on peut se demander s'il faut courir sous la pluie ou juste marcher. En effet, si on court, on arrive plus vite, mais on a l'impression de se prendre beaucoup d'eau en courant, et en marchant, on se prend moins d'eau mais on reste plus longtemps sous la pluie.
La question me semble donc légitime.
La réponse: il faut courir.
une démonstration pour ceux qui s'intéresseraient:http://www.idees-et-solutions.fr/idees.php?page=id24
Si la pluie est infinie, oui.
[infinie = elle va pas s'arrêter dans 30 sec.]
Le succès c'est d'être capable d'aller d'échec en échec sans perdre son enthousiasme
on considere bien sur qu'il continue a pleuvoir pdt un certain temps. Sinon faut rester a l'abri en attendant qu'il cesse de pleuvoir
Je me souviens d'une pluie trés brève au Danemark, c'était assez impressionant! Montre en mains, je pense qu'elle a duré 2 minutes en étant trés violente...
Sinon, il est bien dit que cela dépendait des cas, j'avais lu une étude là dessus dans science et vie, et cette majoité de cas est de l'ordre de 55%, donc il c'est pas si évident que cela.
Ensuite, la représentation parallélépipédique conduit peut etre à un mauvais résultat, un parallélépipéde si la pluie viens du dessus n'aura que la surface du haut de mouillée, pour un homme, ce sera sa tete, ses épaules et descendra jusque son tronc.
Et puis cela dépend de tellement de paramétres!
Je préconise de marcher (pour une distance relativement courte) et d'évacuer la chaleur aprés le passage sous la pluie!
Bonjour
à priori il vaut mieux marcher sauf à courir à la vitesse du vent si on l'a dans le dos.
J'ai lu je ne sais plus où qu'en courant on balaye une plus grande surface de gouttes, ce qui n'apporte aucun gain par rapport au temps passé sous cette pluie.
A part ça, je ne fais pas confiance à la météo et au moindre doute je ne sors jamais sans mon pépin.
L'electronique, c'est fantastique.
L'homme parallélépipédique simplifie plus les explications que les calculs. Disons qu'on projette la silhouette de face d'un homme sur une surface, et qu'on choisisse comme approximation de l'homme le volume crée par une translation de cette surface dans la direction de sa normale, translation de distance l'épaisseur de l'homme (un peu comme un bonhomme en pain d'epice de la meme épaisseur que l'homme). Et bien alors le calcul exact avec ce volume beaucoup plus proche de l'homme que le parallélepipède, si la pluie arrive uniquement de face, est exactement le même que celui avec un parallélépipède qui aurait les mêmes surfaces de face et de haut (et
Pour les 55% ca me semble correct puisque il faut courir a la vitesse de tombée de la pluie si on l'a dans le dos (donc 50% des cas) et si la vitesse dans le dos de la pluie est supérieure à
Disons que
Mais ce qui tranche définitivement, c'est qu'on seche beaucoup plus vite si la pluie est répartie sur une plus grande surface et donc si on court le plus vite possible!
Salut
Je crois me souvenir d une emission de vulgarisation scientifique anglaise ou americaine : apres la theorie, ils se sont mis dans un hangar d'avion avec une rampe d'arrosage, un gros ventilateur pour faire varier le sens et la vitesse du vent et des cobailles en T shirt.
Il faut courrir si la vitesse du vent dépasse env 30 km/h et de dos si je me souviens bien.
Voila
bonne recherche
A+
Envoyé par chiro76
Moi ca m'a toujours bien fait rire ce genre d'expérience. Je crois qu'il est impossible de mesurer quoi que ce soit comme ca car:
-Il faut connaitre la quantité d'eau par unité de volume qui constitue la pluie. Impossible avec un tuyau d'arrosage, on connait la quantité d'eau totale qui est sortie du tuyau mais rien de bien précis sur sa répartition dans l'espace
-La mesure de la quantité d'eau qui à touché la personne me parait aussi impossible: le meilleure moyen de récupérer toute l'eau sur la personne serait de la mettre dans une piece chauffée hermétique pour récupérer l'eau par évaporation. Et encore on ne serait pas sur d'avoir la bonne quantité, il y aurait peut-etre de l'eau qui aurait dégouliné de la personne sur le lieu de l'expérience, de l'eau qui se serait déja évaporée et de l'eau rajoutée par la transpiration
-dernière raison et de loin la meilleure: les calculs sont si simples et les expériences si compliquées à mettre en place et sujettes à erreurs que l'expérience est tout à fait inutile
