de manière plus directe, il semble que certains intervenants place la philo "au dessus" des sciences.
( un peu ds la logique antique ).
que la philo interroge les sciences est une chose, qu'elle se présente comme une sorte de méta réflexion me pose plus de problème.
Je suis assez d'accord avec vous, mais je ne crois pas la question "qu'est-ce que la science" puisse avoir une réponse définitive; il y a des réponses partielles qui ont un grand intérêt, mais l'épistémologie des sciences ne doit pas être considérée comme une discipline close.
En particulier, je ne crois pas qu'on puisse la réduire à de grands principes qui s'appliqueraient uniformément à toute les sciences.
De tels principes sont utiles, mais chaque domaine des sciences a ses critères de validité propre.
Bien entendu, il ne faut pas sombrer dans le relativisme qui ferait que n'importe quelle discipline pourrait se prétendre scientifique moyennant quelques critères de validité arbitraires.
je vais reprendre ma réponse qui était trop partielle.Je suis assez d'accord avec vous, mais je ne crois pas la question "qu'est-ce que la science" puisse avoir une réponse définitive; il y a des réponses partielles qui ont un grand intérêt, mais l'épistémologie des sciences ne doit pas être considérée comme une discipline close.
En particulier, je ne crois pas qu'on puisse la réduire à de grands principes qui s'appliqueraient uniformément à toute les sciences.
De tels principes sont utiles, mais chaque domaine des sciences a ses critères de validité propre.
Bien entendu, il ne faut pas sombrer dans le relativisme qui ferait que n'importe quelle discipline pourrait se prétendre scientifique moyennant quelques critères de validité arbitraires.
ce que j'ai mis en gras illustre bien ma question.
il me semble justement que ce n'est pas le point de vue de beaucoup.
ce que tu dis est une approche "scientifique" de l'épistémologie.
pas celle que je vois parfois ici, qui ( à défaut de réponses claires et évidentes ) s'en remettent à des points de vue philosophique.
j'espère avoir été plus clair.
ps : quand je parle de philo, je n'ose pas dire le mot "spirituel", mais il transpire parfois.
Vous faites du cartésianisme comme M. Jourdain faisait de la prose.
Descartes disait qu'il fallait conduire sa raison en allant d'idée claire et distincte en idée claire et distincte.
Vous voudriez appliquer ce principe en remplaçant l'idée par la réponse. A savoir, des discussions qui iraient de message clair et distinct en message clair et distinct.
Vous mettez la barre un peu haut.
désolé de ne plus avoir envie de vous répondre.
J'ai précisé dans mes messages que je parlais d'épistémologie des sciences.
L'épistémologie, comme théorie de la connaissance, doit elle se limiter à la connaissance scientifique ?
Même d'un point de vue strictement pratique (je laisse la métaphysique à ceux qui aiment ça), les connaissance scientifiques ne sauraient suffire à guider nos actes.
Dans quels domaines non scientifique peut-on avoir besoin d'une épistémologie ?
Selon Popper, mathématiques et Histoire ne sont pas des sciences.
Soit.
Les mathématiciens se débrouillent assez bien, avec l'aide des logiciens mathématiques pour établir leur critères de validité.
En ce qui concerne l'histoire, c'est plus compliqué: en quoi un discours se présentant comme historique peut-il être considéré comme tel.
Quand le sujet est polémique, j'essaie modestement de voir si celui-ci satisfait aux critères de la (des ?) méthodes historique(s) selon ce que j'en ai compris.
bjr,
c'est bien mon sujet.
à mon goût, j'y vois trop de digressions philo/spirituo/machin.....
je ne suis pas opposé ( par principe ) à des angles de vues différents.
mais il vient un moment ou la cohérence d'un propos devient plus importante que l'affichage qu'on veut lui donner.
pour le dire encore une fois :
comment peut on avoir un discours crédible sur les sciences sans esprit scientifique ?