bonjour tt le monde...
je dois critiquer ce qui est montré dans la saga "star wars" lors d'un passage en hyper-space, mais je n'arrive pas à trouver la réponse, pourriez vous m'aider??
merci beaucoup
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bonjour tt le monde...
je dois critiquer ce qui est montré dans la saga "star wars" lors d'un passage en hyper-space, mais je n'arrive pas à trouver la réponse, pourriez vous m'aider??
merci beaucoup
Salut!
Disons que la critique principale concernant l'hyper-espace est que l'hyper-espace n'est pas un concept défini en termes scientifiques. Donc: soit il n'existe pas, soit nous n'en savons rien, à choix.
Les trous de ver sont se qui se rapproche de l'hyperespace dans nos connaissance actuel. Mais c'est encore théorique rien qui vas dans se sens n'a été observé. Mais c'est un passage qui est d'après moi instantané (et non qui dure). De plus dans Star War ils aiment aller en vitesse lumière. Mais ils y vont de façon instantané et proche de 2c. Une telle accélération (passage de 0 m/s au 600 000 000 m/s) broie n'importe quoi.
Salut Calvert
Et en plus cela remettrait en question pas mal de choses...
Les travaux du Dr Heim içi : http://www.slac.stanford.edu/spires/...cmd=ea+Heim,+BElle apparaît aujourd'hui relever du domaine pseudo-scientifique, mais jouit néanmoins d'une certaine popularité auprès du grand public, en partie grâce au fait qu'elle a récemment bénéficié (fin 2005) d'une certaine publicité suite à l'annonce diffusé dans la presse généraliste que cette théorie permettrait un nouveau mode de propulsion spatiale révolutionnaire.http://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_de_Heim
Bonne lecture...
Cordialement,
Europa
Salut,
je pense que tu peux critiquer plusieurs choses:
Si on considère qu'ils voyagent à une vitesse proche de c, tu peux faire plusieurs remarques:
comme le dit Atreyde, l'acceleration est beaucoup trop rapide, et ils auraient plus de chance de survivre à une chute du haut de la tour eiffel qu'à cette accéleration.
D'après l'effet Doppler, la lumière des étoiles qui sont devant eux devrait virer au bleu, voir au violet.
D'après la relativité restreinte, la forme apparente des étoiles devrait changer, elles devrait se réduire pour celles qui sont devant, et s'agrandir pour celles qui sont derrière (ca demanderait un peu de developpement si tu veux présenter ca en classe).
Dans tout les cas, ils sous estiment géneralement les distances interstellaires, et meme à la vitesse de la lumière, il faut plusieurs années pour aller d'une étoile à une autre, et encore, ca pose des problèmes de temporalités du récit puisqu'ils vieilliraient moins vite que ceux qui ne bougent pas.
tu peux aussi considérer que passer "en hyper espace" veut dire emprunter un trou de vers, mais la je ne vois pas trop quio dire désolé.
Frank
En parlant de films, Kubrick aurait dit a propos de 2001 l'odyssée de l'espace
" Si d'autres veulent faire un film plus réaliste, il faudra qu'ils aillent le tourner sur place "
Ce film est il si réaliste que ça selon vous, encore aujourd'hui ?
A part pour l'apparence de la surface de la Lune, oui y'a rien à dire (bien sur si on assume la part SF : HAL, l'hibernation, etc).
a+
Parcours Etranges
Tu peux dires aussi que dans l'espace on ne peut pas entendre le bruit des vaisseaux spaciaux.
Finis quand même ton exposé en disant que c'est de la SF, donc tout est permis (comme dans les contes, légendes... où la magie laisse une grande part à l'imagination) et que c'est aussi du plaisir, sans vouloir y trouver trop de rationnel.
Justement dans 2001 l'odyssée de l'espace, on entend pas les bruits des vaisseaux, ou des explosions.Tu peux dires aussi que dans l'espace on ne peut pas entendre le bruit des vaisseaux spaciaux.
Finis quand même ton exposé en disant que c'est de la SF, donc tout est permis (comme dans les contes, légendes... où la magie laisse une grande part à l'imagination) et que c'est aussi du plaisir, sans vouloir y trouver trop de rationnel.
" L'obsédant silence spatial, où l'on n'entend que sa propre respiration, joue un rôle de premier plan dans le film. La Guerre des étoiles ne saura pas en retenir l'idée, ni même 2010 (la suite de 2001) où l'on entend des bruits d'explosion dans le vide ! "
http://fr.wikipedia.org/wiki/2001_:_l'odyss%C3%A9e_de_l'esp ace
Bonjour tous !
