recherche nom d'un astronome

[invite748b729c]

bonjour
L'alternance du jour et de la nuit est liée à la rotation de la terre sur elle-même. Cependant, le fait que la nuit soit noire a posé un problème qui a préoccupé les plus grands astronomes.En effet, considérant que l'univers est infini et qu'il contenait une infinité d'étoiles aussi brillantes que le soleil, ils estimaient que le ciel devait être aussi brillant la nuit. Ce paradoxe a été exposé au grand public en 1823 par un astronome.

Ma question est comment s'appelle cet astronome qui a donné son nom à ce paradoxe lequel n'a trouvé une solution qu'avec l'avènement de la théorie du Big Bang?

merci d'avance
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[Amanuensis]

Olbers

C'est pour un jeu ?

[jacquolintégrateur]

Bonjour
Il s'agit de Heinrich Wilhelm OLbers. On lui doit les découvrtes de Pallas et Vesta. Il formula le paradoxe qui porte son nom en 1826; Le paradoxe avait été soulevé, dés le début du 17 eme siècle par Kepler, puis avait été discuté par Halley et de Chéseaux avant d(être formulé par Olbers dont il a gardé le nom. Ces trois astronomes avaient cru résoudre le paradoxe en postulant l'existence d'un gaz universel très dilué et absorbant mais cette explication n'a pas tenu longtemps car le gaz s'échaufferait et rayonnerait à son tour. La solution est donnée par le modèle relativiste de l'univers en expension.
Cordialement

[invite748b729c]

merci pour la première réponse.*
J'ai une deuxième et dernière question :
Le périhélie d'une planète du système solaire change régulièrement de position au fil du temps au lieu de rester fixe, orbite après orbite comme le voulait la mécanique de Newton. Longtemps restée sans réponse, cette anomalie fut résolue par une théorie qui prédit l'amplitude du changement observé.*

Cette théorie repose sur un concept dont la validité a été vérifiée à l'occasion de multiples observations. Comment s'appelle cette théorie et quel est le nom du concept innovant lors de sa publication ? merci

[A voir en vidéo sur Futura]

[Gilgamesh]

La Relativité générale, qui a permis d'expliquer une anomalie résiduelle de 43" par siècle (sur un total mesuré de 574"/siècle, 531 sont expliqués par la théorie de Newton) dans l'avance du périhélie de Mercure.

[invite748b729c]

merci pour la réponse mais on me demande le nom de cette théorie et le nom du concept innovant lors de sa publication.
Je mets quoi en 1 et 2
d'avance merci

[jacquolintégrateur]

merci pour la réponse mais on me demande le nom de cette théorie et le nom du concept innovant lors de sa publication.
Je mets quoi en 1 et 2

Bonsoir
Je pense qu'il s'agit, tout simplement de la "théorie des perturbations", pour le 1 et du" mouvement séculaire" (non périodique) pour le 2. Mais je ne peux l'affirmer. En tous cas, c'est bien la théorie des perturbations qui a été utilisée (par Newcomb et autres) pour calculer les dérives de périhélies, lesquelles sont, effectivement, des mouvements séculaires (comme d'ailleurs, le résidu, pour Mercure, directement expliqué par la RG.)
Cordialement

[Amanuensis]

merci pour la réponse mais on me demande le nom de cette théorie et le nom du concept innovant lors de sa publication.
Je mets quoi en 1 et 2
d'avance merci

En 1) Relativité Générale ; cela a été indiqué, et il n'y a pas d'ambiguïté (la planète est Mercure, pas d'autres possibilités).

En 2) la question est trop vague et le terme "concept innovant" ne correspond pas à quelque chose qu'on retrouve partout en rapport avec la publication des premiers articles présentant la RG. On peut proposer "principe d'équivalence", pourquoi pas ; il y a d'autres termes plus pertinents pour les spécialistes (comme covariance générale) mais cela ne semble pas être du niveau des questions ; et cela peut être bien d'autres choses, selon la manière dont l'auteur des questions a compris, ou cru comprendre, de quoi parle la RG (courbure de l'espace-temps par exemple).

[invite748b729c]

merci à tous

[Gilgamesh]

A noter donc qu'il faut corriger l'énoncé : les calculs perturbatifs newtoniens permettent de prédire, et donc d'expliquer, plus de 90% de la dérive mesurée.