense qu'il y aura très peu de perte de charge en aéro (mais la il faut me confirmer) ensuite pour le retour du fond de forage j'insere un autre tube de 40mm dans les tubages de 60mm ce qui fait un circuit retour de 32 x 40mm sans coude ni obstacle à l'air.
Dernier avantage que j'identifie en été sous la canicule les quantités de stockage (sous condition) peuvent être plus important qu'avec un circuit hydraulique qui est limité par la montée en température de l'eau.
Bien entendu tout ça se simule car l'énergie transportée par l'air est faible.
Un des premiers point c'est la capacités de transfert d'un tube de 60mm en PVC ou PE parcouru par un flux d'air dans le sol.
Et comment résoudras-tu les problèmes de condensation s'accumulant au fond de chaque tube?En fait j'étudie l'aéro pour faciliter la mise en oeuvre et abaisser encore les coûts de construction.
- Y aura -t-il un sol perméable à cette profondeur pour absorber la flotte ?
- Y aura -t-il des risques de remontée de nappe phréatique ?
- Dans un sol rocheux ou marneux imperméable , commet évacuer la flotte , tu prévois des pompes immergées ?
Concernant le TAG , c'est moins problématique , puisque on est à 2 ou 2.50m de profondeur , la surface d'absorption des condensats est élevée par rapport au débit d'air : 100 à 150m3/h par TAG avec un fond de tranchée de 0.90x4.00m par exemple .
Bonne réflexion et que ca ne t'empêche pas de de profiter des fêtes de fin d'année .
Oui ce sera de la terre dans mon cas donc pas de fond de tubage et donc possibilité d'absorber la condensation naturellement.Code:- Y aura -t-il un sol perméable à cette profondeur pour absorber la flotte ?
Dans le cas d'un fond rocheux on retombe sur de l'hydraulique sans pression.
Pas de remonté de nappe phréatique, de toute manière cela exclu dans tout les cas le stockage dans le solCode:- Y aura -t-il un sol perméable à cette profondeur pour absorber la flotte ?
Finalement selon le sol on peut peu être envisager plusieurs solutions.
Avec certain type de foreuse il est très simple de faire ce genre de trou dans la terre (uniquement dans la terre).
Il faut ensuite connaitre finalement l'énergie transférer par un flux d'air dans un tube PE dans la terre mais ça avec le tunnel à galet et le puit canadien il est simple de connaitre cette donnée.
Bonnes fêtes de fin d'année
Bonjour,
je relance cette discussion. Après réflexions et étude du système par rapport à notre projet, je pense utiliser seulement les tunnels à galets pour le préchauffage de l'air de ventilation.
Dans ce cas 2 tunnels de 5m feront l'affaire si j'ai bien compris. Les besoins de ventilation seront entre 150 et 200 m3/H. Est-ce que deux tunnels seront suffisants pour ce débit?
Dans cette utilisation, est-ce utile de chauffer les tunnels par des capteurs solaires à air l'été ou pas?
J'ai découvert que certains chauffe-eau thermodynamiques prévoient un échangeur pour une chaudière ou capteurs solaires pour un surcoût de 1000€ par rapport à un ballon solaire, je ne trouve pas ça déconnant comme solution d'appoint.
Pour faire suite à la discussion précédent quant à l'utilisation des tunnels à galets pour faire fonctionner une PAC, je pensais utiliser un ou plusieurs tunnels pour alimenter en air la PAC du CET. Qu'en pensez-vous?
Concernant les débits d'air c'est souvent entre 350 et 400 m3/H. Sachant que cela ne fonctionne pas en permanence seulement durant la période de chauffage de l'eau et dans mon cas pas ou peu quand le temps sera suffisamment ensoleillé.
Comment dimensionner les TAG dans cette configuration?
Bonjour, bonjour,
Je reviens au fondamentaux de l'ecoconstruction, donc aux TAG. ^^
J'envisage d'en réaliser sous une serre bioclimatique, au pignon sud de la maison, sur 2m50 par 10m, soit env 25m2.
Cette serre ne serait fermée qu'au plus froid de l'hiver, entre décembre et mars, par des cadres fait maison en polycarbonate alv. Le reste du temps ce serait juste un préau en fait.
L'air chaud serait capté sous les panneaux PV en toiture de la dite serre fermés en caissons, mais j'y reviendrai plus tard.
Mon problème est que je ne souhaite/peux pas descendre aussi profond que 2,5m... Tout au plus 1m50/60 du sol fini.
La question est donc d'utiliser au mieux le volume de terre disponible1,5m*25m2.
Chez nous, il s'agit d'argile calcaire de type smectite principalement, mélangée a tte sorte de roches sédimentaires de tte taille.
Donc déjà, le sol de cet espace "bien-être" sera en panneaux de liège expansé, ce qui devrait ralentir l'onde thermique, mais comment le calculer précisément afin de la faire coïncider avec les mois les plus froid (décembre a février) ?
Ensuite, plutôt que de faire de long tunnels de 4/5ml parallèles au pignon, peut-on envisager de petits tunnels de 2m/2m20 perpendiculaires au P.
Enfin, dans quelle mesure peut-on changer la nature des galets échangeur ?
Je sais que certain ont utilisé du concassé, ce que je souhaiterais faire (en 20/40), considérant que les pertes de charges seront moindre dans des tunnels plus courts, et que justement, les turbulences induites par les graviers devrait dans l'idée favoriser les échanges non ?
Maintenant, comment calculer tout ça au mieux...
C'est un peu le problème que j'ai en général sur le sujet, il paraît difficile de s'éloigner ne serait-ce qu'un peu du modèle originel, du fait du manque de retour de ceux qui se sont lancés dans l'aventure après xx années.
Par exemple, HERKLES, tu parles de monter la masse de terre entre 25/30° en été, pourquoi pas un peu plus, ça augmenterait tt de même la réserve de kWh disponible dans un volume de stockage moindre non, ou quelque chose m'échappe..?
Je suis prêt à me sacrifier pour la science, mais faut être sur un bon rapport bénéfice/risque prealable ^^ !
Art, dsl, j'ai encore écrit un pavé !!!