Emission France 3

[inviteba0a4d6e]

Salut

Pour info, il y a actuellement (23H00) une émission géniale sur un voyage ficitf dans le Système Solaire... à ne pas rater...
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[invited604dd85]

Salut

Pour info, il y a actuellement (23H00) une émission géniale sur un voyage ficitf dans le Système Solaire... à ne pas rater...

merci du tuyau; c' était super !

[inviteba0a4d6e]

merci du tuyau; c' était super !

C'était presque du Kubrick ! Sur Mars on s'y serait vraiment cru (bon, ils ont trouvé de l'eau à quelques dizaines de cms dans le sol, un peu facile). Les protagonistes respectaient même la pesanteur de chaque corps visité...

Je crois que ces jours-ci il y a une autre émission sur Arte consacrée à l'Espace (je me souviens plus du thème).

Petit défaut que j'ai noté dans la fiction : le cosmonaute russe (pléonasme) annonce que Jupiter (lorsqu'ils s'en approchent) est le plus grand astre du Système Solaire, même plus gros que le Soleil (si si, j'ai bien entendu), sûrement une erreur de frappe dans le scénario...

[invited82a1853]

Salut,

Non il parlait de la taille de son champs magnétique, pas de l'astre en lui-même.

[A voir en vidéo sur Futura]

[invite2e1b24a6]

Moi ce qui me dérange c'est la capsulle d'atterrisage sur Vénus .
Il decolle de la terre avec la navette
Pourquoi ne decolle t'il pas de la terre avec une capsulle .
S'il le font de vénus c'est possible à partir de la terre car la gravité est plus ou moins similaire .

[invite208a95c3]

Pour vénus on pourait faire grimper la capsule avec un ballon pour facilliter le départ. J'ai vu un article similaire dans science et vie junior.

[EspritTordu]

C'est un documentaire qui sort de l'ordinaire, c'est le moins que l'on puisse dire.
Je crains que je ne partage pas tout à fait le grand enthousiasme de Karmastuff pour comparer l'approche cinématographique du documentaire aux oeuvres du grand cinéma. Il est certain que le soin porté à l'image est précis, mélant des photos réelles, des images de synthèse d'une qualité dont on s'interroge finalement si ce ne sont pas des prises réelles. Le scénario est soucieux de réalité allant jusqu'à tuer un de ses personnages. Mais je crois que le film reste fort informatif au sens où le fait de voir autant d'environnements différents en si peu de temps rend plus difficile pour le spectateur de rentrer profondément dans le dépaysement de ces mondes hostiles, ne trouvez-vous pas ?

Le compromis entre le coté informatif et l'immersion fictif est le problème du docu-fiction : le coté informatif du documentaire et le potentiel d'immersion d'un film de fiction comme Mission to Mars -du moins pour le début !

Je crois que le sujet de visiter tant de planètes en seulement 1h30 est un vrai challenge, et les réalisateurs du documentaire ont fait finallement un bon compromis entre les nombreuses informations rigoureuses et le coté fiction donnant un peu plus de relief à la narration.

Deux choses m'intriguent: je partage le septicisme de doguo quant au fait que l'équipage de quelques bons hommes (de 80 kg chacun) décolle de la Terre avec un lanceur lourd (chargé en bloc d'une grande quantité de fuel nécessaire) et qu'il suffit d'une simple capsule pour se décrocher du sol de Vénus. En allant voir l'encyclopédie, la pesanteur des deux astres est similaire (8,9 pour Vénus et 9,8 pour la Terre), ce qui, à mon sens, laisse présager autant de difficulté pour décoller que sur Terre. Même, les conditions de décollage ne seraient-elles pas plus difficiles puisque en plus de la gravitation, le vaisseau spatial doit aller à l'encontre d'une pression atmosphérique vénusienne lourde, 92 fois celle de l'atmoshpère terrestre si on en croit le documentaire ?
Autre interrogation : le bouclier magnétique dont il est question pour se protéger des radiations solaires dans le film, ne permet-il pas de stopper uniquement les poussières solaires chargées, le vent solaire, mettant totalement de coté les ondes électromagnétiques ?
Il est vrai qu'un des passagers du vaisseau spatial mort d'un cancer provoqué par ces radiations mortelles. Mais je suis surpris qu'il n'y ait qu'un seul membre de l'équipage qui ait été attaqué par les ondes électromagnétiques à proximité de notre astre lumineux. Est-ce que dans le cadre proposé par le documentaire, c'est-à-dire la distance de quelques dizaines de millions de kilomètre du soleil, la protection de la coque, un homme, quel qui soit, puisse survivre dans ce bain de radiations électromagnétiques, où on trouve notamment des rayons gamma ou X, qui eux est péniblement freinés par la matière ?
En revenant sur le vent solaire, quelles conséquences peut-il avoir sur un vaisseau non protégé?

[inviteba0a4d6e]

Deux choses m'intriguent: je partage le septicisme de doguo quant au fait que l'équipage de quelques bons hommes (de 80 kg chacun) décolle de la Terre avec un lanceur lourd (chargé en bloc d'une grande quantité de fuel nécessaire) et qu'il suffit d'une simple capsule pour se décrocher du sol de Vénus. En allant voir l'encyclopédie, la pesanteur des deux astres est similaire (8,9 pour Vénus et 9,8 pour la Terre), ce qui, à mon sens, laisse présager autant de difficulté pour décoller que sur Terre. Même, les conditions de décollage ne seraient-elles pas plus difficiles puisque en plus de la gravitation, le vaisseau spatial doit aller à l'encontre d'une pression atmosphérique vénusienne lourde, 92 fois celle de l'atmoshpère terrestre si on en croit le documentaire ?

La capsule qui décolle de Vénus est d'autant moins chargée (et donc beaucoup plus légère que le vaisseau) qu'elle n'emporte que le strict nécessaire afin de faire les analyses adéquates à la surface.
Alors, à titre de comparaison (par rapport à la gravité), une telle capsule décollerait-elle de la même manière depuis la Terre ?

C'est peut-être la pression atmosphérique de Vénus qui représente un avantage quant au décollage ? Pour l'exemple, une sphère très résistante remplie d'hydrogène ou/et d'oxygène placée au fond de l'océan (là où la pression est extraordinairement plus forte qu'à la surface de l'eau) "décolle" ou remonte bien plus facilement que si elle était au niveau de la mer - corrigez-moi si je me trompe...