Lumiere face au trou noir

[invitea6135cdc]

Bonjours, je me posais une question et si elle a deja été posé sur le forum merci de mit référer.
Ma question est de savoir si la lumiere(ou le photon lui même) peut réellement être absorbé par un trou noir. Puisque le photon empruntera toujours le chemin le plus cour en ligne droite entre 2 point de l'espace temps et que tout les point a l'exterieur de l'horizon des evenement sont plus pres l'un l'autre que de l'interieur de l'horizon.
Donc est ce que la lumiere est a coup sur dévier par le trou noir en tout point de ça rencontre avec lui?
Si oui, le trou noir serait-il en fait un trou invisible qui en déviant tout les photon nous empêche de le voir noir qui serais la preuve qu'il en absobe?
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[Gilgamesh]

Bonjours, je me posais une question et si elle a deja été posé sur le forum merci de mit référer.
Ma question est de savoir si la lumiere(ou le photon lui même) peut réellement être absorbé par un trou noir. Puisque le photon empruntera toujours le chemin le plus cour en ligne droite entre 2 point de l'espace temps et que tout les point a l'exterieur de l'horizon des evenement sont plus pres l'un l'autre que de l'interieur de l'horizon.
Donc est ce que la lumiere est a coup sur dévier par le trou noir en tout point de ça rencontre avec lui?
Si oui, le trou noir serait-il en fait un trou invisible qui en déviant tout les photon nous empêche de le voir noir qui serais la preuve qu'il en absobe?

Deux points extérieurs à l'horizon ne sont pas, de ce seul fait, plus proches que deux points situés de part et d'autre, c'est juste ça...


Ci dessous, le schéma des géodésiques au voisinage d'un trou noir.

Les cinq géodésiques dessinées sur la surface de plongement de l'espace-temps à l'extérieur du trou noir représentent les trajectoires possibles d'un corps en chute libre passant à différentes distances du trou noir. Les géodésiques 1,2 et 3 sont de plus en plus affectées par la courbure. La géodésique 4 tombe dans le puits de gravité et forme une boucle pour ressortir. La 5 tombe directement dans le trou et est piégée.
source

[invitea6135cdc]

D'accord merci

[invitea6135cdc]

J'en profite pour une autre question a laquelle je penssais. Je sais qu'on ne peux pas ce mettre a la place d'un photon puisque nous somme matiere mais bon imaginon que oui..
Pour une photon d'apres la relativiter restrainte, puisqu'il va a vitesse C, est ce que la contraction de son espace a parcourir de son emission a son absorption est egal a 0 ? Du coup aucun passer ni future pour le photon que du present,

[A voir en vidéo sur Futura]

[Gilgamesh]

En quelque sorte, oui, une particule se propageant à c a une trajectoire d'espace-temps de longueur nulle. Mais de ce fait, le "point de vue d'un photon" ne constitue pas un référentiel valide pour faire de la physique puisqu'on ne peut pas effectuer de mesures de longueurs ou de durées en allant à c.

[invitea6135cdc]

C'est assez claire merci donc s'il n'y a pas de longueur et de duré a la vitesse c et qu'un photon par en direction de l'expenssion de l'univers sans rencontré d'obstacle, sachant que l'expenssion de l'univers ce deplois plus vite que la vitesse C..... va t'il ratrapé cette expenssion.... est-ce un paradoxe?

[invitea6135cdc]

Puisque l'espace temps au derniere nouvelle plat et non infiniment courbe...

[Gilgamesh]

Un petit effort de relecture pour corriger l'orthographe serait le bienvenu.

Si on dit que le point de vue du photon ne correspond pas à un référentiel valide, c'est justement parce que ça entraîne ce genre d'incohérences.

Il n'y a pas de direction de l'expansion de l'univers, et les photons se déplacent de manière isotropes (dans toutes les directions, sans en privilégier aucune). Il n'y a pas non plus de vitesse d'expansion. Si a est la longueur qui sépare en un instant donnée deux points de coordonnée fixes (dite "comobiles") d'un univers en expansion, la quantité :



qui mesure l'augmentation de cette longueur en chaque instant a la dimension d'une vitesse (mais ça n'en est pas une au sens stricte). L'expansion est paramétrée par un taux H, la dérivée logarithmique de cette longueur, le ratio de cette pseudo-vitesse par la longueur elle même :



Cette quantité H est elle même une fonction du temps. Mais on peut laisser ça de côté dans un premier temps. Plaçons nous dans un univers à taux d'expansion constant. Le produit Ha donne une vitesse et si a est suffisamment grand, supérieur à c/H, cette quantité dépasse c, ce qui signifie que deux points séparés de cette distance ne pourront jamais échanger de signaux de quelque nature que ce soit. Ils sont causalement disjoints. C'est en ce sens bien précis qu'il faut comprendre que les photons "ne peuvent rattraper l'expansion", et la quantité c/H (appelée rayon de Hubble) définit l'échelle de longueur caractéristique de la portion observable d'un univers en expansion depuis un point quelconque de cet univers.