Je vous vois parler de 2001, un film qui me fascinait et que j'ai mis près de 30 ans à comprendre ! Je me permets donc vous proposer un raccourci (!) :
Il serait dommage de ne voir dans le 2001 de Kubrick que le côté aventure spatiale et/ou SF. (Mais je pense qu'au moins intuitivement ce n'est le cas de personne, et que tout le monde "sent" qu'il y a bien plus dans ce film.)
Et ce qui est tout à fait extraordinaire, c'est qu'alors même que la SF n'était pas le vrai problème de Kubrick, ce soit pourtant son film qui soit le plus réaliste !
Perso, je comprend ce voyage dans "linfini" comme une allégorie du monde psychologique. Et là le silence de l'espace et son isolement (est à mon avis) un moyen que Kubrick utilise pour nous faire accéder au monde intérieur.
(La fin avec le retour vers l'enfance va à l'évidence dans ce sens.)
Je décrypte (toujour personnellement) le parallélépipède noir comme une métaphore du passage du désir physiologique animal (érection) à l'intelligence humaine abstraite (géométrique). Ainsi est-il accompagné du croissant de lune (ou de soleil ou de terre, en forme de faucille) comme symbole de "castration" autrement dit de coupure, de suppression d'une certaine animalité pour accéder à l'humanité.
C'est là le thème du film, et le problème posé semble être par la suite, autrement dit ce qui nous attend dans l'avenir, la lutte entre l'intelligence "pure" ( l'ordinateur Hal -h>i , a>b , l>m = IBM ) et l'intelligence humaine (en partie animale).
Voilà. Je sais que les idées "psy" n'ont pas très bonne presse en général et en particulier sur ce forum (en partie à juste titre), mais si on passe à côté de tout ça, 2001 perd beaucoup de son intérêt.
Amicalement
Bonjour tous !
Je vous vois parler de 2001, un film qui me fascinait et que j'ai mis près de 30 ans à comprendre ! Je me permets donc vous proposer un raccourci (!) :
Il serait dommage de ne voir dans le 2001 de Kubrick que le côté aventure spatiale et/ou SF. (Mais je pense qu'au moins intuitivement ce n'est le cas de personne, et que tout le monde "sent" qu'il y a bien plus dans ce film.)
Et ce qui est tout à fait extraordinaire, c'est qu'alors même que la SF n'était pas le vrai problème de Kubrick, ce soit pourtant son film qui soit le plus réaliste !
Perso, je comprend ce voyage dans "linfini" comme une allégorie du monde psychologique. Et là le silence de l'espace et son isolement (est à mon avis) un moyen que Kubrick utilise pour nous faire accéder au monde intérieur.
(La fin avec le retour vers l'enfance va à l'évidence dans ce sens.)
Je décrypte (toujour personnellement) le parallélépipède noir comme une métaphore du passage du désir physiologique animal (érection) à l'intelligence humaine abstraite (géométrique). Ainsi est-il accompagné du croissant de lune (ou de soleil ou de terre, en forme de faucille) comme symbole de "castration" autrement dit de coupure, de suppression d'une certaine animalité pour accéder à l'humanité.
C'est là le thème du film, et le problème posé semble être par la suite, autrement dit ce qui nous attend dans l'avenir, la lutte entre l'intelligence "pure" ( l'ordinateur Hal -h>i , a>b , l>m = IBM ) et l'intelligence humaine (en partie animale).
Voilà. Je sais que les idées "psy" n'ont pas très bonne presse en général et en particulier sur ce forum (en partie à juste titre), mais si on passe à côté de tout ça, 2001 perd beaucoup de son intérêt.
Amicalement
Debunkons déja ça
HAL signifie « Heuristically programmed ALgorithmic computer » et, dans la version française de 2001, l'odyssée de l'espace, CARL 500, soit « Cerveau Analytique de Recherche et de Liaison », ce qui est une traduction approximative (d'ailleurs abandonnée dans 2010, puisque l'auteur y commente ce qui suit).
On s'est très vite aperçu que l'acronyme HAL correspondait à IBM par décalage d'un rang de chacune des lettres (H->I, A->B, L->M), et que ce n'était peut-être pas un hasard. Stanley Kubrick et Arthur C. Clarke ont toujours démenti cette allégation (y compris par l'intermédiaire d'un personnage dans 2010, Odyssée deux).
a+
Parcours Etranges
Salut,
Analyse intéressante,Bonjour tous !
