Il semblerait qu'entre le moment où la neige tombe et celui où l'air emprisonné dans les bulles de glace se trouve parfaitement isolé, des échanges gazeux peuvent se produire. D'où, à priori, un "lissage" des mesures obtenues. Même si cela est dépendant de la quantité de neige qui tombe, a-t-on une idée, ou une "fourchette", du temps pendant lequel l'air n'est pas isolé ? Merci !
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