Actu - Coronavirus : un antipsychotique contre le Covid-19*?
Après l’hydroxychloroquine, le remdesivir, le lopinavir ou le ritonavir, un nouveau médicament va faire l’objet d’un essai clinique auprès du Groupe hospitalier universitaire (GHU) de Paris en...
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ça serait peut-être pas mal aussi contre certains effets collatéraux du Covid-19 (ou plutôt de la façon dont on en parle)
Mais pour avoir connu des personnes traitées avec ce truc, c'est pas la joie :
Si ça peut avoir un effet dans les cas graves de la maladie, pourquoi pas, mais "à des stades précoces de l'infection" (qui pour 95% des patients n'est pas critique), bof...La chlorpromazine est historiquement le premier médicament antipsychotique. Vendue sous forme de chlorhydrate de chlorpromazine, elle fut initialement surnommée la « lobotomie chimique » par le Dr Heinz Lehmann en raison des effets similaires avec cette pratique neurochirurgicale controversée. Le surnom de « camisole chimique » fut par la suite généralisé en raison de son effet narcotique
Tout dépend de la dose prescrite:
à faible dose, pas plus méchant que de vulgaires faibles doses de tranquillisants (et sans perturber la mémorisation.... surtout en cas d' ingestion d'alcool.....*.)
à fortes doses, c'est la camisole, et de magnifiques effets secondaires (Parkinson, syndrôme malin...)
Les fortes doses sont malheureusement parfois indispensables.... en psychiatrie.....
L' étude citée se réfère malheureusement aux fortes doses, administrées aux sujet très atteints, puisqu' il est nécessaire de les garder en institution....
Somme souvent, c' est la dose qui fait le poison (Paracelse.... c'est vieux...)
*d' où une utilisation dévoyée par certains vicieux délinquants...
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Je sais. C'est à ça que je faisais référence.Envoyé par Bounoume
Et si ce sont ces doses qui sont susceptibles d'avoir un effet "inhibiteur de l'entrée de l'entrée du virus dans les cellules", autant ça peut se discuter dans un cas critique (s'il n'est pas trop tard), autant pour prévenir l'aggravation (encore incertaine) de l'état d'un patient à un stade précoce de la maladie le rapport bénéfice / risque n'est pas le même...L' étude citée se réfère malheureusement aux fortes doses, administrées aux sujet très atteints, puisqu' il est nécessaire de les garder en institution....
