L'ombre : supraluminique ?

[invite6754323456711]

Moi, j'aurais plutôt tendance à penser qu'il s'agit du même phénomène mais se produisant de manière inverse sur le "chemin" du retour. Mais évidemment, je n'ai aucune certitude.

Et à ma connaissance, les modèles ne sont pas encore unifiés.

Avons nous vraiment besoins de l'unification des modèles pour comprendre la nature relative de la simultanéité ?

Le petit exemple de Wiki sur la simultanéité est totalement équivalent au phénomène étudié ici : http://upload.wikimedia.org/wikipedi..._Animation.gif

Si on considère que le point B correspond à trois observateurs différents B1 (v=0) ; B2 (v= 0,3c) ; B3 (v = - 0,5c) et les points A et C corresponde à l'émission simultané d'un flash lumineux dans le référentiel de B1.

Les trois observateurs B1, B2 et B3 ont des points de vue différents concernant l'ordonnancement des évènements.

Quel en est la cause profonde, une inversion dans l'acheminement du signal lumineux ?

L'observation : Les points dans le présent d'un observateur lui sont inaccessibles. Seuls les points dans le passé peuvent envoyer des signaux à l'observateur.


De plus : Quoique les cônes de lumières soient les mêmes pour tous les observateurs, l'instant présent est différents pour chacun d'eux.

Patrick
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[Les Terres Bleues]

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Bonjour Patrick,

Juste un mot pour dire que je ne suis absolument pas en désaccord avec tout ce que tu écris et que tu références sur la simultanéité relativiste. Simplement, j'avais quelques difficultés à exposer ce qui me semblait être un problème empêchant l'expression "univoque" des évènements "absorptions" des photons à la surface lunaire.

Du coup, j'ai réduit au maximum envisageable (à un) l'hypothèse de l'émission lumineuse depuis la Terre, et je crois être parvenu à faire partager la difficulté théorique d'un photon dans un cadre relativiste qui persiste à être "mesurable" à la fois ici ou là selon l'observateur, c'est-à-dire à conserver en apparence son caractère quantique.
En effet, avec un seul photon la question n'est plus de savoir dans quel ordre (?) mais où (4D) il est absorbé. Qu'il y ait des réémissions ultérieures ne change pas cette interrogation.

Avons nous vraiment besoins de l'unification des modèles pour comprendre la nature relative de la simultanéité ?

Question à double détente :
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• Pour comprendre la nature relative de la simultanéité ? -- Non, je ne pense pas.
• Avons-nous vraiment besoins de l'unification des modèles ? -- Oui. De toutes façons, il faudra bien y venir un jour où l'autre, et à mon avis, le plus tôt sera le mieux.

Mais bon, il ne s'agit-là que d'opinions.

Cordiales salutations.