Bonjour,
Je recherche des exemples de médicaments ayant une relation effet-dose non linéaire. On parle pas mal des perturbateurs endocriniens dans ce domaine mais y aurait-il des médicaments avec ce profil ? Et qu'est-ce qui peut expliquer l'aspect de ces courbes ?
Merci d'avance pour vos retours.
H u m a n i t y
J'ai pas d'exemple concret, mais le mécanisme qui me vient en tete dans ce phénomène est que lorsque ta molécule a par exemple deux cibles différentes qui n'ont pas la même affinité pour cette molécule (deux récepteurs par exemple), tu as des effets via un récepteur, puis via l'autre. J'imagine qu'on peut trouver des exemples dans les ß-agonistes...
En écrivant je pense a l'insuline, son récepteur et le récepteur à l'IGF (activable par l'insuline a hautes doses)
La vie trouve toujours un chemin
En fait je ne me suis pas assez précisément expliquée. Je pensais plus à une relation non seulement non linéaire mais aussi inversée en quelque sorte où il y aurait une diminution des effets en augmentant les doses...
H u m a n i t y
On est d'accord que tu ne parles pas des effets paradoxaux, n'est-ce-pas?
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Euh je ne sais pas ce que c'est. A quoi penses-tu ?Envoyé par mh34
H u m a n i t y
Je pensais à ça :Source : http://www.pharmacorama.com/Rubrique...aminesa4_1.phpDans certaines conditions et chez certains malades, les benzodiazépines peuvent induire des réactions paradoxales : irritabilité, agressivité, excitation, confusion, hallucinations, rappelant les effets de type agoniste inverse.
"mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde". Albert Camus
Alors non ce n'est pas ça.
Dans mon cas, il s'agirait d'un effet (voulu ou non) qui se manifesterait plus intensément à de faibles doses qu'à des doses élevées.
H u m a n i t y
