
C'est simplement dû à un intervenant non-régulier qui vient mettre la pagaille et vider son sac afin de mettre à profit sa thérapie commencée il y a de cela une dizaine d'année ! Mieux vaut ignorer totalement ce genre d'huluberlu!Ben, moi j'ai toujours pas compris pourquoi c'est parti en vrille à partir du message #42..
J'ai beau relire, je ne vois aucune critique (globale ou personnelle) qui justifie cette dérive subite...
Je crois que je vais changer de café
On parlait de relativité générale, de blueshift, d'une conjecture, personne ne critiquait quoi que ce soit et...(?) ou j'ai raté un épisode...
Il faut demander à Khwartz.![]()
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Ok, donc résumons.
Moi ce que j'ai retenu dans un fil parallèle rejoignant un peu celui-ci :
Conclusion :Bonjour,
@coussin et aux autres : http://prl.aps.org/abstract/PRL/v4/i7/p337_1
http://physics.aps.org/story/v16/st1
http://en.wikipedia.org/wiki/Pound%E...bka_experiment
(ils ont reçu le prix nobel de physique en 1960 pour leur article "poids aparent des photons")
Quant à la conjecture qu'on étudie (aucune métrique obéissant les équations d'einstein avec un tenseur energie-impulsion répondant à la condition d'energie faible ne peut produire de géodésique space-like (dx/cdt>1)), je n'ai aucune idée de sa valeur. Car c'est finalement ça, le problème je pense, non? on veut obtenir des événements reliés par des géodésiques en partie hors du cône de lumière?
1/ La vitesse instantanée d'un photon, mesurée localement dans un champ gravitationnel est égale à C.
2/ Les équations de la relativité générale "autorisent" des situations "théoriques" où des évènements peuvent être causalement reliés par des géodésiques en partie hors du cône de lumière. (vitesse "moyenne"> C)
3/ Une conjecture liée à la condition d'énergie faible (qui par définition reste à démontrer) "devrait" interdire des situations physiques de ce genre, situations qui se manifesteraient par un bueshift de la lumière émise du point A au point B, avec A et B immobiles dans le repère galiléen de référence.
La question "un photon subit-il un blueshift en traversant une fronde gravitationnelle" (à l'instar de la sonde voyager à qui on donne du "punch" dans une bonne configuration de Jupiter) reste ouverte.....puisque l'expérience n'a jamais été effectuée, et que par conséquent, il n'existe pas de contre exemple pour anéantir cette conjecture qui "suppose" cela comme étant impossible....
Ben, j'imagine qu'on peut également parler d'une sorte d'entraînement de l'espace temps non ?
Si on remplace la sonde voyager par un ascenseur d'einstein dont le câble est cassé, le principe d'équivalence conduit obligatoirement à considérer que la lumière à l'intérieur de l'ascenseur (pour celui qui est enfermé dedans) ne subira aucun redschift et aucun blueschift, idem à la fin du processus en MRU, et pourtant, un observateur extérieur verra bien un blueshift, puisque la sonde/ascenseur aura subi une accélération globale au final.
Bonsoir, j'imagine aussi une sorte de surf sur l'espace temps (du au déplacement de la planète)de la part de la sonde, et le blueshift de la lumière venant de cette sonde par Doppler ; et pourquoi un photon venu de l'espace ne pourrait-il pas "surfer" sur cette vague de l'espace-temps , et gagner de l'énergie?...
1max2mov
Tout-à-fait, mais même un très bref surf peut conduire à une géodésique reliant 2 évènements non reliés causalement.Bonsoir, j'imagine aussi une sorte de surf sur l'espace temps (du au déplacement de la planète)de la part de la sonde, et le blueshift de la lumière venant de cette sonde par Doppler ; et pourquoi un photon venu de l'espace ne pourrait-il pas "surfer" sur cette vague de l'espace-temps , et gagner de l'énergie?...
An niveau du photon, le gain d'énergie se manifeste par un blueschift...
La lumière a pris un raccourci...![]()
