Effectivement, il y avait la Chine, mais pourquoi un lien sur un homme du 1er Siècle ?
Cordialement,
Surement pour dire qu'on aurait pu "savoir" que la terre était ronde un peu plus tôt peut-être.
D'ailleurs du coté de l'hindouisme il y a aussi Aryabhata : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%82ryabhata.
Si on reprend la question initiale (pas ce à quoi on est arrivé, qui n'est qu'un aparté) La discussion ne serait-elle pas plus à sa place dans Éthique des sciences ?
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
désolé jsuis un petit nouveau jconnais peu le forum ^^
mais j'avoue
...bon ce n'était peut être pas super clair
c'était une réponse à la question:
même démarche que la réponse:Ceci dit à part les chrétiens et les musulmans à cette époque, il y avait qui ?
J'ai terminé l'apartéD'ailleurs du coté de l'hindouisme il y a aussi Aryabhata : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%82ryabhata.
C'est juste qu'il me semblait que l'on parlait d'une époque plus tardive.... J'ai du mal comprendre (pourtant il me semble qu'il était question de l'époque de Colomb & Co....cf post de Michel)
Cordialement,
Oula ! Merci jreeman......j'étais perdu Mais cela entre directement en conflit avec la réponse de Michel.....(les chinois ne sont pas vraiment occidentaux et ils savaient donc que la Terre était ronde depuis longtemps )
Cordialement,
Discussion déplacée.
Et merci d'arrêter de discuter sur la rotondité de la terre, c'est un hors sujet.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Non pas tant que ça car rien ne dit que l'on peut étendre la connaissance d'une personne à toute sa civilisation.
Bien entendu, je fais un raccourci rapide Néanmoins, cette personne contredit à elle toute seule cette affirmation (à moins que le savoir de cet astronome chinois ne se soit perdu dans les siècles suivant...) :
Cordialement, bonne soirée.Un autre petit point (juste pour clarifier), à cette époque les "occidentaux" (mondes chrétiens et musulmans) étaient les seuls sur la planète à savoir que la Terre était ronde.
...Nous pouvons considérer que le sujet initial était traité jusqu'à quel message?
(je suis vraiment perdue)
Non au contraire.
Je propose qu'on prenne en compte l'avis de l'auteur du fil lui même, puisqu'il s'agit de "son" fil.
Dernière modification par invite7863222222222 ; 07/08/2009 à 00h18.
Bien d'accord.
Par exemple, on peut s'amuser à faire le contraire. J'imagine qu'il ne serait pas difficile de trouver un européen du moyen-âge ayant écrit que la la Terre était plate!
Ce qui importe, c'est le savoir partagé par l'intelligentsia d'une région et d'une époque.
On a la fâcheuse habitude d'exhumer des textes oubliés quand il se trouve que ce qui est proposé dans ces textes concorde avec ce qui sera admis bien plus tard. Or il suffit que tout soit écrit et son contraire pour pouvoir exhumer de tels textes!
Cordialement,
j'avoue mon manque de rigueur, mon lien faisait suite à une très rapide recherche sur internet, mais je vais sûrement m'y intéresserOn a la fâcheuse habitude d'exhumer des textes oubliés quand il se trouve que ce qui est proposé dans ces textes concorde avec ce qui sera admis bien plus tard. Or il suffit que tout soit écrit et son contraire pour pouvoir exhumer de tels textes!
mais là, je voudrais bien avoir des détails.cette notion de savoir partagé, est une notion occidentale
Mon texte ne te visait pas particulièrement, c'était une remarque générale. C'est un phénomène que je constate, c'est tout.
Un cas classique est celui de la théorie atomique. On arrive à trouver un peu partout des auteurs ayant spéculé sur des éléments indivisibles et tout aussi bien des auteurs ayant spéculé sur le contraire, mais il a fallu attendre le XIXème pour que l'argumentation devienne fondée, et le début du XXème siècle pour que la théorie atomique soit un "savoir" et non une spéculation plus ou moins gratuite.
Pour comprendre comment une hypothèse est considérée dans une région et une époque, il ne suffit pas de trouver un auteur la présentant. Il faut sortir plein de textes de différents auteurs, et considérer comment ils traitent l'hypothèse.
Cordialement,
Parceque dans la discussion présente, je faisais allusion au savoir scientifique, pas spécialement morale ou politique car si on fait allusion au savoir en général il est plus difficile d'établir qui est en avance sur qui de manière homogène.
Il y a des choses intéressantes ici : http://www.ex-premie.org/papers-fr/hindpl1-fr.htm
C'est ce que je subodorais.
Pour moi c'est la notion de "savoir scientifique" qui peut être défendue comme propre à l'occident élargi. Pas le "savoir partagé".
(D'ailleurs, dans quelles langues et à partir de quelle époque y-a-t'il une notion de "science" qui se distingue des autres savoirs?)
Cordialement,
Mon terme "savoir partagé" s'opposait à "hypothèse faite par quelques personnes mais rejetée par toutes les autres" (et je précisais "intelligentsia" pour ne pas inclure dans "les autres" toute la population). Le côté scientifique ou pas n'est pas important.
Cordialement,
J'ai du mal à comprendre les choses par opposition (s'oppose à un élément de l'élément opposé, à chacuns d'eur, en terme d'opposition dans les relations qu'ils entretiennent entre eux ?). Je trouverais plus simple, si c'est possible, de donner une définition directe de "savoir partagé".
Merci à vous d'avoir remis les choses au clair...
La plupart des membres de l'intelligentsia pensent quelque chose = savoir partagé (enfin je crois )Ce qui importe, c'est le savoir partagé par l'intelligentsia d'une région et d'une époque.
Par opposition à : un ou deux membres de l'intelligentsia pensent quelque chose mais sont en désaccord avec tous les autres membres = savoir non-partagé
Cordialement,
Certes donc "Jusqu'ou peut aller la Science ?".Merci à vous d'avoir remis les choses au clair...
La plupart des membres de l'intelligentsia pensent quelque chose = savoir partagé (enfin je crois )
Par opposition à : un ou deux membres de l'intelligentsia pensent quelque chose mais sont en désaccord avec tous les autres membres = savoir non-partagé
Cordialement,
On va trouver ma réponse à " Jusqu' où peut aller la science " un peu bateau , mais la question renvoie irrésistiblement à ce bon vieux Popper : un énoncé , une hypothèse , peuvent être qualifiés de scientifique lorsqu ' ils sont soient vérifiables soient réfutables expérimentalement .
Avec ça , les sciences humaines ont de quoi s ' arracher les cheveux pendant quelques siècles ! Il est plus confortable , épistémologiquement , d ' être physicien que sociologue , historien , et je n ' ose même pas parler du psychiatre , du psychanalyste !
Ca, c'est sur ! Mais je pense que la question parlait plus de l'aspect éthique des sciences (d'où le déplacement du fil). Par exemple : devrait-on autoriser le clonage humain si la science en était capable ? Ou serait-ce aller trop loin ?On va trouver ma réponse à " Jusqu' où peut aller la science " un peu bateau , mais la question renvoie irrésistiblement à ce bon vieux Popper : un énoncé , une hypothèse , peuvent être qualifiés de scientifique lorsqu ' ils sont soient vérifiables soient réfutables expérimentalement .
Avec ça , les sciences humaines ont de quoi s ' arracher les cheveux pendant quelques siècles ! Il est plus confortable , épistémologiquement , d ' être physicien que sociologue , historien , et je n ' ose même pas parler du psychiatre , du psychanalyste !
Cordialement,