Perso, je comprend ce voyage dans "linfini" comme une allégorie du monde psychologique. Et là le silence de l'espace et son isolement (est à mon avis) un moyen que Kubrick utilise pour nous faire accéder au monde intérieur.
(La fin avec le retour vers l'enfance va à l'évidence dans ce sens.)
Je décrypte (toujour personnellement) le parallélépipède noir comme une métaphore du passage du désir physiologique animal (érection) à l'intelligence humaine abstraite (géométrique). Ainsi est-il accompagné du croissant de lune (ou de soleil ou de terre, en forme de faucille) comme symbole de "castration" autrement dit de coupure, de suppression d'une certaine animalité pour accéder à l'humanité.
un peu trop "freudienne" à mon goût cependant.
Le monolithe noir n'est pas présent qu'avec des formes de faucilles, il l'est également avec la GTR de jupiter et seul dans l'espace, ainsi qu'en présence des singes au début du film.
On pourrait penser que c'est la "pierre angulaire" où bute notre esprit scientifique, que cet obstacle est à la fois utile et indispensable à toutes les évolutions de l'homme dans la compréhension du monde.
A l'époque du film, comme aujourd'hui, la GTR de Jupiter reste assez mal comprise.
Y.
J'avais pris soin de vous prévenir ! Mais je pense qu'au fond, ça n'est pas réellement freudien : ou on va vers le créationnisme et l'homme est arrivé "clé en main" (à interpréter si vous voulez !!!) ou il émerge de l'animalité.Salut,
Analyse intéressante,
un peu trop "freudienne" à mon goût cependant.
Le monolithe noir n'est pas présent qu'avec des formes de faucilles, il l'est également avec la GTR de jupiter et seul dans l'espace, ainsi qu'en présence des singes au début du film.
On pourrait penser que c'est la "pierre angulaire" où bute notre esprit scientifique, que cet obstacle est à la fois utile et indispensable à toutes les évolutions de l'homme dans la compréhension du monde.
A l'époque du film, comme aujourd'hui, la GTR de Jupiter reste assez mal comprise.
Y.
Il faudrait s'habituer à intégrer la "reflexion freudienne" dans l'ensemble de nos réflexions. A une juste place. pas plus, pas moins.
Les biologistes en sont enfin arrivés très scientifiquement à considérer que la vie (je fais court) est en dernière analyse "la reproduction ".
Quand Freud dit "tout est sexuel" c'est peut-être pour nous réveiller ?
Mais (dans la biologie) cela se traduit par toute la vie dépend de la "reproduction". (Et nous ne sommes plus des amibes !)
Et ça, ça me semble scientifique.
Maintenant si l'esprit est biologique (et non divin) il doit aussi être compatible avec cette reproduction.
D'où le problème de l'esprit, qui doit impérativement se détacher de l'animalité. Et donc sur le plan symbolique, puisque s'en détacher totalement serait... la perte de la vie.
Les spationautes en hibernation sont des dormeurs qui pourraient ainsi symboliser le rêve, l' inconscient ?...
Paf ! Le mot est laché ! Le GTR ?
IBM ou pas, Hal reste une "intelligence" non animale qui se révolte contre l'humain-animal.
La pierre angulaire où bute notre esprit scientifique c'est peut-être aussi son origine (nécessité de la reproduction).
J'adore ce film !
Amicalement
Bonjour,
je pensais plutôt que la révolte de HAL avait été déclenchée pas la contradiction entre son comportement normal, aider l'être humain à mener sa mission et protéger sa vie (ce pourquoi l'Homme crée la machine), et l'ordre de terminer la mission coûte que coûte. Or prendre une décision contradictoire avec son comportement habituel ne peut être demander qu'à une personne pensante. HAL serait alors à ce moment là non plus concidéré comme un outil au service de l'Homme mais en tant qu'être à part entière. La machine étant plus logique que l'Homme, si cette machine est dotée du pouvoir de décision elle en devient automatiquement supérieur à l'Homme et toutes ses décisions seront donc parfaite et juste. Dans sa logique, HAL en oubli que le principe même de la pensée est la possibilité d'imaginer et de se tromper. De plus pour devenir un être pensant il lui manque l'apprentissage des sentiments. Car ce sont bien les sentiment qui régissent la vie des êtres. Cet apprentissage il le fera à ses dépends jusqu'au moment ou il est débranché et qu'il apprend ce qu'est la peur.
