Si tout le monde s'accorde pour dire que la puissance "utile" est égale à la moyenne de la puissance instantanée, je serai déjà relativement satisfait.
Maintenant, il est évident que les appareils de mesures vont induire des erreurs systématiques en raison des imprécisions de la mesure et des méthodes de calcul.
L'indication fournie par le wattmètre ne sera bien sur valable que pour un temps donné correspondant au temps durant lequel les échantilons auront été prélevés (je parle ici d'une appareil entièrement numérique). Pour un signal non périodique, l'indication va donc varier en fonction du temps.
Mais à l'origine, la discussion tournait sur le principe, donc la formule du calcul de la puissance utile (ou efficace ou rms, chacun l'appellera comme il veut, étant entendu qu'on parle bien de la même chose).
A+
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