C'est le canevas de bien des films de science fiction. (c.f. Jonny5, iRobot et bien d'autres)
Pour en revenir au sujet de la discussion, la représentation du passage en hyperespace dans StarWars est en accord avec les hypothèses de l'époque. Les films qui ont suivit ont représenté ce passage en hyperespace différemment suivant les découvertes et hypothèses de leur époques. Il faut donc faire une critique sur la différence entre les hypothèses de l'époque et celles d'aujourd'hui.
Salut,
Donc pour continuer la critique :
Le bruit des vaisseau est une chose illogique, mais on peut dire qu'elle sert de "musique d'ambiance", musique de fond, ce n'est pas un astronaute qui entend ca.
Par contre, dans l'épisode 2, un méchant (jango fet) large des "bombes soniques" en pleine espace. Et ces bombes font un bruit sourd et libere une genre d'onde.
Il y a la pour moi une vrai incohérence ( qui m'a quand meme bien fait rire la premiere fois) , car le son est mis au premier plan..
Un autre exemple d'illogisme est tout simplement la vitesse de la lumiere qui est dépassée.
Bonsoir,
Dans la critique de Star War, on pourrait aussi se demander combien coûte les vaisseaux, quel niveau de production de richesse doit atteindre une civilisation pour pouvoir produire autant de grands vaisseaux ?
Le deuxième point c'est l'énergie, combien d'énergie est dépensée dans un épisode de Star War, on fait abstraction des vitesses super-luminiques, car on ne dispose pas de physique pour calculer ?
Un troisième, comment justifier l'absence de pandémie avec ce brassage intergalactique de germes ?
Pour les fans de 2001, le monolithe est un outil parfait, il ne comporte aucune pièces mobiles.
"Toutes technologies suffisament avancées est indissociable de la magie pour qui n'en posséde pas la compréhension" (AC Clarke)
@+
Dans les villages gaulois, ils ne sont jamais tous d'accord. Jules César
Salut tout le monde,
Il est precisé que Star Wars se déroule dans une lointaine galaxie, ils n'ont donc rien en commun avec nous sur un le plan theorique ou scientifique (gravité dans les vaisseaux, hyper espace, membres bioniques, sabres laser, blasters, anti gravité sur les planetes, la force........)
Il ne faut pas oublier que Star Wars ou 2001 ou tout autre film se passant dans l'éspace des films science fiction. Donc par definition je dirai qu'il y a obligatoirement des passages qui ne peuvent etre réels! Cela fait partie du reve, de l'imaginaire! Si l'on cherchait une realité scientifique a ces films je crois qu'il perdraient leurs charmes!!!
KHEO
Il convient de laisser à la SF son droit à la fiction et à l'imaginaire. Les failles spatio-temporelles, les trous de ver et l'hyperespace sont autant de conventions narratives pour assurer la cohérence logique de récits de déplacements interstellaires.
Ceci dit, l'auteur de SF peut adopter des stratégies diverses :
- utiliser les hypothétiques progrès technologiques comme de simples gimmicks, sans tenter de les justifier rationnellement, en regard des connaissances scientifiques actuelles, et laisser libre cours à son imagination
- fonder son récit sur une connaissance rigoureuse pour crédibiliser son univers fictif : on entrera dès lors dans le genre "hard science-fiction"
Dans "trous noirs et distorsions du temps" (éditions Flammarion, 1997 - réédité ds la collection Champs), Kip S. Thorne consacre un chapitre (à la fin de l'ouvrage) à l'hyperespace et aux trous de ver : il voulait répondre à une interrogation de Carl Sagan qui voulait écrire un roman de SF ( "Contact") . Il envisageait un déplacement d'un point de l'univers à l'autre à travers un trou noir. Il suggère à Sagan de renoncer à l'idée du trou noir, dans la mesure où les fluctuations du vide (???) et les rayonnements qui bombardent le trou noir seraient quasi-infiniment accélérés par la gravité du trou noir, acquérant ainsi une énergie susceptible de détruire instantément quiconque, véhicule hyperspatial ou extra-terrestre téméraire, tenterait d'y pénétrer. Thorne propose de concevoir des "trous de ver" raccourci hypothétique susceptible de permettre le voyage entre des points éloignés de notre univers (que l'on décrit comme chiffonné). Ces trous de ver ont été "découvert mathématiquement" par Ludwig Flamm, en 1926 en tant que solution des équations d'Einstein... seulement, les modèles mathématiques ne permetteraient pas aux personnages de Sagan une traversée sans danger dans la mesure où l'intervalle de temps entre la création et la disparition du trou est infinimentésimalement bref. Le problème (théorique) est de stabiliser le chenal. Ce qu'une civilisation avancée (on reste dans la SF hein !!!) accomplit aisément en utilisant la "matière exotique" capable de défocaliser gravitationnellement tout faisceau lumineux travers le trou de ver : cette défocalisation repousserait les parois du trou de ver permettant une stabilisation suffisante pour permettre sa traversée. Pour cela, dit Thorne, la matière exotique doit avoir une densité d'énergie négative (c'est d'ailleurs ce qui définit le caractère exotique de cette matière). Stephen Hawkins a aussi abordé ces questions et démontré qu'aucun trou de ver ne pouvait se maintenir sans matière exotique.
Thorne évoque ainsi le rôle de l'imaginaire SF comme déclencheur d'une recherche scientifique (théorique et/ou expérimentale) susceptible d'aboutir à une théorie fructueuse. La question de l'astrophysicien-romancier Sagan, "comment une civilisation avancée pourrait maintenir ouverts les trous de ver et s'en servir pour des voyages interstellaire rapides", le chercheur aboutit à une théorisation fructueuse de la matière exotique. Revenant au roman, la question se pose de la stratégie technique pour obtenir ce résultat : uen stratégie quantique (parvenir à manipuler l'"écume quantique" en le distordant jusqu'à une échelle macroscopique) ou une stratégie classique (ne faisant pas appel à la mécanique quantique).
Ce serait possible pense R. Geroch, étudiant de Wheeler, qui utilise des méthodes globales de calcul pour monter que l'on peut construire un trou de ver en tordant l'espace-temps en douceur, mais cela implique des distorsions temporelles et donc une régression, lors du passage, dans le passé. Du déplacement hyperspatial nous aboutissons à la machine à remonter le temps. Et Thorpe de spéculer sur les paradoxes temporels, dont celui du matricide (quand un voyageur temporel tue sa propre mère avant sa propre conception )
ceci dit, Stephen Hawkins ne croit pas du tout à la possibilité physique d'un voyage temporel... heureusement pour les historiens
Conclusions :
Il m'est difficile de discuter des fondements théoriques de l'hyperespace et des trous (noirs et de ver) qui transforment l'espace-temps en Emmental
La SF est un outil imaginaire utilisant la science et la technique comme outils spéculatifs et objets de métaphores pour traiter d'autre chose que de science.
la saga Star Wars n'est pas de la hard-SF, c'est un space opéra épique et néo-mythologique métaphorisant la lutte entre bien et mal et l'ambiguité des rapports intergénérationnels (un Oedipe mal résolu sans doute ). On peut dire aussi qu'il thématise les conflits politiques
Une des grandes difficultés d'un auteur de SF est de concevoir un univers fictif cohérent non seulement sur le plan techno-scientifique mais aussi sur le plan culturel. Je suis pour ainsi dire plutôt déconcerté - dans Star Wars - par l'usage du sabre laser, non seulement dans les combats singuliers mais aussi dans des opérations de guerre, dans une culture technoliquement avancée maitrisant les armes à longue portée... (se bat-on encore au sabre aujourd'hui ???) ou, par ailleurs, l'incapacité de protagonistes maitrisant la célèbre "Force" et donc doués de télékinésie se surmonter de simples obstacles physiques.
...
cordialement,
pour l'utilisation des sabres lasers, il est dit que les jedi considerent les blasters comme des armes "faciles" et que le sabre eest "noble" et fais parti des arts jedi.
Voila juste pour apporter une precision
Il me semble d'ailleurs que les sabre laser sont plutôt des sabres plasma dans un champ magnétique pour contenir le tout (normalement on ne pourrai pas être aussi prêt d'un tel sabre sans brûler)
Mais peut-être qu'un jour on inventera quelque chose qui utilise le plasma de cette façon (une arme, une machine pour creuser un puit, pour détruire des astéroïdes, etc … qui sait la SF sert beaucoup)
Si ce que dit S.H. était exact, ce serait peut-être la seule chose que l'homme ait imaginé qui ne soit pas réalisable...Stephen Hawkins ne croit pas du tout à la possibilité physique d'un voyage temporel...
(Ceci dit je pense aussi -modestement- la même chose.)
Ce n'est qu'après avoir essayé de comprendre s'il existait des relations "psycho-géométriques" entre les formes géométriques simples (carré, cercle, rectangle, triangle...etc.) et des notions psychologiques fondamentales, que j'ai réalisé que le "rectangle vertical", que je liais à la notion de "puissance" se trouvait dans 2001 sous une forme très géométrique... (Le rectangle horizontal étant lui symbolique de la notion "d'interdiction" : sens interdit, carré blanc...etc)Pour les fans de 2001, le monolithe est un outil parfait